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Genève

Organisation peu efficiente au service "étrangers" de l'OCPM

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L'organisation du travail au service "étrangers" de l'Office cantonal de la population et des migrations reste peu efficiente. La Cour des comptes recommande la mise en place d'un système de suivi du traitement des demandes en temps réel (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Malgré des changements, l'organisation du travail au service "étrangers" de l'Office cantonal genevois de la population et des migrations (OCPM) reste peu efficiente. La Cour des comptes recommande la mise en place d'un système de suivi du traitement des demandes en temps réel.

Après avoir constaté des lenteurs dans le service, la Cour des comptes a effectué un audit de performance qui a été rendu public mardi. Il en ressort que le système d'information est obsolète et ne permet pas de mesurer le temps de traitement des demandes. De plus, chaque secteur a mis en place ses propres indicateurs de suivi. Résultat: l'OCPM ne connaît pas la réalité opérationnelle.

Le traitement des demandes est aussi rallongé par l'organisation du service, décrite comme peu efficiente. La Cour des comptes constate une répartition complexe des tâches, caractérisée par des allers-retours entre les secteurs. L'enchevêtrement des compétences génère de la confusion pour les collaborateurs et les usagers. S'y ajoute le fait que l'organisation en silo est peu propice à la communication.

La Cour a émis trois recommandations de niveau élevé, qui ont toutes été acceptées. Elle invite le Département des institutions et du numérique à s'assurer que la nouvelle organisation liée au crédit d'investissement de 2,33 millions de francs octroyé en 2016 permette effectivement de fluidifier le traitement des demandes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La Ville de Genève poursuit la végétalisation de ses parkings

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La Ville de Genève poursuit la végétalisation de ses cours intérieures. Aux Pâquis, une cour de la rue Philippe-Plantamour a été réaménagée l'été dernier (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Trois nouveaux projets de végétalisation de cours d'immeubles, actuellement utilisées comme parking, ont été présentés lundi par la Ville de Genève. Depuis 2020, la Muncipalité a ainsi transformé près de 4500 m2 de bitume en surface végétalisée.

"Il y a peu d'espace en Ville de Genève: il faut donc être créatif", a relevé devant la presse Alfonso Gomez, conseiller administratif en charge du Département des finances, de l'environnement et du logement (DFEL). Ses services ont ainsi identifié une centaine de terrains sur le domaine privé de la Ville, qui peuvent être transformés.

Parmi ceux-ci, le square Jean-Jaquet, aux Pâquis. D'une surface de 1850 m2, cette cour comprend actuellement 52 places de parking et cinq arbres. Le projet de végétalisation, qui intègre une récupération des eaux de pluie, prévoit la plantation de 26 arbres, des arbustes et des vivaces afin de créer un îlot de fraicheur pour les habitants.

Les places de stationnement supprimées seront compensées aux mêmes conditions pour les locataires dans des parkings en sous-sol de la gérance immobilière municipale (GIM) à proximité. La Municipalité profite ainsi des synergies entre la GIM et le Service des espaces verts (SEVE) qui sont sous le giron du même département, le DFEL. Le square Jean-Jaquet végétalisé devrait être terminé en été 2026.

Micro-forêt

Un autre projet aux Pâquis est en cours de réalisation. Il s'agit de supprimer, entre la rue de Lausanne et les voies du train, une dizaine de places de parking entre des immeubles en vue de créer une cour arborée. Enfin, au boulevard Carl-Vogt, une micro-forêt de 350 m2 va remplacer 35 places de parking. Les plantations sont prévues en mars prochain.

La Ville de Genève privilégie les végétaux produits dans ses pépinières ou dans les entreprises locales. Parmi les espèces retenues pour ces projets de végétalisation, on retrouve des érables du Japon, des lilas des Indes, des pins sylvestres, des saules et des peupliers. L'objectif étant avant tout de miser sur la diversité.

Ailleurs en ville

Les trois projets présentés lundi s'ajoutent à plusieurs réalisations récentes du SEVE dans des quartiers populaires. Aux Charmilles, dans la zone industrielle, une trentaine d’arbres ainsi qu’une micro-forêt ont été plantés. Aux Grottes, une partie du parking du square Jacob-Spon a été transformé.

Aux Pâquis, une petite cour de la rue Philippe-Plantamour a été réaménagée l’été dernier. Aux Eaux-Vives, les abords de la Mairie ont été végétalisés et la partie haute du parc a été dégrappée pour créer une nouvelle zone de détente. Une micro-forêt a vu le jour à Villereuse. Un crédit de 8,4 millions de francs a été voté pour accélérer la végétalisation de la cité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le Chênois, organe officiel des communes des Trois-Chêne, a 110 ans

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Alors que le contexte de la presse romande est morose, le journal communal Le Chênois fait preuve d'une remarquable longévité: il fête cette année ses 110 ans d'existence (image prétexte). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

A Genève, le journal Le Chênois fête cette année ses 110 ans. Tiré à 18'300 exemplaires et distribué dans tous les ménages de Chêne-Bourg, Chêne-Bougeries et Thônex, l'organe officiel des communes des Trois-Chêne sera désormais aussi disponible dans des caissettes à journaux.

