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Suisse

Recettes et résultats en hausse pour Salt au troisième trimestre

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De juillet à septembre, le chiffre d'affaires de Slat a progressé de 2,1% sur un an à 280,7 millions de francs (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Salt a vu le nombre de ses abonnés mobile progresser au 3e trimestre, à la faveur de la croissance de la iclientèle commerciale et d'une "dynamique de croissance" non quantifiée dans ses offres Internet et TV. Les recettes et la performance opérationnelle ont crû.

De juillet à septembre, le chiffre d'affaires a progressé de 2,1% sur un an à 280,7 millions de francs, indique vendredi l'entreprise renanaise aux mains de l'homme d'affaires français Xavier Niel. Les revenus opérationnels se sont étoffés de 3,1% à 240,4 millions alors que les recettes tirées de la vente de téléphones et autres accesssoires se sont tassées de 3,8% à 40,2 millions.

Le résultat avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements (Ebitda) a gonflé de 4,2% à 149,4 millions de francs. Le flux de trésorerie disponible a atteint 106,5 millions, stable en comparaison annuelle.

La maison-mère Matterhorn Telecom a dégagé un bénéfice net de 42,1 millions de francs, amélioré de 37%, selon le rapport trimestriel.

Salt a attiré 32'000 nouveaux abonnés mobile au troisième trimestre, ou 92'200 sur neuf mois ce qui représente un bond de 27%, précise le communiqué. Les offres destinées à la clientèle entreprise (B2B) ont connu la meilleure croissance sur neuf mois de ces dix dernières années, affirme Salt. Après un premier trimestre très fructueux en matière de nouveaux abonnés, la tendance a cependant ralenti jusqu'à fin septembre.

Salt explique que ses offres Internet et TV sont désormais accessibles à 2 millions de ménages, sans toutefois détailler le nombre de ses clients. Depuis fin septembre, huit nouvelles communes bénéficient des produits de l'opérateur vaudois dans ce domaine.

Sur neuf mois, les recettes de Salt ont atteint 819 millions de francs, soit une hausse de 3,0%. L'Ebitda a pris 4,7% à 427 millions. Le bénéfice net de Matterhorn Telecom a bondi de 36,2% à 113,9 millions.

Dans son communiqué, Salt note que les agences de notation S&P et Fitch ont remonté cet été le rating de crédit à long terme de Matterhorn Telecom à "BB-". La maison-mère a placé un emprunt de 100 millions de francs mi-juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Les Suisses et Suissesses ont et veulent moins d'enfants

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Au cours des dernières années, ce sont les naissances de troisième enfant qui ont le plus diminué (image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

En 2024, le nombre moyen d'enfants par femme en Suisse était de 1,29. Il s'agit du niveau le plus bas depuis le début des relevés, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Le désir d'enfants est aussi en baisse.

La part des 20-29 ans qui ne veulent pas d'enfants est passée de 6% en 2013 à 17% en 2023. Chez les 30-39 ans, ce taux est passé de 9% à 16%. L'OFS relève toutefois dans son communiqué que le désir d'avoir deux enfants reste le plus répandu.

De nombreux facteurs influencent la décision d'avoir un enfant. Toutefois, le partage des tâches domestiques et la répartition de la garde entre les parents ont considérablement gagné en importance au cours des dernières années, relève l'OFS.

Entre 2019 et 2024, ce sont les naissances de troisième enfant qui ont le plus baissé (-13,6%). Les premières et deuxièmes naissances ont reculé respectivement de 8,5% et 9%. Les Suissesses ont des enfants toujours plus tard.

Au cours des dix dernières années, la fécondité des femmes de 35 à 39 ans a été supérieure à celle des femmes de 25 à 29 ans. En 2024, l'âge moyen des mères à la première naissance était de 31,3 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Une activiste afro-brésilienne lauréate du Prix Martin Ennals

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Le Prix Martin Ennals des droits humains récompense cette année une activiste brésilienne dont le fils a été tué par la police. (© Fondation Martin Ennals)

Une activiste afro-brésilienne contre les violences policières, Ana Paula Gomes de Oliveira, est lauréate cette année du Prix Martin Ennals à Genève. Elle recevra sa récompense le 26 novembre, a affirmé lundi la Fondation qui pilote ce Nobel des droits humains.

Mme de Oliveira a cofondé le collectif "Les Mères Manguinhos" après le meurtre de son fils de 19 ans dans une favela, abattu dans le dos par un policier militaire alors qu'il rentrait de chez sa petite amie. Elle "a tant donné, après avoir tant perdu", affirme le président du jury Hans Thoolen.

