Genève
La Ville de Genève priée de mieux prévenir les fuites de données
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Pour la Cour des comptes, la Ville de Genève n'a pas une assez bonne vision des risques liés aux données personnelles sensibles. L'organe, qui a réalisé un audit sur la gestion des données personnelles par l'administration, a présenté huit pistes d'améliorations mais n'a constaté aucune violation de la sécurité.
La Cour des comptes demande notamment à la Ville de Genève "de réaliser une évaluation plus détaillée des risques liés à la sécurité et la manipulation des données personnelles", a annoncé mardi devant les médias la magistrate Sophie Forster Carbonnier. Et suite à cette clarification, d'établir une stratégie de contrôle globale.
Les données personnelles sensibles, telles que décrites par la loi sur l'information du public, l'accès aux documents et la protection des données (LIPAD), concernent notamment les opinions politiques, les croyances religieuses ou les données relatives à la santé. Selon la LIPAD, "des mesures organisationnelles et techniques appropriées" doivent les protéger, sans préciser comment. "C'est à la ville de décider quelles mesures prendre", a expliqué la magistrate.
Aucune violation significative
Il faudra par exemple que la ville se positionne sur les risques liés à l'utilisation de l'intelligence artificielle et le stockage de données sur le Cloud, a précisé Mme Forster Carbonnier. La cour a également demandé de désigner des personnes relais au sein des services, pour renforcer la sécurité des données personnelles. Ainsi que de compléter et actualiser les procédures et le dispositif de formation.
En revanche, la cour précise n'avoir constaté aucun cas significatif de violation de la sécurité des données. Lors de l'audit, elle a identifié des données transférées par clé USB ou Cloud par des administrateurs, pour qu'ils travaillent depuis la maison. Cela n'a pas été considéré comme une fuite, mais comme des risques que la ville doit prendre en compte et décider si elle les juge acceptables.
Les risques liés aux données personnelles concernent aussi des pertes accidentelles, des fuites liées à des prestataires externes ou à l'usage des ordinateurs par les collaborateurs. Les rôles et responsabilités ne sont également pas suffisamment définis au sein des services, estime la cour.
"Grande conscience professionnelle"
Cet audit a eu lieu suite à quatre alertes reçues dès novembre 2023. Elles dénonçaient "des accès trop étendus et inappropriés à des données personnelles de la Direction des systèmes d'information et de communication". La cour a répondu que la Ville de Genève "a pris des mesures jugées appropriées pour limiter les accès et assurer la traçabilité des actions réalisées."
Les alertes dénonçaient aussi une faible traçabilité des consultations ou copies de données personnelles, ainsi que des directives peu claires et un manque de sensibilisation des collaborateurs. Lors de l'audit, la cour a examiné des données sur plusieurs mois.
La cour explique l'absence de fuite par "une grande conscience professionnelle des administrateurs". Le maire de la Ville de Genève Alphonso Gomez s'en félicite: "Ce n'est pas une surprise, les efforts de formation des collaborateurs portent leurs fruits." La ville a accepté toutes les recommandations de la cour.
En plus des mesures prises après ces recommandations, le maire précise que la ville se prépare déjà à l'entrée en vigueur de la nouvelle LIPAD, adoptée en 2024. "Les données sont le défi de demain", a souligné la conseillère administrative Joëlle Bertossa, en charge du département de la culture et de la transition numérique, avant de rappeler leurs dimensions politique et stratégique fondamentales.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Le personnel de la RTS en première ligne contre l'initiative SSR
Le personnel de la RTS appelle à rejeter l'initiative "200 francs, ça suffit!", qui sera soumise en votation le 8 mars prochain. Dans une prise de position publique, des employés ont défendu jeudi leur mission de service public, mise à mal par ce texte.
Un manifeste contre cette initiative de l'UDC a été diffusé dans la foulée. "Ce manifeste du personnel n'est pas une plainte, mais un appel", a souligné Alexandre Madrigali, président du syndicat des médias SSM Genève. Il dénonce une nouvelle salve contre la SSR.
Quatre employés de la RTS - journalistes, réalisateurs et techniciens - ont fustigé l'initiative, qui selon eux met en péril la mission même de service public. Ils témoignaient anonymement en raison des restrictions imposées par la direction de la RTS pendant la campagne, ont-ils précisé.
L'initiative SSR vise à abaisser la redevance à 200 francs par année, et à exonérer toutes les entreprises. "Si elle passe, c'est la fin de la RTS", a insisté Valérie Perrin, secrétaire régionale du SSM.
Complément d'ici 15h00
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La Ville de Genève autorise la musique sur les terrasses à Noël
De la musique d'ambiance pourra exceptionnellement être diffusée sur les terrasses du centre-ville de Genève pendant la période de l'Avant. La Ville de Genève a donné son feu vert à ce type d'animation pour les trois samedis qui précèdent Noël.
