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Genève

1,5 kilo de marijuana découverte à la douane de Thônex-Vallard

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Un chien de la brigade des douanes françaises de Vallard, à la frontière franco-genevoise, a détecté de la marijuana dans un bus venant de Barcelone et allant à Varsovie (illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Un chien de la brigade des douanes françaises de Vallard, à la frontière franco-genevoise, a détecté de la marijuana dans un bus venant de Barcelone et allant à Varsovie. Les stupéfiants étaient dans un sac appartenant à un Polonais de 59 ans.

La découverte a été faite le 13 septembre au passage frontière de Thônex-Vallard, dans le cadre d'une opération commune des douanes suisses et françaises, a indiqué mercredi l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF). Pendant l'inspection du bus, le chien Speed des Douanes françaises s'est arrêté à la hauteur d'un sac à dos déposé sur l'avant-dernière rangée de sièges.

A l'intérieur se trouvaient quatre récipients en plastique scellés contenant 1,526 kilo brut de marijuana. Des vérifications et l'audition des autres passagers ont permis de déterminer que ce sac appartenait à un Polonais qui voyageait dans le bus. Les stupéfiants et cet individu ont été remis à la police cantonale genevoise, le contrôle ayant eu lieu sur le territoire suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Caisse de prévoyance de l'Etat: un projet fâche les syndicats

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Ce projet sur la répartition des cotisations de prévoyance provoque la colère des syndicats de la fonction publique genevoise (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, la volonté du gouvernement genevois de modifier, au détriment de l'employé, la répartition des cotisations de prévoyance du personnel de l'Etat, ne passe pas auprès des syndicats des fonctionnaires. Lundi, ils ont dit tout le mal qu'ils pensaient de ce projet.

"Nous sommes très en colère", a souligné Geneviève Preti, la présidente du Cartel intersyndical du personnel de l'Etat et du secteur subventionné, devant les médias. L'exécutif veut faire passer la part de cotisation de l'Etat à la CPEG de deux-tiers à 58%. Celle de l'employé, d'un tiers aujourd'hui, augmenterait à 42%.

La réforme, qui toucherait également les caisses de retraite de la police et des transports publics genevois, ne concernerait que les nouveaux arrivants à l'Etat. Les employés déjà en place garderaient les conditions actuelles. Pour Mme Preti, si le projet passe, cette distinction va causer une "fracture générationnelle".

Le Conseil d'Etat estime qu'avec la nouvelle clé de répartition il économisera 14 millions de francs d'ici à 2027. Aux yeux de Jean-Luc Ferrière, du syndicat SIT, l'exécutif se moque du monde avec son argument financier. Ces dernières années, les recettes de l'Etat ont crû plus vite que ses dépenses et la dette a diminué, a-t-il noté.

Un projet inutile

Par ailleurs, évoquer, comme le fait le gouvernement, que la réforme permettra de se rapprocher de la moyenne suisse, est "politiquement pathétique", a relevé le syndicaliste. "Il faudrait faire comme les autres" et ne pas se démarquer avec une approche "progressiste". Ce projet de loi est inutile et injuste, a conclu Mme Preti.

Pour les nouveaux employés de l'Etat ou des transports publics, la clé de répartition des cotisations voulue par le gouvernement aura des incidences sur le salaire net. La baisse attendue s'échelonne entre 1,7% et 3%. Une telle diminution réduirait à néant d'autres mesures qui ont été accordées comme l'indexation des salaires.

Les syndicats de la fonction publique craignent, en outre, que les attaques contre les conditions régissant la caisse de prévoyance de la fonction publique (CPEG) continuent. Un projet visant à passer de la primauté des prestations à la primauté des cotisations serait en "gestation" à droite de l'échiquier politique.

Les syndicats vont appeler à la mobilisation de leurs troupes contre ce projet. Ils envisagent déjà le lancement d'un référendum si la modification de la répartition des cotisations est acceptée par le Grand Conseil. "Nous espérons toutefois ne pas en arriver là", a souligné Mme Preti.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Le SFC condamne les débordements de ses supporters

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Servette condamne les débordements de ses "prétendus supporters" (© KEYSTONE)

Le Servette FC a pris position à la suite des "regrettables agissements" qui ont émaillé la fin de la rencontre de Coupe de Suisse de dimanche à Winterthour.

Le club "condamne le comportement de prétendus supporters du club qui ont lancé des engins pyrotechniques contre la tribune Est de la Schützenwiese ce dimanche", rappelle-t-il dans un communiqué.

