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Économie

PSP récompense ses actionnaires

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Dopé par un effet de revalorisation de 464,9 millions de francs, contre 101,6 millions en 2020, le bénéfice net a plus que doublé (+103,7%) pour s'établir à 595,0 millions (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

Le groupe immobilier PSP a bouclé l'année 2021 sur un résultat net plus que doublé, largement supérieur aux expectatives de la communauté financière. Les actionnaires se verront proposer un dividende légèrement relevé.

Le produit des immeubles s'est étoffé de 4,5% à 309,6 millions de francs, indique mardi la société zougoise dans un communiqué. L'excédent brut d'exploitation (Ebitda), corrigé des effets des placements immobiliers, est quant à lui ressorti à 278,8 millions, en hausse de 2,8% par rapport à 2020.

Dopé par un effet de revalorisation de 464,9 millions de francs, contre 101,6 millions en 2020, le bénéfice net a plus que doublé (+103,7%) pour s'établir à 595,0 millions.

Au bouclement de l'exercice, la valeur du parc immobilier s'établissait à 9,13 milliards de francs, contre 8,58 milliards un an plus tôt. Le taux de vacance en revanche s'est légèrement détérioré à 3,8%, contre 3,0% au bouclement précédent.

Forte de ces résultats, l'entreprise proposera à ses actionnaires lors de la prochaine assemblée le versement d'un dividende de 3,75 francs par action au titre de l'exercice écoulé, contre 3,65 francs pour 2020.

Les chiffres publiés s'inscrivent dans le cadre des projections formulées par les analystes du consensus AWP. Le bénéfice net et le dividende relevé ont cependant dépassé les projections les plus optimistes.

Pour 2022, la direction de PSP table sur un Ebitda hors revalorisation autour de 285 millions de francs, et un taux de vacance "inférieur à 4%".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Le moral des patrons allemands au plus haut depuis un an

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L'indicateur est publié le jour où le gouvernement du chancelier conservateur Friedrich Merz présente un ambitieux plan financier sur cinq ans, en rupture avec la rigueur budgétaire. (archive) (© )

Le moral des entrepreneurs allemands a progressé pour le sixième mois consécutif en juin malgré la menace des droits de douane américains, dans l'espoir que le nouveau gouvernement parvienne à relancer une économie enlisée, a indiqué mardi l'institut IFO.

L'indicateur principal du climat des affaires a atteint 88,4 points, son niveau le plus élevé depuis juin dernier, enregistrant une hausse de 0,9 point par rapport à mai.

L'économie allemande, qui sort de deux années de récession, "commence lentement à retrouver confiance", souligne Clemens Fuest, président de l'institut IFO.

Les patrons ont évalué leur situation actuelle un peu plus favorablement, mais ce sont surtout les anticipations à six mois qui se sont redressées, portées par les secteurs des services et du commerce de gros.

Dans l'industrie manufacturière plongée dans la crise, les perspectives s'éclaircissent, malgré des niveaux d'activité faibles et un carnet de commandes jugé insatisfaisant.

Le commerce de détail reste en retrait, et la prudence domine encore dans le bâtiment.

"Après l'incertitude liée aux droits de douane américains, les entreprises semblent désormais préférer voir le potentiel positif du nouveau gouvernement plutôt que de se focaliser sur les tensions commerciales et l'instabilité persistante", note Carsten Brzeski, chez ING.

L'indicateur est publié au jour où le gouvernement du chancelier conservateur Friedrich Merz présente un ambitieux plan financier sur cinq ans, en rupture avec la rigueur budgétaire, prévoyant une forte hausse des dépenses et un recours massif à l'endettement - 847 milliards d'euros - pour relancer l'économie allemande et son appareil militaire.

M. Merz a par ailleurs critiqué lundi l'approche de l'Union européenne dans les négociations commerciales avec les États-Unis, la qualifiant de "beaucoup trop compliquée".

Après avoir menacé d'imposer des droits de douane de 50% aux importations européennes à partir du 1er juin, Donald Trump avait accepté fin mai de reporter leur entrée en vigueur jusqu'au 9 juillet. Mais un accord entre les Etats-Unis et l'Union Européenne ne se dessine toujours pas.

