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Suisse

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

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La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 13, 37, 38 et 48 ainsi que les étoiles 5 et 9.

Lors du prochain tirage mardi, 37 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Nestlé vend le restant de ses parts dans Herta à Casa Tarradellas

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Avec le retrait complet de Nestlé, Casa Tarradellas prend désormais le contrôle exclusif de l'entreprise. (archive) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le paquebot alimentaire Nestlé a vendu les 40% restants de sa participation dans la coentreprise Herta Foods à son partenaire espagnol Casa Tarradellas. La transaction a été conclue le 23 décembre.

Le prix d'achat n'a pas été divulgué, conformément à l'accord conclu entre les parties. "Cette transaction met fin à la coentreprise annoncée en 2019", indique Nestlé dans un communiqué. A cette époque, l'entreprise veveysanne avait fait savoir qu'elle cédait ses activités de charcuterie et de pâte à tarte à l'entreprise familiale catalane, sise près de Barcelone.

Une joint-venture, détenue à 60% par la société espagnole et dans laquelle Nestlé conservait 40% des parts devenait ainsi propriétaire de la marque Herta pour les activités de charcuterie dans six pays européens, et de pâte à tarte en France et en Belgique.

Nestlé entendait conserver et développer les activités existantes de Herta dans le segment végétarien, conformément à son recentrage stratégique vers les produits basés sur des ingrédients végétaux.

Avec le retrait complet de Nestlé, Casa Tarradellas prend désormais le contrôle exclusif de l'entreprise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

L'argent monte, en proie à une forte volatilité

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Le cours de l'argent est aussi porté structurellement par la demande industrielle croissante d'argent pour le photovoltaïque, les véhicules électriques et les centres de données pour l'intelligence artificielle. (archive) (© KEYSTONE/AP/MATTHIAS SCHRADER)

L'once d'argent repart à la hausse mardi, le marché restant préoccupé par une réduction des exportations de ce métal par la Chine, après avoir subi sa plus forte chute de l'année lundi.

Vers 10H25 GMT (11H25 HEC) l'once d'argent gagnait 3,23% à 74,47 dollars.

La veille, la séance avait été mouvementée pour le métal argenté qui a atteint son record à 84,0075 dollars l'once avant de chuter fortement dans la journée, plombé par une correction brutale de marché.

Les mouvements de marché sont renforcés par la période des fêtes de fin d'année, propice à une volatilité plus élevée, "compte tenu de la liquidité moindre" sur le marché, expliquent les analystes de Société Générale.

De plus, le marché se focalise sur l'imposition imminente de restrictions à l'exportation d'argent par la Chine, selon ces analystes, qui précisent que celles-ci passeront au 1er janvier "à un système de licences strictement contrôlé".

Or, "la Chine fournit entre 60 et 70% de l'argent raffiné au niveau mondial; cette mesure sévère devrait donc resserrer fortement l'offre de métal raffiné, réduisant potentiellement les exportations d'argent de la Chine jusqu'à 30%" estiment-ils.

Le cours est également porté structurellement par la demande industrielle croissante d'argent pour le photovoltaïque, les véhicules électriques et les centres de données utilisés par le secteur de l'intelligence artificielle.

Mais la très forte progression du cours en 2025, qui a grimpé de plus de 150%, fait craindre à certains analystes la possibilité de ventes importantes du métal, notamment d'argenterie, pouvant faire chuter les cours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Suisse

Les ventes de Noël attendues en hausse cette année

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Certains commerçants suisses ont enregistré une solide croissance des ventes durant les fêtes. (archive) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les commerçants suisses ont profité d'une période des fêtes de fin d'année positive, certains enregistrant une solide croissance des ventes malgré la prudence affichée des consommateurs.

Pour les grands magasins Manor, les ventes de Noël ont légèrement dépassé celles de l'année précédente, a indiqué une porte-parole à l'agence AWP, sans dévoiler de chiffres. L'enseigne de vêtements PKZ a quant à elle fait état d'un chiffre d'affaires en hausse de 5% sur un an, notamment grâce à la solide activité des magasins zurichois.

Dans la grande distribution, Migros a évoqué des ventes "particulièrement réussies" lors de Noël et son concurrent Coop a parlé d'"une évolution continuellement positive" lors de cette période, sans également dévoiler de détails financiers.

La Poste a quant à elle distribué 23 millions de colis entre le Black Friday, fin novembre et Noël, un volume supérieur de 3,1% à la même période de l'année précédente. Le pic d'activité a été enregistré le 2 décembre. Ce jour-là, les employés du géant jaune ont traité 1,3 million de paquets, un chiffre jamais atteint auparavant en une seule journée.

Les perspectives sont cependant plus moroses. Selon l'institut d'études de marché management tools research, un bon tiers de la population en Suisse souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin.

