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Suisse

Réseaux sociaux: pétition pour un âge minimum de 16 ans

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Une organisation nouvellement créée veut introduire en Suisse un âge minimum de 16 ans pour l'utilisation des réseaux sociaux (image symbolique). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Une nouvelle organisation veut renforcer en Suisse la protection de la jeunesse face aux réseaux sociaux. NextGen4Impact a lancé une pétition pour introduire un âge minimum de 16 ans pour leur utilisation.

Fondée en avril dernier, l'association NextGen4Impact basée à Zurich dit mettre l'accent sur "les opportunités et les risques des nouvelles technologies". La conseillère nationale Nina Fehr Düsel (UDC/ZH) fait partie du conseil d'administration, selon un communiqué diffusé mercredi.

Une pétition lancée il y a un peu plus de deux semaines par un groupe de parents et éducateurs est à l'origine du mouvement. Le texte demande à la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider et à l'Assemblée fédérale d'introduire un âge minimum de 16 ans pour l'utilisation des médias sociaux, accompagné d'une formation et d'une vérification de l'âge.

L'organisation souligne que la pétition ne vise "pas une interdiction, mais un acte de responsabilité". Elle appelle à un large débat de société et à des mesures efficaces pour protéger la jeune génération des risques avérés des plateformes numériques.

Récemment, l’Australie est devenue le premier pays à interdire aux moins de 16 ans l’accès à des plateformes telles que TikTok et Instagram. En Suisse, deux postulats récents ont chargé le Conseil fédéral d'examiner si et comment l'accès des jeunes aux médias sociaux pourrait être limité. Une éventuelle interdiction des smartphones dans les écoles doit être examinée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le Parlement ne veut pas de la ligne Bâle-Malmö

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Le National a suivi de justesse le Conseil des Etats. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Après le Conseil des Etats, le National a dit non mardi à la ligne reliant la Suisse à Malmö en Suède. Il a, dans le cadre du budget 2026, coupé la manne de 10 millions de francs nécessaire à la mise en service du train de nuit prévue le printemps prochain.

Le vote a été très serré: 99 voix contre 92 et deux abstentions.

Il est "inacceptable que le contribuable finance via ses impôts une ligne de loisir", a déclaré Yvan Pahud (UDC/VD). Alex Farinelli (PLR/TI) avait aussi déclaré lundi soir que le train de nuit n'était ni exigé par la loi ni une priorité.

"Il s'agit d'un acte symbolique coûteux plutôt que d'un projet stratégique réellement efficace", avait-il dit, mettant en avant d'autres mesures pour des transports plus verts validés dans le cadre du budget.

"A l'encontre de la loi sur le CO2"

La gauche, le PVL et le Centre ont eux rappelé que le Parlement a accepté l'année dernière, dans le cadre de la loi sur le CO2, d'encourager le transport de nuit. "Je trouve spécial de revenir sur cet acquis", a déclaré Simon Stadler (Centre/UR). Sans succès.

Le lancement du train de nuit reliant Bâle à Malmö en Suède, en passant par Hambourg et Copenhague, est prévu pour avril 2026. Il doit circuler trois fois par semaine. Des billets ont déjà été mis en vente.

Plusieurs propositions de la gauche visant à soutenir davantage MeteoSuisse et les investissements dans les eaux et à couper dans les réserves d'énergie pour l'hiver ont été balayées. Les débats se poursuivent.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La présence de Steve Guerdat, un "miracle" pour le CHI

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Steve Guerdat et Dynamix sont de retour à Palexpo (archives). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Steve Guerdat sera une fois de plus la tête d'affiche du CHI de Genève, qui se tient de mercredi à dimanche à Palexpo. La présence du cavalier jurassien, qui revient de blessure, tient du "miracle".

Opéré du dos en septembre, le triple médaillé olympique n'a repris la compétition qu'à la toute fin novembre, à l'occasion du concours 2* de Riesenbeck, en Allemagne. Cela lui a permis de remettre ses chevaux, dont sa jument Dynamix, dans le bain avant "son concours fétiche", a-t-on pu lire sur son site internet.

"C'est un miracle que Steve puisse être présent à Genève", s'est réjoui Alban Poudret, le directeur sportif du CHI, lors de la conférence de presse de présentation du concours genevois. Mais c'est surtout sa participation à la finale du Top 10 de vendredi qui mérite un tel qualificatif.

Steve Guerdat a en effet manqué plusieurs mois de compétition cette année. Il avait été opéré une première fois du dos en février, ce qui l'avait contraint de déclarer forfait pour la finale de la Coupe du monde à Bâle. Mais ses excellentes performances de l'été - il a terminé troisième des prestigieux Grands Prix d'Aix-la-Chapelle et de Spruce Meadows (Calgary) - lui ont suffi pour figurer parmi les dix meilleurs cavaliers du classement mondial.

Un plateau très relevé

Le natif de Bassecourt est le seul à avoir remporté trois fois (2010, 2018, 2023) la prestigieuse finale du Top 10, qui se tiendra pour la 20e fois à Genève. Il devra faire fort pour battre les autres cadors: l'Ecossais Scott Brash, l'Américain Kent Farrington, l'Allemand Richard Vogel, le Néerlandais Harrie Smolders ou encore l'Anglais Ben Maher.

Avec Steve Guerdat, ces derniers seront également les principaux favoris du Grand Prix de dimanche, point d'orgue du concours genevois. Mais d'autres Suisses pourraient briller lors du quatrième GP estampillé Grand Chelem (avec Bois-le-Duc, Aix-la-Chapelle et Spruce Meadows).

