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Suisse

Orascom DE: progression soutenue grâce à la demande immobilière

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La filiale égyptienne du groupe demeure prudente pour la suite de l'exercice, selon le dernier rapport financier à mi-parcours (archives). (© KEYSTONE/ALEXANDRA WEY)

Orascom Development Egypt (ODE) est parvenu à tirer son épingle du jeu au terme du premier semestre avec une progression soutenue de la plupart de ses chiffres provenant en particulier d'une forte demande dans l'immobilier.

Dans l'hôtellerie, en revanche, les affaires sont demeurée faibles.

La filiale égyptienne du groupe uranais éponyme - qui doit publier ses propres résultats mardi - demeure prudente pour la suite de l'exercice, selon le rapport financier à mi-parcours publié lundi.

Le chiffre d'affaires a bondi de 55,8% à 3,0 milliards de livres égyptiennes (175 millions de francs). Le bénéfice opérationnel s'est envolé de 105,9% à 1,2 milliard de livres (70 millions de francs), tandis que le bénéfice net a plus que triplé, à 744,6 millions de livres (43,44 millions de francs). La marge opérationnelle est passée de 29,2% à 38,6% pendant la période sous revue.

Vu la visibilité toujours limitée en raison de la crise pandémique, la direction préfère s'abstenir de faire des prévisions chiffrées sur l'exercice 2021 dans son ensemble. Elle concentre tous ses efforts dans la reprise du tourisme, en particulier avec le retour de la clientèle russe dans la station balnéaire d'El Gouna.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse Romande

Lac de la Gruyère: initiative de protection jugée trop restrictive

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Selon le Conseil d'Etat fribourgeois, le Plan directeur cantonal et le Plan directeur régional assurent déjà la préservation de la biodiversité du lac de la Gruyère, tout en permettant le développement "raisonnable" des activités touristiques et de loisirs. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le Conseil d'Etat fribourgeois appelle à rejeter l’initiative constitutionnelle "Pour la sauvegarde du lac de la Gruyère", soumise à votation le 28 septembre. L'exécutif juge le texte "trop restrictif", à l'instar du Grand Conseil et de toutes les communes riveraines.

L'initiative "va à l’encontre de l’objectif du Conseil d’Etat visant à trouver un équilibre entre la protection du paysage du lac de la Gruyère et la possibilité donnée à l’humain de se ressourcer dans des espaces naturels", a indiqué mercredi le président du gouvernement Jean-François Steiert, chargé de l'environnement.

Entièrement rédigé, le texte propose de modifier la Constitution cantonale afin de considérer le lac, ses abords et l’ensemble de ses rives comme un patrimoine naturel cantonal à préserver et à protéger.

Selon l'exécutif, la sauvegarde du lac de la Gruyère, reconnu paysage d’importance cantonale (PIC), est déjà assurée par les législations fédérale et cantonale, qui ont par exemple entraîné l’abandon du projet de vague artificielle Goya Onda, à l’origine de l’initiative.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Urgences: le Conseil fédéral opposé à une taxe sur les cas bénins

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Le Conseil fédéral est contre une taxe pour les cas bénins aux urgences (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les patients se rendant aux urgences pour des cas bénins ne doivent pas être taxés. Le Conseil fédéral a rejeté mercredi un projet parlementaire en ce sens, estimant que cela ne permettrait pas de décharger les urgences.

L'idée est partie d'une initiative parlementaire de l'ancien conseiller national vert'libéral Thomas Weibel (PVL/ZH). Il s'agit de soulager les urgences sous pression en instaurant une incitation financière dissuasive.

Selon le projet de la commission de la santé du National, les cantons doivent avoir la compétence d'augmenter de 50 francs le montant maximal annuel de la quote-part à la charge de la personne assurée pour chaque consultation aux urgences, sauf pour les patients envoyés par un médecin, un "télémédecin" ou une pharmacie. Les femmes enceintes et les enfants jusqu'à 18 ans seraient aussi exclus de cette mesure.

Si le Conseil fédéral dit comprendre l'objectif de décharger les urgences, il craint que le projet ne permette pas d'atteindre ce but. Il faudrait plutôt une solution alternative.

