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Économie

La patinoire des Vernets fait son entrée dans l'inventaire cantonal

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La patinoire des Vernets, qui accueille le GSHC, est inscrite à l'inventaire des bâtiments dignes de protection (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, la patinoire de Vernets est désormais inscrite à l'inventaire des bâtiments dignes de protection du canton. Cette infrastructure réalisée pour la Ville de Genève en 1957-1958 est considérée comme un bâtiment novateur dans le domaine des constructions sportives.

La patinoire a été conçue par les architectes Albert Cingria, François Maurice et Jean Duret. Elle constitue un marqueur de son temps comme peu d'autres constructions à Genève, au sein d'un périmètre - Praille-Acacias-Vernets- en pleine mutation, relèvent jeudi dans un communiqué commun la Ville et le canton.

La patinoire a fait l'objet de plusieurs interventions depuis sa construction. D'importants travaux de rénovation visant à améliorer l'efficience énergétique du bâtiment sont en cours. Ils seront réalisés en concordance avec les instances en charge de la protection du patrimoine.

Situé en bord de l’Arve, le complexe sportif des Vernets a été réalisé par étapes successives, s’échelonnant sur plus de trente ans. A la patinoire couverte construite dès 1957, s’ajoutent une piscine couverte dès 1968, puis des bassins extérieurs, des locaux d’administration et une patinoire extérieure.

Le bâtiment dans son ensemble apparait comme une juxtaposition d’éléments distincts: le socle en béton des gradins et tribunes est surmonté par une toiture légère, indépendante du reste du bâtiment. Cette couverture en aluminium est portée par des poutres de plus de 80 mètres de long, reposant sur un seul appui qui fonctionne comme une rotule. Cette solution structurelle représente un exemple remarquable à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Unilever: la scission des glaces Magnum effective samedi

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La cotation principale de la division qui compte les marques de crèmes glacées Magnum, Ben & Jerry's et Cornetto, se fera à Amsterdam (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La scission de la division glaces d'Unilever, géant des produits d'hygiène, cosmétiques et alimentation, sous le nom "The Magnum Ice Cream Company" aura finalement lieu samedi, a annoncé le groupe britannique.

L'admission des actions de la nouvelle entité "à la cotation et à la négociation à Amsterdam, Londres et New York, ainsi que le début des transactions (...), devraient avoir lieu lundi 8 décembre", a précisé Unilever dans un communiqué vendredi.

La paralysie budgétaire ("shutdown") la plus longue de l'histoire aux Etats-Unis (du 1er octobre au 12 novembre), a affecté totalement ou partiellement de nombreux secteurs de l'Etat fédéral, dont les autorités boursières, faute d'accord pendant des semaines entre les républicains de Donald Trump et l'opposition démocrate.

Unilever, qui voulait précédemment boucler la scission mi-novembre, avait ainsi prévenu en octobre que le gendarme boursier américain (SEC) n'était "pas en mesure de déclarer effectif" l'enregistrement des actions de la nouvelle entreprise. Mais le groupe se disait "déterminé à mettre en oeuvre en 2025" la séparation d'une division qui compte aussi les marques Ben & Jerry's et Cornetto, et dont la cotation principale sera à Amsterdam.

"La déclaration d'enregistrement" des actions aux Etats-Unis "est effective depuis jeudi 4 décembre", a précisé Unilever dans son communiqué. Connu pour les savons Dove, les déodorants Axe ou les soupes Knorr, le groupe avait publié fin octobre un chiffre d'affaires en léger recul au troisième trimestre, mais il faisait mieux qu'attendu par le marché.

Sous la pression d'investisseurs, dont le fonds activiste Trian du milliardaire américain Nelson Peltz, pour améliorer les performances, le groupe a dévoilé l'an dernier un plan stratégique pour se focaliser sur 30 marques "motrices". Il avait alors annoncé la scission de sa division glaces et lancé, pour doper les marges, un plan d'économies prévoyant 7500 suppressions d'emplois, soit près de 6% des effectifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Allemagne : commandes industrielles en hausse

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Les commandes industrielles allemandes ont été dopées par le secteur de l'armement (archives). (© KEYSTONE/DPA/JULIAN STRATENSCHULTE)

Les commandes industrielles allemandes ont augmenté davantage que prévu en octobre. Elles ont été dopées par le secteur de l'armement pendant que le pays se réarme face à la menace russe, selon des données officielles publiées vendredi.

Les nouvelles commandes ont progressé de 1,5 % sur un mois, du fait d'un bond des importantes commandes passées dans la défense et les équipements de transport, qui comprend avions, navires, trains et véhicules militaires, d'après les chiffres provisoires de l'office fédéral des statistiques, Destatis.

Le ministère de l'Économie a précisé dans un communiqué séparé que cette évolution s'inscrivait "dans le contexte des achats de défense", sans fournir davantage de détails. Les analystes interrogés par FactSet tablaient sur une hausse globale de seulement 0,5 % pour cet indicateur clé de l'activité économique.