"Le principal risque pour la conjoncture demeure la politique commerciale américaine. Si de mauvaises nouvelles venaient à surgir de ce côté, les anticipations corrigeraient probablement à la baisse de manière marquée", selon Jens-Oliver Niklasch, économiste chez LBBW.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Le marché du logement toujours sous tension en Suisse

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Dans les douze villes passées en revue dans l'enquête, la situation s'aggrave pour celles qui sont déjà confrontées à une pénurie, comme à Genève. (archive) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le marché du logement reste sous tension. Pour la première fois depuis trois ans, le nombre d'objets à louer publiés sur les principaux portails immobiliers suisses a augmenté, mais peine à satisfaire la forte demande.

Entre avril 2024 et mars 2025, quelque 70'000 logements supplémentaires ont été proposés à la location par rapport à la même période de l'an dernier, ce qui correspond à un bond de 21% sur un an. C'est ce qui ressort de l'indice OWI des logements publié mardi par l'Association suisse des professionnels de l'immobilier (SVIT), le HEV Suisse, la plateforme newhome, et le Swiss Real Estate Institute.

Dans le même temps, la durée d'annonce s'est quant à elle raccourcie de quatre jours, passant à 23 jours, indiquant que la demande dépasse toujours nettement l'offre. "Pour que tous les souhaits de déménagement puissent être comblés, l'offre devrait avoisiner 10-15% du parc de logements par an".

Seuls les cantons de Neuchâtel et du Jura présentent une surabondance de logements à louer, avec des durées d'annonces de respectivement 38 et 49 jours, elles aussi toutefois en recul. A l'inverse, les cantons de Zoug (12 jours), Schwyz (15 jours), Genève (17 jours) et Zurich (17 jours) présentent des durées très courtes, inférieures à 20 jours.

Dans les douze villes passées en revue dans l'enquête, la situation s'aggrave pour celles qui sont déjà confrontées à une pénurie, en particulier à Coire, ou la durée d'annonce tombe à 10 jours. Mais aussi à Winterthour (13 jours), Genève (14 jours) et Lucerne (15 jours). Contre toute attente, Zurich montre des signes de légère détente, avec une durée passant à 18 jours, contre 14 jours précédemment.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Travail.Suisse propose 19 mesures pour réformer le temps partiel

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Plus de la moitié des femmes travaillent à temps partiel (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Travail.Suisse veut moderniser le travail à temps partiel en Suisse. La faîtière a présenté mardi 19 revendications visant notamment à garantir de meilleures perspectives de carrière et faciliter l'accès à la formation continue pour les personnes à temps partiel.

Travail.Suisse souhaite aussi accorder une reconnaissance réelle et une valeur indirecte au travail non rémunéré. Ces conclusions découlent d'une analyse, présentée mardi à Berne, laquelle montre que le travail à temps partiel répond aux besoins des employés, mais nécessite des ajustements pour en atténuer les effets négatifs.

"Le travail à temps partiel présente des inconvénients tels qu'une couverture sociale amoindrie, de moins bonnes perspectives de promotion, moins de formation continue et des retraites moins élevées", constate le président de Travail.Suisse Adrian Wüthrich.

Plus d'un tiers (37%) des salariés étaient à temps partiel en 2022 en Suisse. Ils étaient 32% en 2002. Le temps partiel concerne une majorité de femmes (56%) et une minorité d'hommes (16%).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

La BCGE nomme un responsable de l'investissement

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La BCGE a nommé un nouveau responsable des investissements à compter du 1er août. (archive) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La direction générale de la Banque cantonale de Genève (BCGE) a nommé Nicolas Mougeot à la tête des investissements (CIO). Il rejoindra l'établissement du bout du lac le 1er août.

M. Mougeot intègre la division de gestion de fortune et d'actifs, qui regroupe l'ensemble des activités de gestion de fortune avec une offre dédiée à la clientèle institutionnelle et privée, ainsi qu'aux gérants de fortune indépendants.

"L'arrivée de notre nouveau CIO s'inscrit dans la volonté stratégique de la banque de développer activement ses activités de 'Wealth Management'", a assuré Katia Coudray, cheffe de la division de gestion de fortune et d'actifs, pour qui "ce renforcement de nos expertises d'investissement nous permet d'élargir la gamme de nos solutions de placement.

Nicolas Mougeot a été stratégiste auprès de Lehman Brothers et BNP Paribas, avant de rejoindre Deutsche Bank. Après trois ans à la Caisse de dépôt et placement du Québec, il a assumé la fonction de responsable des investissements et de la durabilité au sein d'Indosuez Wealth Management à Genève. Il a également été professeur invité d'ingénierie financière à l'Université de Lausanne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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