Cette décision répond à la demande de la Société des cafetiers, restaurateurs et hôteliers de Genève et du Groupement professionnel des restaurateurs et hôteliers, tout en étant soutenue par l'association Genève commerce, a indiqué jeudi le département de la sécurité et des sports. Elle fait suite à une pétition acceptée au printemps par le Conseil municipal.
La mesure vise à dynamiser le centre-ville et à créer une ambiance conviviale et chaleureuse, estiment les associations professionnelles. Le département précise avoir tenu compte de l'expérience positive menée par la Ville de Lausanne en décembre dernier.
Les exploitants qui veulent pouvoir diffuser de la musique sur leur terrasse entre 10h00 et 20h00 pendant les jours autorisés doivent annoncer les dates concernées d'ici au 28 novembre. Le volume sera limité à 75 dB(A) au maximum. La Ville de Genève prévoit, elle aussi, de tirer un bilan de cette expérience.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Martin Pfister pris à partie à l'Université de Genève
Le conseiller fédéral Martin Pfister a été pris à partie mercredi soir à l'Université de Genève par des manifestants pro-palestiniens. Invité à s'exprimer sur les accords bilatéraux III, il n'a pu reprendre la parole qu'après 25 minutes d'interruption.
Le ministre de la Défense a été hué et sifflé dès qu'il est apparu sur l'estrade pour prendre la parole, à 18h45. En cause: sa décision de maintenir l'achat de drones israéliens. "Pas de collabos dans nos unis", "Israël terroriste, Pfister complice" ou encore "Free Palestine", ont scandé une cinquantaine de personnes dans l'auditoire de 600 places, tout en frappant dans les mains.
M. Pfister a quitté la salle après cinq minutes, tandis que la conseillère d'Etat genevoise Nathalie Fontanet, en charge des Finances, a tenté de discuter avec un groupe de manifestants. A 18h57, des policiers en tenue anti-émeute sont apparus, imposant le silence par leur seule présence. Escortés par des policiers en civil, les manifestants sont peu à peu sortis dans le calme.
Avant la conférence organisée par l'UNIGE et le Comité CH-UE, une quarantaine de personnes s'étaient réunies devant le bâtiment d'UniDufour pour dénoncer "la complicité de la Suisse avec le génocide" à Gaza. D'abord empêchées de rejoindre l'auditoire, elles ont finalement été autorisées entrer. D'autres manifestants, keffieh autour du cou, étaient déjà assis dans la salle.
"Notre ligne est de laisser les gens s'exprimer et poser des questions. La règle est l'écoute, par opposition à l'interruption totale d'un événement", a expliqué le porte-parole de l'alma mater Marco Cattaneo, interrogé par Keystone-ATS. Alors que le conseiller fédéral revenait sur l'estrade sous les applaudissements du public, les manifestants se faisaient entendre à l'extérieur du bâtiment.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
L'Université de Genève s'intéresse à la défense de l'Etat de droit
La défense de l'Etat de droit sera au coeur de la Semaine des droits humains de l'Université de Genève (UNIGE) dès lundi. Théâtre participatif, faux procès, colloques et tables rondes offriront un espace de réflexion et de dialogue autour des fondements juridiques et politiques de l'Etat de droit.
L'événement s'ouvrira avec les lauréats du Prix Nobel de la paix 2022. Une représentante de l'ONG biélorusse Viasla témoignera de l'importance de défendre l'Etat de droit "et les sacrifices que cela peut impliquer", en compagnie de la directrice du Centre pour les libertés civiles en Ukraine et du président du conseil d'administration du Centre des droits humains, indique l'UNIGE.
Pierre Haski, président de Reporters sans frontières, présentera son documentaire "L'Amérique en guerre", sur l'histoire militaire de ce pays, suivi d'une table ronde. Plus actuel, le combat des femmes baloutches au Pakistan contre les disparitions forcées sera ensuite abordé.
Théâtre et grand procès
Des conférences sur la désinformation politique, une table ronde sur les violences policières sont aussi au programme. L'Etat de droit devra littéralement se défendre devant un tribunal, lors de son "Grand procès" organisé en partenariat avec la Société de rhétorique genevoise.
Pour donner corps à la thématique, un spectacle de théâtre participatif a été créé spécifiquement pour cette semaine par la troupe Specta(c)tor. "Scènes d'arbitraire ordinaire" permettra au public de réaliser "combien de nombreuses situations pratiques, quotidiennes, engagent le thème de l'Etat de droit".
La semaine se clôturera par une rencontre dédiée à la catastrophe en cours au Soudan, avec des représentants de l'ONG soudanaise Emergency Response Room. Cette "organisation horizontale d'entraide communautaire" constituée dans le pays face à la crise de l'Etat est "un des endroits où l'on s'autorise à penser à un Soudan post-guerre civile", précise l'UNIGE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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