Le Zurichois Martin Fuchs, vainqueur en 2019 et 2021 et qui ne disputera pas la finale du Top 10, aura forcément envie de briller sur la piste de Palexpo. Tout comme le Jurassien Anthony Bourquard, qui sort de la plus belle année de sa carrière avec d'excellentes performances en Coupe des Nations.

Aussi le cross et l'attelage

La 64e édition du Concours hippique international de Genève sera comme de coutume l'occasion pour les spectateurs de suivre d'autres disciplines que celle du saut d'obstacles. Le cross de vendredi et les deux épreuves d'attelage à quatre chevaux de samedi et dimanche devraient notamment attirer de nombreux curieux.

En attelage, le Valaisan Jérôme Voutaz cherchera à briller une nouvelle fois devant le public romand. Sur son char, le meneur de Sembrancher devra sortir le grand jeu s'il entend battre l'Australien Boyd Exell et le Néerlandais Bram Chardon, les deux grands dominateurs de la discipline.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les taux des hypothèques devraient rester stables

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Les taux d'intérêt de référence pour les hypothèques à taux fixe sur dix ans s'élèvent actuellement à 1,74%. (archives) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Malgré les risques conjoncturels et la vigueur du franc, les taux des hypothèques devraient rester stables. Et, l'annonce des prochaines décisions sur les taux d'intérêt de la Banque nationale suisse (BNS) agendée jeudi n'y changerait rien, selon Comparis.

"Pour que les taux indicatifs baissent sensiblement, il faudrait que l'économie suisse ralentisse à nouveau de manière significative", a déclaré mardi Dirk Renkert, expert Argent chez Comparis, cité dans un communiqué. "La BNS fournit suffisamment de liquidités à l'économie et même si l'inflation devait redevenir déflationniste certains mois, il n'y a pas lieu d'agir dans l'immédiat."

Les taux d'intérêt de référence publiés par plus de 30 établissements de crédit pour les hypothèques à taux fixe sur dix ans s'élèvent actuellement à 1,74%, soit 0,11 point de pourcentage de plus qu'en début d'année (1,63%). Alors qu'en mars, les taux indicatifs des hypothèques fixes sur dix ans se situaient encore à un peu plus de 2%, ils s'établissent depuis fin juin entre 1,64 et 1,87%.

Effets de changes

Les coûts de refinancement des banques (swaps) ont augmenté sur la même période. Le swap à dix ans en franc s'affiche à 0,52%, soit légèrement plus qu'en janvier (0,45%).

Concernant les droits de douane, ils ont eu "un impact notable sur l'économie suisse au troisième trimestre (...) Si, au printemps, les exportations de marchandises vers les Etats-Unis ont augmenté afin de remplir les entrepôts locaux, la situation s'est désormais détériorée", souligne Comparis.

"Si la Réserve fédérale américaine (Fed) devait abaisser les taux directeurs en décembre, cela pourrait affaiblir davantage le dollar et faire baisser le prix des marchandises importées en Suisse".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Quelles sont les habitudes alimentaires des ados à midi ?

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Selon l'enquête de la FRC, 82% des ados achètent leur repas chez Migros, Coop, Aldi ou Lidl, avant de se rendre en boulangerie ou dans des Fast Food. (© FRC)

La Fédération Romande des consommateurs (FRC) a cherché à savoir quelles sont les habitudes alimentaires des jeunes à la pause de midi. L'enquête menée auprès de 78 jeunes scolarisés en Suisse Romande révèle que les choix des ados sont liés à plusieurs contraintes, comme le budget ou la distance entre l'établissement scolaire et le domicile.

Quelles sont les habitudes alimentaires des jeunes entre midi et deux ? C’est la question que s’est posée la Fédération Romande des consommateurs qui a réalisé une enquête auprès de 78 jeunes de 12 à 16 ans scolarisés dans les cantons de Vaud, Genève, Neuchâtel, Fribourg et Jura.

Le sondage révèle que la moitié des ados mangent à l’extérieur, plusieurs fois par semaines et surtout dans les supermarchés : 82% des ados achètent leur repas chez Migros, Coop, Aldi ou Lidl, avant de se rendre en boulangerie ou dans des Fast Food. Pourquoi les supermarchés ont-ils la cote auprès des jeunes ? La réponse de Rebecca Eggenberger responsable alimentation à la FRC.

Rebecca Eggenberger Responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs

A noter que le sandwich accompagné d’une boisson sucrée s’inscrit comme « menu » numéro 1 chez les ados. Suivi par la tranche de pizza le taco et le kebab.

Le sondage révèle aussi que la présence d’une cantine dans l’établissement scolaire et la distance entre l’école et le domicile influent directement sur leurs habitudes alimentaires, ainsi que la densité de l’offre à proximité des écoles. Autre contrainte : le budget. Deux tiers des adolescents reçoivent moins de 10 frs pour leur repas de midi et 80% d’entre-deux se tournent vers les supermarchés. Autre facteur qui influence leur choix : la dimension sociale, qui passe avant l’envie de varier les choix et la perception que la nourriture est moins bonne à la cantine qu’ailleurs.

Rebecca Eggenberger Responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs

L’enquête a également montré que les jeunes scolarisés dans les grandes villes comme Lausanne sont davantage exposés à la publicité des enseignes comme Mc Donald’s que ceux des plus petites localités. Contrairement à ceux qui vivent dans les petites localités, ceux qui vivent dans des plus grandes villes comme Lausanne ont davantage de choix mais sont davantage exposés à la malbouffe.

Rebecca Eggenberger Responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs

L'enquête de Rebecca Eggenberger et Sandra Imsand "Le midi des adolescents, entre mythes et réalités" est à retrouver sur le site de site de la FRC.

 

 

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