A l'aube de 2026, la moitié de la population s'inquiète ainsi pour son budget. Ainsi, 30% des personnes interrogées ont déjà procédé à des ajustements budgétaires pour joindre les deux bouts, alors que 17% trouvent que la période est difficile et 4% parlent même de crise. Le reste de la population se montre davantage optimiste: 42% des sondés estiment que leur situation économique est bonne, et 6% très bonne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Lausanne

Plus de 250 rats de l'EPFL sont partis à l'adoption depuis 2022

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Plus de 250 rats de l'EPFL sont partis à l'adoption depuis 2022 (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

L'EPFL se montre satisfaite du programme d'adoption de rats de laboratoire par des particuliers qu'elle mène avec la Protection suisse des animaux (PSA). Pas moins de 254 rongeurs ont ainsi pu quitter ses murs pour trouver un foyer depuis le début du projet en avril 2022.

"Pour nous, le bilan est favorable. Les chercheurs sont contents de pouvoir donner ces animaux à l'adoption plutôt que de devoir les euthanasier", relève Alexandre Widmer, responsable du projet "rehoming" (ou réinsertion) de l'EPFL à Keystone-ATS. "On arrive à donner tous les rats éligibles. Bien que cela reste un petit nombre, c'est positif", a-t-il ajouté.

En 2024, 644 rats de laboratoire ont été utilisés par l'EPFL. Parmi ceux-ci, 45 ont pu être adoptés, tandis que 599 ont pris part à des expériences. Ces derniers seront tous euthanasiés à terme. "Il faut comprendre que l'euthanasie de l'animal pour prélever des tissus fait partie intégrante de l'expérience", explique Alexandre Widmer.

Limitations

Même sans ce paramètre, les rats ayant pris part à des expériences scientifiques ne pourraient pas être donnés à l'adoption. Les autorités cantonales imposent en effet que seuls les rats non génétiquement modifiés et n'ayant pas subi d'expérimentation puissent être placés dans un foyer.

Les rats concernés par l'adoption sont donc pour la majorité des femelles qui ont donné naissance à des petits, destinés à l'expérimentation. En effet, les rats auxquels l'EPFL a recours proviennent soit de ses propres élevages, soit d'élevages professionnels à l'étranger, pour la plupart en France, en Allemagne et en Italie.

Dans le cas de commande à l'étranger, l'institution reçoit généralement des femelles portantes, âgées de 5 à 10 mois. Quelque temps après avoir mis bas, elles pourront partir à l'adoption, pour autant que l'élevage d'où elles proviennent ait donné son accord.

"Avant, on n'aurait pas eu d'autre choix pour elles que l'euthanasie. Mais maintenant, on les garde quelque temps chez nous, jusqu'à ce qu'on en ait assez pour faire un don à la PSA", poursuit Alexandre Widmer. Lors du dernier don du 18 décembre, 12 rats ont été remis à la PSA.

Phase de réadaptation

Après avoir réceptionné les rongeurs dans des caisses de transport à l'EPFL, la PSA les transfère directement à l'une de ses sections. "Il s'agit généralement du club des amis des rats", précise la PSA à Keystone-ATS. "C'est ensuite à cette section qu'il revient d'habituer l'animal à la vie en dehors du laboratoire et de le placer chez des particuliers", ajoute-t-elle.

Les rats restent une trentaine de jours au refuge avant de pouvoir être adoptés. "Ils doivent s'adapter à vivre dans des cages plus grandes et à une nourriture moins standardisée, comportant notamment des légumes et des graines", relève Alexandre Widmer. L'EPFL prend en charge la moitié des coûts de réadaptation et la PSA l'autre moitié.

"En général nous avons des retours positifs des refuges, car ces rats sont souvent plus dociles et plus habitués à être manipulés que d'autres", se réjouit Alexandre Widmer. Ni l'EPFL, ni la PSA ne disposent de chiffres précis ou de données sur les profils des adoptants.

Rats, lapins et même cheval

Le projet de rehoming a démarré à la fin 2018, grâce au dialogue entre la PSA et l'Université de Zurich. A l'origine, il concernait exclusivement les rats, indique la PSA sur son site internet. L'EPFL a suivi en 2022, puis les universités de Bâle et Berne en 2023. Jusqu'en août 2025, "plus de 1000 animaux ont été accueillis et placés avec succès, dont plus de 750 rats, 260 souris, 22 lapins, 26 chiens et un cheval", peut-on y lire.

"Si tout se passe bien, l'Université de Genève devrait également participer au projet de rehoming en 2026", a encore précisé la PSA.

A noter que si un nombre croissant d'universités participent au projet, le nombre de rats utilisés dans des expériences a tendance à diminuer. A l'EPFL en tout cas, leur nombre est passé de 1306 en 2022, à 734 en 2023 et à 644 en 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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