Or les urgences sont souvent le seul accès aux soins médicaux, surtout en dehors des heures de bureau et pendant les week-ends. Dans les régions rurales, il est particulièrement difficile de trouver un généraliste disponible, indique le gouvernement dans un communiqué. Et de mentionner encore une information et une sensibilisation mieux ciblées pour réduire le nombre de patients aux urgences.

Surcoûts

Le gouvernement invoque aussi des raisons de coûts. La nouvelle réglementation augmenterait la charge administrative des cantons, des assureurs-maladie et des fournisseurs de prestations, tout en compliquant l'accès aux soins pour les assurés.

Les cantons devraient surveiller la mise en ½uvre, mener des campagnes d’information et régler des questions de responsabilité, illustre le Conseil fédéral. Quant aux assureurs, ils devraient déterminer après chaque consultation si la personne réside dans un canton ayant introduit la taxe et vérifier si elle dispose d'une demande écrite ou s'il s'agit d'une urgence. Les fournisseurs de prestations devraient pour leur part émettre et contrôler les demandes.

Le Conseil fédéral craint que ces charges administratives supplémentaires ne génèrent "des surcoûts disproportionnés par rapport à l’efficacité probablement discutable de la mesure". Or il tient à ce que la charge administrative des fournisseurs de prestations médicales reste raisonnable. Leur personnel, parfois limité, doit pouvoir se consacrer à la prise en charge et au traitement des patients.

Le gouvernement n'est pas le seul opposé au projet. Lors de la consultation, ce dernier avait suscité une levée de boucliers auprès des associations et des partis, pour les mêmes raisons.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Les Vert'libéraux vaudois veulent progresser d'au moins 10%

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Dans le canton de Vaud, les Vert'libéraux veulent augmenter de 10% leur représentation dans les Conseils communaux et les Municipalités lors des prochaines élections de 2026 (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les Vert'libéraux vaudois ont présenté mercredi à Lausanne leurs objectifs et leurs thèmes prioritaires pour les élections communales de 2026. Ils veulent augmenter de 10% leur représentation dans les Conseils communaux et les Municipalités. La formation centriste a choisi cinq sujets-phares sur lesquels elle fera campagne.

"Les Vert'libéraux vaudois se positionnent comme une force centriste qui s'engage pour un Pays de Vaud durable, innovant et ouvert sur le monde", a lancé devant les médias le président du parti cantonal Olivier Bolomey. Il a exclu à ce stade tout accord général avec l'Alliance vaudoise (PLR, UDC, Centre) pour ces communales.

Des alliances ont été conclues ou sont prévues avec d'autres partis dans certaines communes, comme par exemple avec Le Centre (à Lausanne) ou avec Les Libres (à Pully), a-t-il précisé. Actuellement, les Vert'libéraux comptent une trentaine de municipaux et 130 conseillers communaux dans le canton.

Ils ont profité de cette rentrée politique pour décliner les thèmes prioritaires de leur campagne électorale, en présence d'ailleurs de trois candidates et un candidat: l'accueil de jour des enfants, la participation citoyenne, la politique de drogue et du deal de rue, l'économie circulaire, la nature en ville en lien avec les infrastructures, ainsi que la politique sportive comme levier de promotion de la santé.

Intéresser les jeunes

Les responsables du parti ont volontiers admis qu'ils voulaient se profiler sur de nouvelles thématiques comme l'encouragement de la participation citoyenne, et notamment auprès des jeunes, et la politique de l'activité physique et du sport.

"L'intégration des jeunes dans la vie communale doit passer par le développement des démarches participatives, des boîtes à idées, des vidéos pédagogiques ou encore l'accès à la presse digitale offerte dès 18 ans", a expliqué Jennifer Girod, vice-présidente du parti.

S'agissant d'une politique sportive, "les communes se doivent d'agir notamment en facilitant l'accès à des infrastructures de qualité, en encourageant l'activité physique, en valorisant l'accueil d'événements sur leur territoire ou encore en mettant en place des partenariats multisectoriels (associations, écoles, autorités locales ou entreprises privées) afin d'offrir à chacun l'opportunité de se mettre en mouvement", a plaidé Laetitia Morandi, municipale morgienne, candidate à sa réélection.