La valeur pour septembre a par ailleurs été révisée à la hausse, à 2%, ce qui suggère que la crise de l'activité industrielle "a atteint son point le plus bas", a commenté Jens-Oliver Niklasch, économiste à la banque LBBW. Le pays pâtit d'un affaiblissement prolongé de son industrie, d'une demande en berne sur ses marchés clés et de l'impact des droits de douane américains.

L'économie allemande traverse "sa crise la plus profonde" de l'après-guerre, a même averti mardi le lobby industriel du pays (BDI), reprochant au gouvernement son inaction malgré une quatrième année consécutive de production industrielle en chute. Les députés du Bundestag ont voté en mars un vaste plan de dépenses en matière de défense, fort de 500 milliards d'euros sur douze ans, et un autre pour moderniser les infrastructures vieillissantes, de quoi relancer la première économie européenne à partir de l'an prochain.

Le comité des sages économiques allemand, qui doute de l'efficacité du plan d'investissement de Berlin, a abaissé en novembre sa prévision de croissance allemande pour 2026 à 0,9 %, moins que le gouvernement qui table sur 1,3%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Netflix en négociation pour racheter Warner Bros Discovery

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Le géant du streaming Netflix a proposé l'offre la plus élevée pour acquérir le groupe Warner Bros Discovery (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/CAROLINE BREHMAN)

Le géant du streaming Netflix est entré en "négociations exclusives" pour acquérir Warner Bros Discovery (WBD), ont rapporté vendredi les médias américains. Avec ce rachat, Netflix mettrait la main sur un immense catalogue de films et le service de streaming HBO Max.

Netflix a proposé l'offre la plus élevée pour acquérir le studio de cinéma et de télévision dans une transaction évaluée à 28 dollars par action. Les deux groupes doivent officialiser l'information de façon imminente, assure le Wall Street Journal.

Si Netflix et WBD parviennent à un accord, ce serait la plus grosse opération de consolidation dans le domaine du divertissement depuis le rachat de Fox par Disney, pour 71 milliards de dollars en 2019.

Bataille du streaming

La valorisation boursière de Warner Bros Discovery tourne autour de 60 milliards de dollars selon Bloomberg, qui a révélé l'information. Mais son conseil d'administration souhaiterait un montant autour de 75 milliards de dollars, hors dette.

Paramount Skydance et l'opérateur Comcast étaient également en lice pour le rachat de WBD. La bataille du streaming et la décroissance de la télévision traditionnelle entraînent des réorganisations stratégiques majeures chez les grands acteurs américains.

Pour rivaliser avec Netflix et Disney, les concurrents cherchent à s'unir pour se renforcer dans le streaming et améliorer leur rentabilité.

Maison Blanche inquiète

Selon le New York Post, des responsables de la Maison Blanche se seraient récemment inquiétés de cette possible acquisition de WBD par Netflix. Elle confèrerait à la plateforme vidéo, selon eux, une position dominante sur le marché américain des contenus.

"Le vainqueur va orienter la manière dont les plus gros films d'Hollywood sont distribués et comment les annonceurs s'y adaptent", a commenté dans une note Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.

Lors d'un entretien au podcast "The Town", mis en ligne vendredi dernier, le réalisateur James Cameron ("Avatar" et "Titanic" notamment) s'était dit opposé à cette absorption, au motif que les dirigeants de ce dernier privilégient leur plateforme au détriment des salles de cinéma.

Selon Bloomberg, Netflix aurait promis une indemnité de 5 milliards de dollars en cas d'échec du rachat. Le risque n'est pas mince car la transaction pourrait déplaire aux autorités de la concurrence tant aux États-Unis qu'en Europe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Économie

PostFinance nomme une responsable des risques issue de la SGKB

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Postfinance a choisi Heidi Steiger, la responsable Trésorerie de la Banque cantonale de Saint-Gall, pour devenir sa future responsable des risques, de la conformité et des affaires juridiques (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

PostFinance a nommé Heidi Steiger au poste de cheffe des risques, de la conformité et du juridique (CRO) et membre du comité directeur à partir du 15 mars 2026. Elle travaille actuellement à la Banque cantonale de Saint-Gall.

Me Steiger compte "une longue expérience professionnelle et de gestion dans le secteur financier", selon le communiqué du bras financier du géant jaune paru vendredi.

Elle est actuellement responsable Trésorerie à la Banque cantonale de Saint-Gall, où elle a aussi officié en tant que cheffe des risques. Auparavant, elle était passée par UBS. "Heidi Steiger connaît parfaitement les exigences réglementaires des banques de détail ainsi que leur mise en oeuvre et leur application", souligne PostFinance.

La nouvelle venue succédera à Felicia Kölliker, qui a repris les rênes de l'unité Clientèle commerciale au 1er décembre. Patrick Muff dirigera par intérim l'unité des risques jusqu'à l'entrée en fonction de Mme Steiger.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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