Suisse Romande
Energie renouvelable en Valais: Acteurs réunis autour d'une table
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Le Valais veut planifier les futurs projets de production d'énergie renouvelable. Une première prise de contact, réunissant toutes les parties prenantes, a eu lieu mardi soir et devrait être suivie par des négociations. Les projets de parcs solaires alpins, nés dans le sillage de SolarExpress, ne sont eux pas concernés.
Cette table ronde a réuni les acteurs de la production d’énergie et de l’acheminement, les représentants du monde politique (canton et communes concernées) ainsi que des milieux de défense de l’environnement, indique à Keystone-ATS Rachel Duroux, présidente de la task force solaire cantonale qui a organisé cette première rencontre. Elle a duré deux heures et rassemblé une cinquantaine de personnes.
Durant cette rencontre, le canton a rappelé le cadre légal dans lequel les projets pourraient voir le jour et expliqué ce que l’acceptation, par le peuple suisse début juin, de la nouvelle loi sur l’approvisionnement en électricité reposant sur des énergies renouvelables signifiait. Celle-ci impose aux cantons d'identifier les zones qui pourraient accueillir des infrastructures produisant des énergies renouvelables et de les inscrire dans leur plan directeur, explique Rachel Duroux.
"Cette liste de lieux propices reposera sur des critères précis qui seront négociés entre les différentes parties prenantes lors de discussions ultérieures", ajoute-t-elle. Autrement dit: le canton décidera, via le plan directeur cantonal, des zones adéquates dans lesquelles les porteurs de projets pourront ensuite déposer une demande d’autorisation de construire.
Après cette première prise de température, les rondes de négociations devront suivre. "Les attentes sont là, la pression aussi", relève Rachel Duroux, qui ne peut encore articuler de calendrier.
Pas de priorisation
Cette table ronde avait été souhaitée par le Grand Conseil valaisan alors que la course aux subventions avait été lancée par la loi fédérale sur l'énergie modifiée en urgence (SolarExpress) qui vise à doper la production d'énergie solaire en altitude surtout en hiver. En novembre 2022, le parlement avait ainsi accepté un postulat visant à "parvenir dans les meilleurs délais à une déclaration commune comprenant une sélection de projets valaisans à réaliser rapidement dans le domaine des grandes installations photovoltaïques en altitude".
Mais les discussions ne porteront pas sur les projets lancés en urgence dans le sillage de SolarExpress, législation qui a supprimé la nécessité de planifier au niveau cantonal, relève Rachel Duroux. "Si le dossier remplit les critères légaux, l'autorité compétente ne peut pas le refuser. Elle ne peut pas attendre de voir si d'autres projets - peut-être meilleurs - lui sont soumis", complète-t-elle.
Le canton n'entend pas prioriser les projets découlant du Solarexpress, mais selon la présidente de la task force solaire cantonale, ceux-ci se prioriseront d'eux-mêmes au vu des contraintes techniques, procédurales et économiques. Pour obtenir la manne fédérale, l'installation doit produire, à fin 2025, 10% de la production attendue, rappelle-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: près de 300 manifestants devant l'Hôtel de police
Près de 300 personnes se sont rassemblées jeudi en début de soirée devant l'Hôtel de police à Lausanne. Elles protestaient contre le récent décès d'un homme détenu dans la zone carcérale de l'établissement et plus généralement contre les violences policières.
Les manifestants se sont rassemblés vers 18h30 devant l'immeuble de la police, rue Saint-Martin, d'abord en silence puis ont scandé des slogans, tels que "A bas l'Etat, les flics et les fachos", "Police partout, justice nulle part" ou encore "Et tout le monde déteste la police". Ils ont plus tard observé une minute de silence pour la victime. Peu de pancartes ou banderoles étaient visibles.
Les près de 300 personnes, selon un décompte de Keystone-ATS, ont assez vite débordé sur la route, bloquant une bonne partie du carrefour situé devant l'Hôtel de police. Plus loin, sur les trois artères, la police déviait la circulation pour éviter aux automobilistes de traverser le secteur.
Enquête ouverte
L'homme décédé mardi soir était âgé de 40 ans et de nationalité algérienne, sans domicile connu en Suisse. Il était détenu dans la zone carcérale de l'Hôtel de Police depuis la nuit du 18 au 19 octobre dernier, à la suite d'un cambriolage d'un garage à St-Prex (VD). La victime était placée sous le régime de la détention provisoire, au bénéfice de la présomption d'innocence.
Il avait été transféré début novembre au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), avec un pronostic vital engagé. Un gardien aurait remarqué qu'il respirait dans sa cellule de manière anormale, selon le Ministère public qui a ouvert une enquête. Placé aux soins intensifs depuis lors, son décès a été constaté mardi soir.
