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Suisse Romande

Des moutons et des chèvres à parrainer en Valais

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La chèvre Gaspar espère encore quelques parrains. Elle fait partie de la Bergerie de Naye à Mollens (VS), propriété de Claire et Damien Jeannerat. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Parrainer un mouton ou une chèvre et du même coup soutenir l'agriculture de montagne, c'est possible en Valais jusqu'à la fin mars. Le projet est porté par la plateforme de soutien EdelAlp qui remporte déjà un franc succès avec le parrainage de vaches d'Hérens.

Ils sont dix. Six moutons et quatre chèvres. Leurs bobines craquantes et des bribes de leurs histoires figurent sur le site Internet dédié aux actions d'EdelAlp.

On y découvre, par exemple, Nounours, né en 2015, véritable star de la Bergerie de Naye à Mollens, sur la commune de Crans-Montana. "Ce mouton Nez Noir a déjà été parrainé dix fois, ce qui est le maximum", indique à Keystone-ATS Samuel Balet, co-responsable d'EdelAlp.

Même succès pour Flinge, une agnelle "friande de câlins" et pour l'agneau Zelda, né prématurément, privé de mère et encore en vie grâce "aux bons soins" du berger Damien. Quant aux chèvres Gaspar et Mookie, la première ayant perdu un oeil lors d'un éboulement, elles espèrent encore quelques parrains.

www.edelalp.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Treize places de parking supprimées pour rafraîchir les Eaux-Vives

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En Ville de Genève, treize places de stationnement et 1400 mètres carrés de goudron ont été supprimés à la place du Pré-l'Evêque, dans le quartier des Eaux-Vives. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

En Ville de Genève, treize places de stationnement et 1400 mètres carrés de goudron ont été supprimés à la place du Pré-l'Evêque, dans le quartier des Eaux-Vives. Inauguré samedi matin, le nouvel espace piéton et végétalisé doit devenir un îlot de fraîcheur dans un secteur très minéral.

Dans le cadre de ce réaménagement de la pointe sud de la place, huit nouveaux arbres - des féviers d'Amérique - s'ajoutent aux 20 arbres déjà présents. Plus de 200 arbustes ont aussi été plantés le long des trois côtés de l'espace. Le goudron a été remplacé par du calcaire du Jura, une matière perméable qui permet une meilleure infiltration des eaux de pluie et dont la couleur claire ne conserve pas la chaleur.

Pour la Ville de Genève, ce site constituera un îlot de fraîcheur, de biodiversité et de rencontre. De nouveaux bancs ont été installés, et les arbustes isoleront les badauds du trafic environnant une fois qu'ils auront poussé. Ce secteur fait partie des projets de retrait du bitume et de plantations prioritaires du Service des espaces verts.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Et vogue les voiles latines au Musée du Léman à Nyon

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Classée monument historique, La Vaudoise est l'une des plus anciennes barques à voiles latines construites sur le Léman (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Musée du Léman à Nyon consacre une de ses salles d'exposition aux bateliers au temps des voiles latines. Le visiteur peut s'immerger dans la cambuse d'une barque, aménagée avec de la vaisselle, des lampes et divers équipements.

L'exposition "La barque est belle ! La vie des bateliers au temps des voiles latines" s'intéresse à ces embarcations emblématiques et majestueuses. Celles-ci ont sillonné le Léman pour transporter personnes et marchandises jusqu'au début du 20e siècle, rappelle le musée.

Voiles historiques

Les voiles latines sont les mères de toutes les voiles que l'on peut encore observer sur les lacs et les mers du globe. Venue de l'Orient jusqu'en Méditerranée, la voile triangulaire est introduite sur le Léman au XIIe siècle pour un usage militaire, puis civil. Jusqu'à la Belle Epoque, elle règne en maître sur le Léman.

Dès les années 1920, le nombre de ces bateaux décline. En 1958, il ne reste plus guère que la Neptune à Genève et la Vaudoise à Lausanne, rachetée par les Pirates d'Ouchy. Mais autour des années 2000, plusieurs reconstructions ont lieu grâce à des passionnés qui sauvegardent ainsi le savoir-faire nécessaire à leur navigation.

Patrimoine suisse

L'an dernier, la navigation à voiles latines est entrée au patrimoine suisse, l'occasion pour le Musée du Léman de valoriser ces embarcations traditionnelles. L'exposition met l'accent sur la vie des bateliers, proposant une immersion dans l'ambiance à bord.

La nouvelle salle permanente a été configurée comme une cambuse de barque, soit l'espace du navire qui contient en principe le vin et les vivres. Le visiteur y découvrira divers objets de collection. Sur la table, un écran tactile lui permettra d'accéder à de nombreux documents, photographies et extraits de films montrant la vie à bord.

Un ensemble de modèles réduits explique l'évolution de la construction des embarcations entre les 17e et 20e siècles. Enfin, un film contextualise la navigation traditionnelle sur le Léman.

Depuis l'époque romaine, le lac a été le moyen de déplacement privilégié pour transporter les marchandises, car plus rapide et sûr que les routes terrestres mal entretenues et mal fréquentées. L'apogée de ces déplacements doit beaucoup à l'introduction de la voile latine qui permet de remonter le vent, note le musée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Le vainqueur du Tour de Romandie devrait être connu à Leysin

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Le vainqueur du TdR devrait être connu à l'issue de l'étape-reine de samedi (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Zinal, Thyon, Villars-sur-Ollon... Les ascensions finales de l'étape-reine du Tour de Romandie font souvent figure de juge de paix du classement général.

