Suisse
Perquisitions dans les cantons dans une affaire de blanchiment
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Des perquisitions ont été menées dans plusieurs cantons dans le cadre d'une affaire internationale de blanchiment. Cinq hommes ont été arrêtés, selon les autorités belges. Ils auraient blanchi de l'argent provenant du trafic de drogue et encaissé 9,5 millions d'euros.
Les perquisitions ont eu lieu la semaine dernière, indique jeudi l'Office fédéral de la police (FedPol). Des descentes de police ont également eu lieu simultanément dans plusieurs endroits en Belgique et en Grande-Bretagne, précise le parquet d'Anvers.
Les cinq hommes arrêtés sont âgés de 33 à 51 ans. L'un d'entre eux a été libéré sous caution. Aucun individu n'a été arrêté en Suisse, a précisé FedPol à Keystone-ATS.
Lors des perquisitions, environ 700'000 euros (698'000 francs) ont été découverts, de même qu'une machine à compter l'argent, une machine d'emballage sous vide, plusieurs montres de luxe, ainsi que des armes et des téléphones portables. Les enquêteurs ont également saisi dix véhicules.
Les investigations ont été lancées en 2020, après que les enquêteurs ont découvert qu'un Belge de 46 ans blanchissait d'importantes sommes d'argent provenant de l'importation de cocaïne. Pour ce faire, il aurait eu recours à plusieurs de ses propres sociétés, ainsi qu'un réseau de coaccusés.
Selon le parquet d'Anvers, l'homme investissait dans des cargaisons sur des bateaux dans lesquelles la cocaïne était dissimulée. Il aurait également blanchi l'argent de multinationales du secteur pétrolier grâce à un système de faux contrats et de fausses factures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le canton présente sa vision pour sortie de la situation de pénurie
Dans un contexte de pénurie aggravée, le Canton de Vaud a présenté jeudi sa Vision logement pour ces trois à cinq prochaines années. Reposant sur quatre axes de travail, elle vise notamment à simplifier les procédures administratives et juridiques, à favoriser la valorisation de volumes existants ou encore à développer des logements à loyers abordables.
"Nous avons atteint un niveau de pénurie que nous ne pouvons plus ignorer, qui s'aggrave et s'étend", a déclaré devant les médias à Lausanne la présidente du gouvernement Christelle Luisier. "Nous faisons face à un double problème. Quantitatif d'abord, avec une production annuelle de logements insuffisante et, ensuite, qualitative avec un manque d'offre adaptée aux besoins de la population", a-t-elle expliqué.
En 2024, le taux de vacance s'est établi à 0,96% pour l'ensemble du canton, alors que le taux d'équilibre se situe à 1,5%. Sur les dix districts vaudois, huit manquent de logements vacants. L'Ouest lausannois et Lausanne sont les moins bien lotis.
Avec des taux de vacance arrêtés l'an dernier à respectivement 1,67% et 1,55%, seuls les districts d'Aigle et de la Broye-Vully échappent à la pénurie, mais leurs conditions se péjorent aussi. En 2022, le district d'Aigle affichait encore un taux de 2,4% et celui de la Broye-Vully un taux de 2,5%.
Actuellement, il y a entre 4000 et 4500 logements vacants pour tout le canton, alors qu'il y aurait besoin de 5500 à 6000 logements, selon la conseillère d'Etat.
Deux tables rondes
"Lors d'une table ronde fédérale sur le sujet, nous avons en outre constaté que Vaud avait plusieurs outils déjà à sa disposition dans ses lois pour améliorer la situation, mais que ceux-ci étaient peu utilisés. Nous avons alors lancé plusieurs démarches, y compris participatives, pour bien identifier les freins à la construction et comment contribuer à les lever", a relevé Mme Luisier.
Face à cette situation, la conseillère d'Etat en charge du Département des finances, du territoire et du sport (DFTS) a lancé dès 2022 de nombreux travaux de recherche pluridisciplinaires, d'études et d'analyse, ainsi que des ateliers participatifs. Une table ronde vaudoise réunissant plusieurs acteurs du domaine (communes, promoteurs, développeurs, locataires, urbanistes, architectes, ingénieurs, etc) s'est étalée de mars 2024 à mai 2025.
Le but était d'identifier les pistes d'action devant permettre à l'Etat de contribuer, dans le cadre de ses compétences, à inverser cette tendance "doublement pesante" de la pénurie de logements. A cette dernière s'ajoute en effet une hausse des prix sur le marché du logement. Et à cette tension se greffe encore depuis quelques années une résistance toujours plus marquée de la population à tout projet de nouveau quartier, a résumé la ministre PLR.
Renouer avec un taux de 1,5%
Résultat de tous ces champs d'investigation: plusieurs mesures concrètes pouvant potentiellement améliorer les conditions-cadres propres au développement du logement, lui-même intégré aux questions d'aménagement du territoire. "C'est notre Vision du logement dont l'objectif d'ici trois à cinq ans est d'atteindre à nouveau le taux d'équilibre de 1,5% pour l'ensemble du territoire", a-t-elle dit.