Les premiers examens externes réalisés durant le séjour hospitalier du prévenu n'ont révélé aucun signe de violence, a précisé le Ministère public. L’autopsie du corps du défunt par le Centre universitaire de médecine légale a été ordonnée.
Pour mémoire, un homme d'origine africaine est décédé en mai dernier dans les locaux de la Police municipale. Il avait auparavant été interpellé en raison de soupçons d'activité liée au domaine des stupéfiants.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Exclusion des élèves frontaliers: vers une solution plus modérée
A Genève, la décision du Conseil d'Etat de mettre fin au régime transitoire qui permettait aux élèves frontaliers d'être scolarisés dans le canton continue à faire polémique. Une motion votée jeudi par le Grand Conseil propose une solution plus modérée.
Amendé en plénière, ce texte de la gauche demande de permettre aux enfants engagés dans le cycle élémentaire ou le cycle moyen du primaire de continuer leur scolarité à Genève jusqu'à la 8P et aux élèves du cycle d'orientation de terminer leur scolarité jusqu'à la fin. La motion a été acceptée par 51 voix (gauche, LJS et le Centre) contre 41 (PLR, MCG et UDC) et 3 abstentions.
Le Conseil d'Etat, qui appelait à refuser cette motion, a six mois pour y répondre. En juin dernier, l'exécutif a décidé d'accélérer la transition vers le principe de scolarisation des élèves frontaliers sur leur lieu de domicile, suscitant une levée de boucliers de la part des familles concernées ainsi que des autorités françaises.
Le canton justifie notamment cette décision par le manque de places dans les écoles et la pression démographique. Un recours, pour lequel l'effet suspensif a été refusé, est pendant devant la justice. Une pétition demandant que les élèves déjà scolarisés à Genève puissent terminer l’intégralité de leur cursus dans le canton vient aussi d'être déposée au Grand Conseil.
Les socialistes ont dénoncé une mesure prise de manière unilatérale, qui met en péril la coopération au sein du Grand Genève. Sur la même longueur d'ondes, les Vert-e-s ont fustigé des économies de "bouts de chandelles", soit un total de 27 millions sur plusieurs années.
Victimes collatérales
Le Centre, parti attaché à la famille, a déposé un amendement visant à "protéger la cohérence du parcours des élèves frontaliers". Une proposition qui a trouvé une majorité. LJS a aussi voté cette motion estimant que les élèves frontaliers ne doivent pas être les victimes collatérales de la crise du logement à Genève.
A droite, le PLR estime que "ce bricolage ne peut pas durer": Genève a une responsabilité par rapport aux élèves du canton, a souligné le député Pierre Nicollier. Pour le MCG, les Genevois qui vont s'installer de l'autre côté de la frontière, avec les avantages qui en découlent, doivent aussi accepter le système d'éducation français qui va avec.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Le Grand Conseil genevois enterre le projet de budget d'Etat 2026
Genève débutera 2026 sous le régime des douzièmes provisoires. Fustigeant l'absence de réformes structurelles, la majorité de droite du Grand Conseil a refusé jeudi l'entrée en matière sur le projet de budget d'Etat 2026 fortement déficitaire.
L'entrée en matière a été refusée par voix 62 contre 32 (PS et Vert-e-s), mettant fin au débat budgétaire. Le projet de loi soumis en plénière présentait un déficit de 409 millions de francs, alourdi à 767 millions, suite notamment à une réévaluation à la baisse des revenus.
"Ce projet de budget ne constitue pas une base acceptable", a relevé Laurent Seydoux, député LJS et rapporteur de majorité. "Les dépenses du canton sont à niveau tel que la marge d'action est dérisoire", a-t-il ajouté, en soulignant que les "réformes structurelles ne sont toujours pas au rendez-vous".
Le Conseil d'Etat devra représenter un projet de budget au plus tard fin mars 2026. En attendant, l'Etat devra calquer ses dépenses mensuelles sur celles de l'exercice 2025, plus les charges contraintes prévues pour 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Nouvelle ligne de bus pour la plage à Yverdon-les-Bains
Une nouvelle ligne de bus reliera directement la gare d'Yverdon-les-Bains (VD) à la plage durant l'été 2026. L'offre vise à faciliter l'accès au bord du lac, à renforcer l'attractivité du centre-ville et à encourager des déplacements plus durables.
Du 4 juin au 13 septembre, le bus circulera du jeudi au dimanche, toutes les 15 minutes entre 10h00 et 20h00, puis toutes les 30 minutes jusqu'à 22h00. La mise en place de cette desserte contribuera à réduire la pression sur les places de stationnement, tant à la plage qu'au centre-ville, en offrant une alternative simple et fréquente pour rejoindre ces secteurs, indique jeudi la Ville.
Cette nouvelle liaison s'inscrit dans la stratégie de mobilité durable de la municipalité. Des informations complémentaires seront communiquées au printemps 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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