Et d'ajouter que "la violence raciste qui sévit dans les rues du Brésil mérite toute l'attention du gouvernement fédéral et de la communauté internationale". L'approche de la police contre les narco-trafiquants, qui fait souvent des dizaines de tués, provoque régulièrement la réprobation de l'ONU.

Outre Mme de Oliveira, une étudiante ougandaise qui lutte contre la corruption a été finaliste du prix cette année. Tout comme une militante tunisienne des droits humains toujours détenue arbitrairement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Roche revendique des succès cliniques contre la sclérose en plaques

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Le géant pharmaceutique rhénan mène de front plusieurs programmes cliniques avancés sur nouveau traitement pour l'heure expérimental contre les deux formes de la sclérose en plaques. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

La multinationale pharmaceutique Roche assure avoir observé une concrétisation du critère primaire établi pour le premier des deux programmes cliniques avancés sur le médicament fénébrutinib, développé contre la sclérose en plaques, baptisé Fenhance 2.

L'administration de la substance sur au moins 96 semaines a permis de réduire de manière sensible le taux annualisé de récidive de la maladie par rapport à un traitement au tériflunomide.

Le fénébrutinib a par ailleurs démontré une non-infériorité à l'Ocrevus (ocrélizumab) de Roche en matière de ralentissement de la forme primaire-progressive de la maladie dans le cadre du programme Fentrepid, indique un communiqué diffusé lundi.

Sans s'aventurer à ce stade sur le terrain des données quantifiées, Roche promet de détailler les résultats de ces programmes de recherche à l'occasion de prochains congrès médicaux, une fois disponibles les conclusions du volet Fenhance 1 d'ici à la fin de l'an prochain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

"La Suisse ne pourra pas se passer" du nucléaire, selon le Groupe E

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Le directeur général du Groupe E, Alain Sapin, ne voit pas comment la Suisse va pouvoir éviter un retour au nucléaire (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BRUN)

La Suisse ne pourra pas se passer de centrales nucléaires, estime le directeur général du Groupe E. Selon lui, le recours croissant aux énergies renouvelables, couplé à l’abandon de l’énergie nucléaire, constitue un risque en matière d’approvisionnement énergétique.

"Nous allons vers une augmentation des risques. Je précise que je ne suis pas contre les énergies renouvelables, bien au contraire, cela fait des années que Groupe E les encourage. Mais il faudra impérativement disposer de centrales de réserve conventionnelles qui pourraient être démarrées en cas de besoin", soutient Alain Sapin dans un entretien accordé vendredi à La Liberté, en marge d'une conférence à Guin.

M. Sapin a expliqué à son auditoire de vendredi qu'il va falloir construire, ces 25 prochaines années, environ 80% des infrastructures nécessaires à l'approvisionnement énergétique du pays.

A la question de savoir comment cela allait se passer, il a répondu: "si on veut éviter les émissions de CO2, je ne pense pas qu'on pourra se passer de centrales nucléaires, même si cela ne fera pas plaisir à tout le monde. Nous avons des contrats avec la France, mais nous ne pouvons pas compter éternellement sur les autres. Il serait envisageable aussi d'avoir deux ou trois centrales à gaz pour passer l'hiver."

"Un virage politique"

Pour lui, il appartient désormais au monde politique d'opérer des choix. "En 2010, nous avions un projet nucléaire en sous-participation, mais tout s'est arrêté après Fukushima. Nous avons aussi déposé un projet de centrale à gaz de 400 mégawatts à Cornaux en 20122, rappelle-t-il.

"Depuis 2007, nous essayons de faire de l'éolien à Fribourg sans y parvenir. Ce n'est pas moi qui refuse tous ces projets. Il faudra probablement un virage politique assez sec, je ne sais pas si cela est possible en Suisse", ajoute M. Sapin.

Et de conclure en suggérant: "Je suis libéral de nature, mais peut-être pourrait-on nationaliser un peu le secteur énergétique, comme on l'a fait pour les autoroutes et les voies ferrées".

Dimanche, dans les colonnes de la NZZ am Sonntag, le ministre de l'Énergie, Albert Rösti, avait de nouveau mis en garde contre un risque de pénurie d'électricité en Suisse. "On ne peut pas se passer de l'énergie nucléaire", avait-il déclaré.

Le conseiller fédéral avait précisé ne pas souhaiter cette option, mais estimer que le développement de l'énergie hydraulique, solaire et éolienne progressait trop lentement. "Si, de manière inattendue, la filière éolienne décolle, que de nombreuses centrales hydroélectriques sont construites et que davantage de centrales solaires alpines voient le jour, je serai le premier à renoncer au nucléaire", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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