Celle-ci repose sur quatre axes de travail prioritaire. Le premier est de simplifier les procédures afin d'accélérer la production de logements. Le deuxième est de mobiliser le foncier et flexibiliser le cadre règlementaire. En plus de l'utilisation de parcelles vierges, il s'agit d'encourager une densification ciblée sur des parcelles bâties ou partiellement bâties, en privilégiant la qualité de vie (espace vert, mobilité, infrastructures, services, etc).
Plus de LUP
Le troisième axe est de favoriser l'accessibilité à tous les types de logements, pour répondre aux besoins multiples de la population (famille, couple, célibataires, seniors, étudiants, etc) notamment en matière de logement d'utilité publique (LUP). L'idée serait par exemple d'inciter les communes à prévoir des quotas de LUP dans leur planification, surtout à travers des plans d'affectation (PA).
Enfin, quatrième point, il faut renforcer la communication sur les outils de la promotion du logement (quotas, bonus, etc) auprès des communes. Et plus globalement soutenir un message autour de la qualité de vie en lien avec la création de logements.
Tous ces sujets sont abordés dans deux des chantiers majeurs de la législature pour le DFTS: une importante révision de la loi sur l'aménagement du territoire (LATC), qui sera présentée d'ici la fin de l'année, ainsi qu'une révision complète du Plan directeur cantonal (PDCn) attendue pour 2027.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Le National veut fusionner la protection civile et le service civil
La protection et le service civils doivent être fusionnés afin de garantir suffisamment d'effectifs en cas de catastrophes naturelles. Le National a approuvé jeudi par 113 contre 75 une motion considérée par la gauche et le PVL comme un démantèlement du service civil.
Le projet appelle à appliquer au plus vite cette variante présentée en janvier dans un rapport pour pallier le risque de sous-effectifs dans la protection civile.
"L'urgence de la situation appelle à une intervention immédiate", a déclaré Isabelle Chappuis (C/VD) pour la commission à l'origine du texte. La Vaudoise a cité les dernières catastrophes à Blatten et dans le Val de Bagnes en Valais pour illustrer son propos.
Actuellement, "trop de personnes effectuent un service civil", a appuyé le co-rapporteur Heinz Theiler (PLR/SZ). "Si on ne réagit pas rapidement, nous risquons de ne pas pouvoir répondre aux besoins en cas de catastrophes", a-t-il poursuivi.
La gauche et le PVL étaient vivement opposés au projet, qu'ils voient comme un démantèlement du service civil. "Avec ce texte, il ne resterait plus que deux domaines dans lesquels les civilistes seraient actifs: l'environnement et les soins. Or, ces derniers sont une ressource indispensable dans les écoles, les homes et les exploitations agricoles notamment", a déclaré Patrick Hässig (PVL/ZH).
Le Zurichois a accusé la droite de manoeuvres politiques plombant les débats en cours notamment sur le service citoyen. Le ministre de la défense Martin Pfister était aussi opposé. Au vu du coût du projet, le Conseil fédéral préfère évaluer la question une fois les discussions en cours terminées, a-t-il déclaré. En vain.
Le dossier part au Conseil des Etats.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Moratoire sur le génie génétique prolongé de cinq ans en Suisse
Le moratoire sur le génie génétique, qui expire fin 2025, sera prolongé de cinq ans en Suisse. Le Conseil des Etats a validé jeudi, sans opposition, un projet issu d'une initiative de commission du National en ce sens.
Cette commission avait initialement prévu une prolongation de deux ans, jusqu'en 2027. Le gouvernement avait proposé la date-butoir de 2030, tout en laissant la possibilité d'une mise en ½uvre anticipée de la nouvelle loi. Les deux Chambres approuvent cette voie.
En effet, il est prévu d'adopter une loi spéciale sur la réglementation des nouvelles techniques de sélection végétale. Le Conseil fédéral a ouvert une consultation à ce sujet il y a deux mois.
Le projet sur la table doit permettre d'éviter un vide juridique entre la fin du moratoire, introduit en 2005, et l'entrée en vigueur de la future loi, a expliqué Mathilde Crevoisier Crelier (PS/JU) pour la commission. Sans succès, le PLR et quelques centristes ont plaidé pour une approche différenciée selon les techniques utilisées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
PostFinance supprime 141 emplois cette année
Confronté à un contexte de taux difficile, PostFinance coupe dans ses effectifs afin notamment d'améliorer sa rentabilité. L'établissement va biffer 141 emplois d'ici fin novembre, la majorité dans les "fonctions administratives centrales" à Berne.
La pression s'est accrue sur PostFinance au cours des derniers mois, indique jeudi le bras financier de La Poste dans un communiqué, citant notamment l'incertitude pesant sur les investisseurs. L'assouplissement monétaire conduit par la Banque nationale suisse (BNS) a également affecté la banque, confrontée - comme ses concurrentes - à une érosion de sa marge d'intérêt.
La restructuration doit permettre à PostFinance de remplir ses objectifs fixés pour la période 2025-2028. En tout, ce sont "141 résiliations" qui sont prévues, mais également jusqu'à 73 adaptations de contrats de travail, précise l'établissement bernois, qui a ouvert une procédure de consultation.
La direction prendra une décision finale en juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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