Le club grenat est "profondément choqué par ces agissements et attitudes provocantes qui ne reflètent pas ses valeurs. En outre, ces actions décrédibilisent le travail du SFC et de ses partenaires pour garantir le bon déroulement de ses matches", souligne-t-il.

"Cette minorité d’individus ne saurait représenter l’écrasante majorité des supporters genevois qui ont fait le déplacement dimanche à Winterthour et qui se sont comportés de manière exemplaire. La fête de tout le monde, des supporters aux joueurs, a été gâchée", conclut le Servette FC, qui se met "à disposition des responsables de la sécurité et des autorités pour faire la lumière sur ces évènements."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La Nuit des musées propose de s'aventurer au coeur de la matière

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Genève avait organisé sa première nuit des musées en mai 2013. Le public avait pu admirer un mapping sur la façade du Musée d'art et d'histoire (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La dixième Nuit des musées de Genève se tiendra le samedi 25 mai, dès 17h00. La matière est la thématique de cette édition. Pas moins de 27 institutions culturelles et scientifiques ouvriront leurs portes au public. Ce dernier aura le choix entre 131 activités.

La manifestation est organisée par le département de la culture et de la transition numérique de la Ville de Genève. Un Pass Nuit des musées est vendu au prix de 10 francs. Outre d'avoir l'accès à toutes les institutions participantes, il permet de prendre des navettes mises en place dans le cadre de la manifestation.

Cette Nuit des musées sera notamment l'occasion de découvrir l'Abri de la Treille. Ce lieu souterrain a servi de poste de commandement du service de défense aérienne passive de Genève durant la Deuxième Guerre mondiale. L'abri est un témoin d'une période méconnue de l'histoire genevoise.

La manifestation proposera également une déambulation "en résonance avec la matière sonore et visuelle collectée au fil du Rhône". Le centre d'art contemporain Halle Nord, de son côté, présentera une exposition avec des oeuvres alliant "peintures phosphorescentes et réalité augmentée".

Pour la première fois, la manifestation organisera aussi une série de visites sensorielles qui seront spécifiquement conçues pour le public sourd et malentendant. Des guides s'exprimeront en langue des signes française. Une traduction en français sera en parallèle mise sur pied pour le public entendant.

Une drôle de dictée

En outre, l'humoriste Thomas Wiesel endossera le costume du professeur et donnera, dans la grande salle de lecture de la Bibliothèque de Genève, une dictée de sa conception qui permettra de tester ses connaissances de la langue française. Les places sont limitées et l'inscription à l'adresse bge-geneve.ch/nuitdesmusees2024 obligatoire.

nuitdesmusees-geneve.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La population genevoise découvre la place d'exercice d'Epeisses

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L'inauguration de la caserne d'Epeisses marque la fin du redéploiement de l'armée à Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La population genevoise a pu découvrir samedi la place d'exercice d'Epeisses (GE). Le lieu est dédié au sauvetage lors de catastrophes. Il s'étend sur 17 hectares et est le centre d'instruction des troupes de sauvetage (CITS 76).

La place et ses installations modulables en fonction des exigences des exercices sont ouvertes aux militaires ainsi qu'aux représentants des forces de police, des sapeurs-pompiers et de la protection civile du canton de Genève, indique dans un communiqué le département des institutions et du numérique (DIN).

L'inauguration de la caserne d'Epeisses marque la fin du redéploiement de l'armée à Genève. L'opération a duré moins de 10 ans. Tout a commencé avec les premiers projets visant à la libération de la caserne des Vernets. Trois bâtiments d'envergure ont été construits pour répondre aux besoins des forces armées.

Désormais, rappelle le DIN, Aire-la-Ville accueille le centre logistique civil et militaire, Meyrin abrite un bâtiment de stationnement de la troupe et Epeisses regroupe la caserne et la place d'exercice. L'utilisation commune des infrastructures par des formations militaires et civiles est "unique en Suisse".

Décors réalistes

A Epeisses, le village est constitué de décors réalistes. Ils représentent des habitations détruites telles qu'elles ont été observées sur les nombreux sites d'intervention de la Chaîne suisse de sauvetage ainsi que des habitations transformées en décombres à cause de la guerre.

Le site est aussi doté d'un simulateur pour les grands feux. Baptisé Vulcain, cette machine offre diverses possibilités de scénarios pour la lutte contre des feux urbains ou industriels, note encore le DIN.

Samedi, le public a pu assister à différentes démonstrations lui permettant de mieux comprendre le rôle des différents acteurs du sauvetage après une catastrophe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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