Cela devrait être une nouvelle fois le cas samedi à Leysin, une habituée de l'épreuve.

C'est en effet la 7e fois qu'une étape de la boucle romande se terminera sur les hauteurs d'Aigle. La dernière arrivée dans la station vaudoise remonte à 2017, également lors de la 4e étape du samedi. Simon Yates s'était alors imposé dans un sprint à deux devant Richie Porte et endossé le maillot jaune, mais il l'avait rendu à l'Australien le lendemain après le contre-la-montre final.

Lors de la dernière édition, l'autre jumeau Yates, Adam, avait pour sa part conservé son bien après l'avoir dérobé à son coéquipier Juan Ayuso à Thyon lors de l'étape-reine. L'homme qui enfilera la tunique jaune sur le podium samedi devrait selon toute vraisemblance lui aussi la conserver jusqu'au terme du Tour, dimanche à Vernier.

"Un autre défi pour les organismes"

Mathias Frank connaît bien les pentes du Tour de Romandie. L'ancien grimpeur suisse, retraité depuis 2021 et désormais directeur sportif de la formation Swiss Cycling, a pris onze fois le départ du TdR durant sa carrière. "Ces ascensions sont différentes de celles des grands tours, elles sont généralement plus courtes et aussi plus fraîches. C'est un tout autre défi pour les organismes", témoigne celui qui avait terminé 8e du Tour de France 2015.

L'arrivée à Leysin, le Lucernois l'a vécue. Mais ce n'est pas celle qui l'a le plus marqué. "Je retiens plutôt celle de Villars-sur-Ollon, par où nous sommes souvent passés, et aussi lors de certains contre-la-montre. C'est l'ascension qui représente le Tour de Romandie à mes yeux et qui est aussi devenue un rendez-vous du Tour de Suisse", dit-il.

Quant à celles qu'il préférait éviter quand il parcourait les routes romandes au sein du peloton, Mathias Frank n'hésite pas à citer Thyon, théâtre d'arrivées souvent dantesques. "Pour le coup, celle-ci est très longue et très dure (réd: 20 km à 7,6% de moyenne). L'année dernière, j'étais bien content d'être au chaud dans la voiture sans devoir la faire à vélo", rigole-t-il.

"Imposer un tempo élevé"

Samedi, la météo et la pente seront plus clémentes. "La montée de Leysin n'est pas trop raide et plutôt roulante (14 km à 6% de moyenne). C'est possible de rester dans les roues pendant un long moment, mais cela dépendra du rythme imposé en tête de peloton. Celui qui voudra faire la différence devra mettre son équipe devant et imposer un tempo élevé", analyse Mathias Frank.

Reste à savoir si la décision se fera lors de l'ascension finale, ou si des premières manoeuvres auront lieu plus tôt dans la journée, comme dans la montée d'Ovronnaz, plus courte et intense (9 km à 9%). Son placement à 100 km de la ligne d'arrivée paraît toutefois trop lointain pour que des favoris s'essaient à partir à l'attaque.

Le scénario devrait en revanche être différent de celui de la 2e étape, où un gros peloton s'est présenté au pied des Marécottes, à la poursuite de cinq fuyards. Le groupe des favoris devrait être bien moins garni à Aigle, au pied de la dernière difficulté du jour, et du Tour.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Finale des play-off: Un premier puck de titre pour le "Z"

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Le LHC de Geoff Ward n'a plus le droit à l'erreur face aux Zurich Lions (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le titre de champion de Suisse 2023/2024 pourrait être attribué samedi en fin de soirée.

Battu 3-0 jeudi sur la glace des Zurich Lions, Lausanne est en effet dos au mur, mené 3-2 en finale des play-off de National League.

Le LHC a jusqu'ici toujours su répondre présent à domicile, s'imposant à deux reprises en terre vaudoise pour égaliser à 1-1 puis à 2-2 dans la série. Il n'a plus été battu sur sa glace depuis le quart de finale face à Davos, qui avait même gagné deux fois à Lausanne pour prendre notamment l'avantage 3-2.

Les hommes du coach Geoff Ward avaient parfaitement su réagir face aux Grisons, dominant l'acte VI 5-2 à Davos avant de gagner le match no 7 sur le score de 3-0. Mais la pression sera évidemment plus forte samedi soir dès 20h, Zurich bénéficiant d'une première occasion de décrocher le 10e titre national de son histoire.

Le "Z" a décroché un succès probant jeudi, son portier Simon Hrubec ayant signé un blanchissage deux jours après avoir commis deux erreurs fatales dans l'acte IV. Dominés en début de match, les joueurs de Marc Crawford ont forcé la décision en marquant deux buts en l'espace de 51 secondes au deuxième tiers.

Les stars zurichoises Sven Andrighetto et Denis Malgin sont pourtant restées "muettes", alors que leurs coéquipiers Rudolfs Balcers et Yannick Weber sont sortis sur blessure. Mais le "Z" est bien en mission, deux ans après avoir été battu 4-3 par Zoug dans une finale dont les Zurichois avaient gagné les trois premiers matches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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