Genève
Découverte à Genève d'un colis soupçonné de contenir un explosif
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A Genève, un colis suspect a entraîné, mercredi matin, un branle-bas de combat des forces de l'ordre. Le Ministère public de la Confédération (MPC) a annoncé avoir repris l'affaire en main, confirmant une information de Léman Bleu et 20 Minutes.
Selon le MPC, le paquet suspect a été découvert dans un immeuble se trouvant 26 rue de la Corraterie, une rue qui se situe en plein centre de Genève, à l'orée du quartier des banques. "En raison de la présence vraisemblable d'explosif", le MPC et l'Office fédéral de la police (fedpol) ont été informés.
"Des investigations sont en cours pour déterminer l'origine et la nature exacte du contenu du paquet", a encore précisé le MPC à l'agence Keystone-ATS.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Fermeture de la plage de la Plaine, à Dardagny (GE)
La baignade à la plage de la Plaine, à Dardagny (GE), est interdite jusqu'à nouvel avis. Les autorités de surveillance de la qualité sanitaire des eaux ont découvert à cet endroit une concentration de cyanobactéries trop élevée.
Des cyanobactéries de type Woronichinia sp. excèdent le seuil de 20'000 cellules par millilitre recommandé par l'OMS pour les eaux de baignade, relèvent les départements du territoire et de la santé et des mobilités dans un communiqué conjoint diffusé mercredi.
Les cyanobactéries peuvent produire des toxines potentiellement dangereuses pour la santé humaine et animale. Lorsqu'on les avale ou que l'on entre en contact direct avec elles ou qu'on les respire, ces bactéries peuvent irriter la peau, provoquer des troubles digestifs, causer des maux de tête et des vertiges.
Les fortes chaleurs ont favorisé la multiplication des bactéries à la plage de la Plaine. Le fait que l'étang de baignade soit peu profond et que l'eau y stagne peut aussi expliquer le phénomène. Un suivi hebdomadaire de la qualité de l'eau est mis en place à cet endroit par l'office cantonal des eaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Genève: au fil du Rhône sur le D'Artagnan, barge poubelle des SIG
Depuis près de six décennies, les barges poubelles des SIG transportent au fil du Rhône des milliers de tonnes de déchets ménagers du centre-ville de Genève jusqu'à l'usine des Cheneviers. Une équipe de Keystone-ATS a fait le trajet sur un long fleuve pas toujours tranquille.
A la bucolique pointe de la Jonction, vers 8h30, quelques rares coureurs et un ballet de camions poubelles. Les poids lourds déversent tour à tour les ordures ménagères de la ville de Genève et des communes de la rive gauche dans une barge abritée sous un couvert.
Sous des brumisateurs qui luttent contre les nuages de poussière, les tas de déchets sont égalisés, aplatis. Puis la benne d'une soixantaine de mètres de long, baptisée "D'Artagnan", est fermée par des stores mécaniques pour éviter les odeurs, la dispersion des ordures et d'attirer les gourmands rapaces qui tournoient non loin.
Sur 12 km
"Aujourd'hui, nous avons 165 tonnes, ce qui n'est pas loin du maximum", explique Philippe Riesen, responsable de la réception des marchandises et chef de l'équipe. La barge n'étant pas motorisée, un bateau pousseur, le "Tréville", la tire avec douceur hors du quai de chargement, avant de repousser une benne vide dans le chenal.
Très techniques, les manoeuvres sur le Rhône se déroulent "pile poil à la Jonction, là où le Rhône mange l'Arve", commente le chef d'équipe. Elles permettent de placer D'Artagnan devant le Tréville qui poussera la benne sur douze kilomètres.
Aux manettes de l'imposant convoi, Cédric Bernard, responsable du service de transport fluvial et l'un des cinq pilotes de barges des Services industriels de Genève. La vie à bord serait-elle un long fleuve tranquille? "Cela dépend des périodes", répond-il.
"Les péniches peuvent naviguer par tous les temps, notre seule contrainte, c'est le courant qui peut être très irrégulier. Nous nous sommes fixé une limite à un débit de 650 mètres cubes. En hiver, le brouillard peut perturber la navigation, il faut alors l'aide du radar", poursuit-il.
Tout un système d'alerte
"La période estivale est, elle, particulièrement stressante: le Rhône est envahi de nageurs, d'embarcations et d'objets flottants non identifiés", glisse M. Bernard. "Il faut être hyper vigilant". Et de montrer à une centaine de mètres en avant un canoë qui ignore superbement le coup de corne du bateau, avant de finalement se ranger sur le côté.
Dès le milieu de la matinée, "c'est l'enfer", abonde M. Riesen, "si bien que des mesures ont dû être prises: depuis 2019, une escorte fluviale précède la barge l'après-midi. Elle invite les adeptes de la descente du Rhône à se ranger sur la droite ou à s'arrêter. Banderoles et pancartes lumineuses font de même avant le pont de la Jonction".
"Ce n'est pas pour embêter, mais il est vraiment compliqué d'arrêter un convoi frôlant les 400 tonnes: lorsqu'il part en dérive, il est difficilement rattrapable", note le capitaine.
Nature sauvage
Après deux virages délicats passés de main de maître, le bateau continue sa course paisible dans la nature sauvage, à une "vitesse de pointe de 17 à 18 km/h". Suivant les méandres du fleuve d'un vert émeraude, il se faufile entre les roselières, sous le pont Butin, les tours du Lignon, la passerelle de Chèvres, "la plus complexe à passer, car il faut tenir compte de la dérive", relève M. Bernard qui avoue parfois quelques petites frayeurs.
