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Genève

Un scootériste grièvement blessé après une double embardée

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Un scootériste a été grièvement blessé dans un double accident de la route qui s'est produit entre Chêne-Bougeries et Thônex (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Un scootériste né en 1996 a été grièvement blessé sur la route dans la nuit de jeudi à vendredi dans la région chênoise, à Genève. Selon les premières constatations, il se serait relevé après un premier accident à Chêne-Bougeries et serait reparti en embardée quelques kilomètres plus loin, à Thônex.

Le scootériste a été pris en charge par les secours vers 01h15 sur le chemin des Mésanges à Thônex, a indiqué vendredi à Keystone-ATS Alexandre Brahier, porte-parole de la police cantonale. Il était conscient et n'avait pas de blessures apparentes. L'homme, qui était seul, a été emmené à l'hôpital.

Vers 04h00, son état s'est dégradé jusqu'à engager son pronostic vital. Il souffre de blessures internes. La police a constaté des marques d'un autre accident sur le scooter. Après de minutieuses recherches pendant la nuit, la police a trouvé des traces d'une autre embardée sur la route de Jean-Jacques Rigaud, à Chêne-Bougeries.

Les spécialistes étaient encore sur place vendredi en début de matinée pour poursuivre leurs relevés. La circulation a été complètement interrompue sur une partie de cette route pour permettre leur travail.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Musée de Carouge présente un siècle de photos de classe

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Cette photographie d'une classe de l'Ecole Jacques-Dalphin date de 1914. Elle est exposée au Musée de Carouge. (© @CRIEE)

La nouvelle exposition du Musée de Carouge (GE), qui débute le 25 janvier prochain, est consacrée aux photos de classe du 20e siècle. Le public peut découvrir des clichés provenant de l'Ecole Jacques-Dalphin et de celle des Pervenches. A découvrir jusqu'au 27 avril 2025.

La photographie de classe est un véritable rituel social. Parmi les objets scolaires, elle figure depuis des générations comme un élément soigneusement conservé dans les archives personnelles, relève le Musée de Carouge.

Il n'est donc pas surprenant d'en retrouver des traces dans les musées, les collections et les fonds d'archives, comme ceux de la CRIÉE (Communauté de recherche interdisciplinaire sur l'éducation et l'enfance) qui collabore à cette exposition. Les Archives de la Ville de Carouge, les Archives de la vie privée et le Service des écoles et institutions pour l'enfance ont aussi participé.

Une époque et ses modes

Chaque détail ouvre une porte sur une époque, ses modes vestimentaires et ses environnements scolaires. Au 19e siècle, ces photos étaient souvent utilisées pour montrer la discipline et l'ordre au sein des établissements. Les élèves sont alignés, les visages souvent plus graves qu'aujourd'hui aussi parce que les temps de pose étaient longs.

Dans les années de guerre, l'habillement est modeste. Jusqu'en 1960, les tenues des enfants sont assez uniformes. Puis, au fil des décennies suivantes, ces portraits de groupe sont de moins en moins posés, reflétant les courants d'émancipation de l'époque.

Les photos de classe modernes capturent non seulement les visages des élèves, mais parfois aussi des moments plus spontanés, reflétant une approche plus libre et inclusive de la vie scolaire et toujours en miroir de la société. Ces photos permettent ainsi de se rendre compte de l'évolution scolaire au fil des décennies.

https://www.carouge.ch/photos-de-classe-pose-ou-grimace

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Campagne de promotion des métiers de la santé

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Le canton de Genève souffre d'une pénurie de diplômés en soins infirmiers (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, l'organisation OrTra santé-social lance une campagne de promotion de plusieurs métiers liés à la santé qui font face à un manque de relève. Il s'agit des aides en soins, des assistants et assistantes en soins et des infirmiers et infirmières.

Depuis plusieurs années, le phénomène de pénurie s'accentue dans certaines professions de la santé, constate l'OrTra santé-social, vendredi, dans un communiqué. "Au sein des lieux de formation, malgré des efforts de promotion auprès de divers publics, on peine à recruter suffisamment de candidats pour remplir les classes".

L'OrTra santé-social a donc réuni les principaux employeurs et associations du secteur, ainsi que la Haute école de santé et le Centre de formation professionnelle santé afin de sélectionner les métiers à valoriser dans le cadre d'une campagne de promotion. La campagne ciblera en priorité les jeunes de 15 à 25 ans.