Par ces engagements et propositions, les Vert’libéraux souhaitent "promouvoir des actions communales concrètes, pragmatiques et efficientes financièrement, afin de promouvoir le vivre ensemble et renforcer un tissu économique local respectueux des ressources", a conclu la formation centriste.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Le glacier d'Aletsch disparaîtra en 2100, selon une étude italienne

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L'importance du glacier d'Aletsch tend immuablement à se réduire (photo d'archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'état de santé du glacier d'Aletsch (VS) inquiète Legambiente, la structure italienne qui surveille l'évolution des principaux glaciers en Italie et à l'étranger. Son rapport confirme que le glacier devrait disparaître en 2100, si rien n'est entrepris.

"Le glacier d'Aletsch ressemble à un océan de glace en grande détresse, malgré les dernières chutes de neige du mois de juillet", ont souligné les écologistes et scientifiques présents lors d'une conférence de presse, mercredi à Naters (VS).

Entre 2000 et 2023, le glacier a reculé en moyenne de 40 mètres par an, selon Glamos, le réseau suisse de surveillance des glaciers. A ce rythme et sans tenir compte d'un niveau de réchauffement climatique supérieur à aujourd'hui, le glacier disparaîtra sous sa forme actuelle, en 2100. "Il ne présentera alors que des plaques de glace aux altitudes les plus élevées"; ont souligné plusieurs glaciologues.

"Situation toujours plus préoccupante"

Cette étude réalisée conjointement par la caravane des glaciers de Legambiente, la principale entité écologiste italienne, la CIPRA Italie et la Fondation glaciologique italienne a mis en lumière une fragilité et une instabilité toujours plus préoccupantes du plus grand glacier des Alpes.

"Nous sommes principalement inquiets de la présence de morènes instables, de failles actives le long des versants supérieurs du glacier", expliquent les experts. "La raison de cette réalité? La crise climatique avec son augmentation ressentie des températures dans les Alpes, soit 2,9 degrés depuis l'époque pré-industrielle (1850), selon le Service climatique suisse."

"Sur le glacier d'Aletsch, nous avons vu comment la santé du glacier affecte également la stabilité des pentes", poursuit Marco Giardino, professeur de glaciologie à l'Université de Turin. "La diminution progressive du volume de ce glacier a déclenché une série de déformations sur le versant gauche de la vallée: des fractures de tailles croissantes vers le bas et une vitesse d'évolution qui a augmenté avec le temps."

Recherche d'interlocuteurs suisses

A sa sixième édition, la caravane des glaciers vise à sensibiliser les politiciens à la réduction des glaciers et à l'urgence d'agir pour les sauver. "Nous avons ainsi créé un manifeste, afin que l'Union européenne monitore mieux les glaciers et développe une gouvernance, des travaux interdisciplinaires et des collaborations internationales", résume Vanda Bonardo, la responsable nationale Alpes de Legambiente, à la recherche encore d'interlocuteurs politiques suisses.

Plusieurs aspects sont traités dans ce document, tels la biodiversité, le tourisme, l'instabilité des montagnes en lien avec le réchauffement climatique, les écosystèmes et le développement local. "Notre démarche se veut un partenariat écologique et scientifique", a tenu à préciser Vanda Bonardo.

Deux ans après le Morteratsch

Cette publication est soutenue par 80 entités, comme l'université de Turin, des ONG, Pro Natura et le CIPRA Suisse, mais aussi l'agence allemande pour l'environnement.

"Comme dans le cas de Blatten, seule une étude rigoureuse des relations entre le réchauffement climatique et l'instabilité naturelle permettra de mieux prévoir l'évolution de l'environnement alpin et de planifier une meilleure gestion du patrimoine naturel et du territoire", rappelle Marco Giardino, également vice-président de CIPRA Italie.

Site classé au patrimoine mondial de l'Unesco, le glacier d'Aletsch et le deuxième glacier suisse qui a été analysé par Legambiente après celui du Morteratsch, dans les Grisons, en 2023. Il ne mesure aujourd'hui plus que 20 km de long.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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