Descendue à fleur de l'eau verte du fleuve, la barge arrive à bon port à l'usine des Cheneviers à Aire-la-Ville, où sont déchargées et incinérées les ordures ménagères. La descente aura duré 45 minutes. "Il faudra une heure pour le retour, les bennes vides étant plus difficiles à diriger", observe le capitaine.
40% des ordures du centre-ville
Par année, en moyenne 40'000 tonnes de déchets sur les 90'000 produites par le centre de Genève et la rive gauche sont transportées sur le Rhône, soit environ 40%. Les quatre barges - toutes au nom de mousquetaires - réalisent en général neuf allers et retours hebdomadaires, relève Thomas Servant, responsable d'unité, lors de l'arrivée au chenal de l'usine d'incinération.
"Outre le nombre de camions en moins sur les routes, ce moyen de transport doux permet de limiter les émissions de CO2. La capacité d'une benne équivaut à celle d'une petite vingtaine de poids lourds. A titre de comparaison, un camion transporte environ 8 tonnes", illustre-t-il.
Crues plus importantes
Reste que ce type de transport est soumis aux aléas climatiques. L'été dernier, à la suite à de pluies torrentielles, "l'Arve a transporté beaucoup de sable. Un gros volume de sédiments s'est déposé dans le chenal à la Jonction. Conséquence: les coques touchaient le fond et le trafic a été interrompu".
"Le problème des crues est récurrent. Mais force est de constater une accentuation de la gravité de ces épisodes", indique M. Servant.
Le dragage des sédiments fait d'ailleurs partie du travail de l'équipe, deux fois par an. Là aussi, les volumes sont de plus en plus importants. Huit mille mètres cubes vont notamment été retirés à la Jonction lors de la prochaine campagne, de fin août à mi-octobre.
Selon Thomas Servant, "l'activité va rester pérenne encore très longtemps". Et de rappeler qu'elle avait été imaginée par des ingénieurs lors l'ouverture de la première usine d'incinération des Cheneviers en 1966. Le transport fluvial de déchets se pratique ailleurs, notamment en France et aux Pays-Bas, précise le responsable.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La Ville de Genève organise un 1er août engagé avec le CICR
En Ville de Genève, les célébrations du 1er août auront lieu au parc La Grange, comme la population en a pris l'habitude depuis plusieurs années. La Municipalité souhaite proposer une fête nationale joyeuse et animée, mais aussi engagée, avec la présence du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) comme hôte d'honneur.
Sur son stand, le CICR, à l'aide de la réalité virtuelle et de son pouvoir immersif, permettra au public de se sensibiliser à la situation humanitaire dans le monde. Pour la Ville, il est crucial de faire connaître l'action de cette institution genevoise majeure, confrontée aujourd'hui à de sévères restrictions budgétaires.
"Cette célébration dans l'un des plus beaux parcs de Genève, berceau du droit international humanitaire, marque l'opportunité de défendre les droits fondamentaux (...) ainsi que les valeurs démocratiques qui fondent notre identité suisse", a indiqué le maire de Genève Alfonso Gomez, cité dans un communiqué.
Le 1er août sera aussi l'occasion de faire la fête avec un programme qui mêlera activités traditionnelles et performances populaires. Il y a aura bien sûr les incontournables démonstrations de lancer de drapeau et de cor des Alpes. Le public sera aussi invité à découvrir des sports comme le tchoukball, inventé en Suisse.
La soirée s'annonce dansante avec un bal folk et une disco pour enfants. Suivra le traditionnel cortège de lampions. Le feu de joie dépendra, lui, de la météo du moment. Des concerts clôtureront la fête avec un groupe béninois, une rencontre entre un cor des Alpes et le collectif genevois Skankin'Society et DJ Mulah.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Calligaris: "Cela ne pouvait pas finir comme ça!"
A l'origine du penalty finlandais, Viola Calligaris était plus que soulagée après la qualification de la Suisse en quarts de finale de l'Euro. "Cela ne pouvait pas finir comme ça!", a-t-elle lâché.
"Je suis tellement heureuse, pour Rio (réd: Riola Xhemaili, la buteuse décisive), pour toute l'équipe et pour toute la nation, pour toute la Suisse", a déclaré la Lucernoise de 26 ans en zone mixte après le match nul contre la Finlande jeudi (1-1), quelques instants après avoir fêté dignement cette qualification historique avec le public du Stade de Genève.
"Après le but de la Finlande, j'ai regardé dans les gradins et je me suis dit que ça ne pouvait pas finir comme ça", a poursuivi la défenseuse de la Juventus, qui a commis l'irréparable à la 77e minute en faisant trébucher la Finlandaise Emma Koivisto dans la surface helvétique.
"Je savais direct que c'était penalty, je ne dois jamais tacler comme ça, alors qu'on était bien en place derrière", a-t-elle regretté. "Mais des fois, c'est comme ça, c'est juste une seconde qui change le cours du match."
La force du public
Poussées par leur public une nouvelle fois au rendez-vous, les Suissesses ont toutefois trouvé les ressources pour égaliser et arracher leur qualification pour le quart de finale du vendredi 18 juillet, qu'elles disputeront contre l'Espagne ou l'Italie.
"J'ai jamais ressenti un truc comme ça. A chaque fois qu'on attaquait avec le ballon, on sentait les fans qui criaient pour nous donner tellement de force et d'énergie", a expliqué Calligaris. "C'est vraiment incroyable, on n'aurait jamais pu imaginer cela quand on était petites, et maintenant on vit ces émotions à chaque match."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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