L'objectif est d'accroître la visibilité du journal et de le rendre accessible aux personnes ne résidant pas dans les Trois-Chêne, indique la rédaction du Chênois dans un communiqué. Un site internet sera aussi lancé cette année d'anniversaire afin de compléter la présence du média local sur les réseaux sociaux.

Le Chênois a été créé en pleine Première guerre mondiale par les autorités de Chêne-Bougeries. Il visait à informer plus efficacement la population des décisions officielles à une époque où les initiatives se succédaient pour soutenir les hommes mobilisés aux frontières et leurs familles livrées à elles-mêmes.

En 1926, Le Chênois devient l'organe officiel des communes des Trois-Chêne. Il publie les avis officiels, les communiqués des sociétés communales et des chroniques historiques. Durant 68 ans, il ne traitera que des affaires communales sous le seul angle officiel, étant sous la responsabilité directe de l'exécutif.

La nouvelle formule ouverte sur l'extérieur est lancée en 1983. Le Chênois dépend alors des conseils municipaux. En 2003, le journal est confié à une association qui comprend des membres des exécutifs et des conseils municipaux. La rédaction compte un rédacteur en chef, un assistant de direction, un graphiste, une équipe de 5 à 7 journalistes et des partenaires rédactionnels bénévoles.

Le Chênois paraît sept fois par an. La longévité du journal est "remarquable" dans un contexte morose pour la presse romande, relève la rédaction. Elle s'explique en grande partie par le soutien financier de communes chênoises, mais également par la fidélité des annonceurs locaux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Villa de Zep: les partisans d'un parc public se mobilisent

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La villa propriété de Zep est située sur un terrain de 35'000 mètres carrés (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une centaine de personnes, selon un journaliste de Keystone-ATS, 300 selon les organisateurs, ont participé samedi à une "déambulation" dans le quartier des Charmilles, à Genève pour dénoncer le manque de zones de verdure dans le périmètre. Elles soutiennent le projet de la Ville de Genève d'acquérir le domaine du dessinateur de BD Zep, afin de le transformer en parc public.

Parmi ces promeneurs du samedi, on pouvait reconnaître le conseiller administratif des Vert-e-s de la Ville de Genève Alfonso Gomez, l'ancienne conseillère d'Etat écologiste Michèle Künzler ou l'ancien conseiller national des Vert-e-s Ueli Leuenberger.

L'avenir de la propriété de Zep a pris un tour très politique ces dernières semaines au bout du lac. En novembre, le Conseil municipal de la Ville de Genève avait accepté un crédit de 21,5 millions de francs pour racheter la bâtisse du 18e siècle, construite au bout d'une grande allée boisée, à l'abri des regards.

La parcelle de 35'000 mètres carrés convoitée par la municipalité, qui porte le nom de Campagne-Masset, outre la maison de maître, comprend une piscine, des vignes produisant du vin, une forêt ainsi qu'une prairie. On entre dans le domaine par un grand portail situé sur l'avenue d'Aïre.

Opportunité unique

Pour la gauche et le MCG, la vente de cette demeure hors du commun représente une opportunité que ne doit absolument pas laisser passer la Ville de Genève. Son acquisition par la municipalité permettra notamment de créer un parc public qui serait un poumon de verdure au milieu d'un quartier déjà fortement densifié et qui voit fleurir les nouvelles constructions.

Le PLR a lancé un référendum contre ce crédit d'achat. Il a été rejoint dans son combat par Le Centre, les Vert'libéraux et l'UDC. La droite conteste déjà le prix de vente de 21,5 millions de francs. Un investissement qu'elle estime conséquent au moment où la Ville de Genève prévoit un budget déficitaire pour 2025.

La droite critique également le flou à propos de l'affectation future de la maison et les coûts d'entretien qu'elle risque de générer pour la municipalité. De plus, pour les opposants, la parcelle n'est pas idéale pour devenir un parc public, car le terrain est en pente et ne compte qu'un unique accès depuis l'avenue d'Aïre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sakari Manninen prend 5 matches

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Sakari Manninen, avec le maillot de top scorer, a pris 5 matches de suspension pour son geste sur un officiel contre Zoug (© KEYSTONE/PostFinance/URS FLUEELER)

Coupable d'un cross-check dans le dos d'un officiel lors du match contre Zoug, Sakari Manninen a écopé de cinq matches de suspension. Il doit en outre s'acquitter d'une amende de 7500 francs.

Mercredi soir lors de la défaite de Genève-Servette à Zoug (7-4), Sakari Manninen avait de manière totalement incompréhensible asséné un coup de crosse à un officiel se tenant dos à lui et alors qu'il se chamaillait avec Sven Senteler.

L'absence de précédent a sans doute joué dans la décision, le joueur finlandais n'étant pas un joueur méchant. Le fait qu'il se soit immédiatement excusé auprès du juge de ligne a peut-être aussi pesé.

Genève peut faire recours, comme Bienne l'avait fait il y a quelques semaines lorsque Toni Rajala avait malencontreusement attrapé la visière d'un officiel alors qu'il avait son casque sur les yeux et qu'il pensait que c'était Enzo Corvi. Il avait alors écopé de deux matches de suspension qui avaient ensuite été annulés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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