Elle se déclinera en 2025 et 2026 principalement via des canaux digitaux, mais aussi à travers la publicité au cinéma et le marketing événementiel, indique l'OrTra santé-social.

Au début du mois, le Conseil d'Etat genevois, conscient de la pénurie de personnel soignant dans le canton du bout du lac, avait annoncé l'ouverture de nouvelles bourses en faveur des étudiants de la filière bachelor en soins infirmiers. L'objectif est d'augmenter le nombre de diplômés de 535 en 2024 à 600 d'ici à 2028.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Geneva Lux va illuminer la rade jusqu'au 2 février

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Pour cette 11e édition, 24 oeuvres lumineuses sont à découvrir. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le festival de lumières Geneva Lux, qui débute vendredi, va illuminer la rade jusqu'au dimanche 2 février. Pour cette 11e édition, 24 oeuvres lumineuses, dont quinze sont présentées pour la première fois au public, sont à découvrir.

Les créations emporteront les spectateurs à travers le monde des mythes et des légendes. Une balade à travers le Jardin Anglais permettra de se laisser surprendre par d’étonnantes créatures articulées et scintillantes, de se perdre dans une forêt magique ou d'observer sur l’eau une version locale du monstre du Loch Ness.

"En complément des ½uvres présentées, la programmation a été étoffée avec un plus grand nombre de performances et de déambulations artistiques visibles du jeudi au samedi, renforçant ainsi l’attractivité du festival et l’animation autour de la Rade", a relevé Marie Barbey-Chappuis, conseillère administrative de la Ville de Genève, citée dans un communiqué.

Il y aura ainsi un spectacle alliant lasers et performances en flyboard, une représentation son et lumière projetée sur un écran d'eau, des marionnettes géantes lumineuses, un spectacle de feu et un défilé de lampions. Un final acrobatique et aérien offrira une dernière danse en l’honneur des créatures obscures.

A l'origine, le festival était essentiellement décoratif. Il précédait la période de Noël. Avec le temps, la manifestation a pris une nouvelle dimension, plus artistique et culturelle. Des créations locales mais aussi internationales sont présentées au public.

https://evenements.geneve.ch/genevalux-oeuvres/home

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Genève

L'installation de capteurs et de caméras en cellules sera discutée

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Le débat sur l'installation de caméras "intelligente" dans les cellules des postes de police devrait avoir lieu lors de la prochaine séance du Grand Conseil, les 23 et 24 janvier (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, des députés demandent au Conseil d'Etat d'étudier la possibilité d'équiper les cellules des postes de police de capteurs et de caméras afin de surveiller les personnes incarcérées et particulièrement vulnérables. Cette suggestion fait suite à deux décès intervenus dans des violons au début 2024.

Le rapport annuel de la commission des visiteurs officiels du Grand Conseil, dont Le Temps s'est fait écho jeudi, sera discuté lors de la prochaine séance du Parlement, les 23 et 24 janvier. Il contient différentes recommandations au sujet des conditions de détention dans le canton. Ce document a été approuvé à l'unanimité des membres de la commission, indique jeudi sa présidente.

Le rapport, qui couvre la période allant de mai 2023 à mai 2024, revient notamment sur les deux décès intervenus au début 2024 dans les cellules du Vieil hôtel de police, situé au boulevard Carl-Vogt. Préoccupée par ces décès, une délégation de la commission avait effectué une visite surprise dans les violons de ce commissariat.

La commission se montre favorable à une surveillance des personnes considérées comme vulnérables, par exemple sous l'effet de stupéfiants. Elle préconise un "contrôle visuel régulier" et le cas échéant un transfert dans un établissement hospitalier.

Dans le cadre de cette surveillance, la commission invite l'exécutif à "étudier la faisabilité d'équiper tous les violons des postes de technologies permettant la détection de l'état de santé d'une personne détenue". Elle évoque la pose de capteurs et de caméras ainsi que de "caméras intelligentes" afin de mesurer certaines constantes médicales.

L'objectif est de réduire les risques d'atteinte grave à la santé physique ou psychique de la personne détenue. Les députés relèvent toutefois que l'installation de caméras ne peut être que complémentaire à une intervention humaine spécifiquement formée à la détection de signes de vulnérabilité d'une personne détenue.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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