Suisse Romande
L'édition 2024 de la Patrouille des Glaciers sur les rails
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La prochaine édition de la Patrouille des Glaciers (PdG) est sur les rails. La manifestation est prévue du 15 au 21 avril 2024. Elle est organisée par l'armée en collaboration pour la première fois avec la nouvelle Fondation de la Patrouille des Glaciers.
Les inscriptions seront ouvertes du 1er au 30 septembre 2023, annonce mardi le nouveau commandant de la PdG, le brigadier Christian Sieber, lors d'un point-presse à Sion. Les patrouilles pourront s’inscrire directement sur le site officiel de la PdG.
Les patrouilles militaires suisses et internationales ainsi que celles avec guide de montagne certifié seront prioritaires. En fonction du nombre d’inscriptions, un éventuel tirage au sort est prévu pour les patrouilles civiles.
Comme tous les six ans, la PdG servira aussi de cadre aux championnats du monde de longue distance de la fédération internationale de ski-alpinisme. Les 25 patrouilles attendues pour cet événement constituent une catégorie à part, précise Philippe Rebord, président de la Fondation de la Patrouille des Glaciers (FoPdG) et ancien chef de l’armée suisse.
Sécurisation
Le nouveau partenariat entre l'armée suisse et la FoPdG est articulé par une convention qui court jusqu'en 2028. Il est "animé par une volonté de transparence et de confiance" pour assurer le succès de la course mythique, souligne Christian Sieber. Mais aussi par une volonté de stabilité, alors qu'en quatre éditions, elle a vu passer quatre commandants.
Concrètement, l'armée se charge de toute l'organisation de la course, de la sécurité du parcours et des coureurs. Plus de 1600 militaires sont engagés et mobilisés durant la semaine de l'épreuve de ski alpinisme à laquelle environ 5000 patrouilleurs et patrouilleuses sont attendus.
Promotion
De son côté, la fondation doit gérer les fonds, les relations avec les sponsors et les sous-traitants. Elle chapeaute ainsi les différents mandats octroyés par exemple pour la gestion du matériel, des archives ou encore la coordination et la promotion du marketing de la course.
"Il faut compter entre 3500 et 4000 heures de travail pour organiser ce qui incombe à la fondation", indique son président Philippe Rebord. Parmi les mandataires, Valais Wallis Promotion, en contact permanent avec le commandant de la Patrouille des Glaciers, sera responsable par exemple de mettre en musique les prestations dans les villages de départ et d’arrivée de la course.
Relais
La fondation prend le relais de l'Association de soutien de gestion et de promotion de la Patrouille des Glaciers qui était dans la tourmente en raison d'accusations récurrentes liées à la gestion financière du comité directeur et à son manque de transparence.
L'édition 2022 avait été organisée par l'armée, épaulée par l'Etat du Valais. Pour les prochaines éditions, celui-ci n'est plus impliqué dans la partie opérationnelle de l'organisation de la course.
www.pdg.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Le Valais veut introduire l'usage des caméras piétonnes dans la loi
Le Grand Conseil valaisan a unanimement accepté mardi l'entrée en matière concernant la modification de la loi sur la police cantonale. Celui-ci doit permettre la recherche automatisée des véhicules et l'utilisation des caméras piétonnes ("bodycams").
"Dans le cadre de différents engagements de la police cantonale, la récolte d’image au moyen de cette technologie facilite le travail d’enquête, afin d’identifier des auteurs", souligne le Conseil d'Etat valaisan. Les cantons d'Argovie et de Berne et la Ville de Zurich ont déjà adopté une telle loi. "Ces caméras sont déjà utilisées dans la plupart des cantons romands", précise la socialiste Véronique Chervaz.
Ce nouvel article 58a délègue au Conseil d’Etat de légiférer, dans une ordonnance, sur les modalités d’exécution de l’utilisation de ces données. "Il est impératif que l’utilisation des bodycams soit strictement réglementée. Il sera notamment précisé l’obligation d’annonce par le policier porteur de la bodycam, de l’enclenchement de l’enregistrement de la vidéosurveillance et du son", précise le Conseil d'Etat dans son message.
Selon le conseiller d'Etat en charge de la sécurité, Stéphane Ganzer, les caméras piétonnes seraient utilisées "lors des missions de maintien de l'ordre et par les groupes d'intervention" de la Police cantonale.
Questions de proportionnalité
"Le recours aux bodycams peut conduire à une désescalade dans des situations critiques", s'est réjoui la socialiste Silvia Eyer. Le groupe PS a choisi de déposer des amendements contre la discrimination et en faveur du droit à la dignité. Il veut également que les rangs de la Police cantonale soient ouverts aux ressortissants non-suisses.
Selon Laurence Rausis, le Centre du Valais romand va déposer un amendement qui supprime l'obligation d'annoncer l'utilisation de sa bodycam, pour des questions de proportionnalité avec les manifestants ou les témoins qui peuvent filmer des scènes sans limitation.
"Le PLR veut également d'une mise en oeuvre efficace des droits fondamentaux", dixit la députée Géraldine Gianadda. "Nos policiers sont en première ligne. Ils méritent d'être protégés", a rappelé Nadine Reichen (UDC du Valais romand).
Ajouter les teasers?
Pour Sylvain Amos (Les Vert-e-s), le projet de modification de la loi doit être précisé. Elle doit permettre aux personnes contrôlées de demander un enregistrement. La verbalisation du début de celui-ci doit également être explicitée. Les écologistes ont déposé deux amendements en ce sens.
Le Centre du Valais romand veut ajouter un alinéa à cette modification de la loi. Celui-ci porterait sur le port du bracelet électronique afin de "compléter l'arsenal des outils à la disposition de la justice. Il doit aussi s'agir d'une contribution à la protection des victimes. L'UDC du Haut-Valais voudrait, lui, régler l'utilisation des teasers dans cette loi. L'élargissement de l'utilisation des bodycams pour les polices municipales a également été évoqué.
Se mettre en conformité
En matière de règlementation de la recherche automatisée de véhicules (aussi appelée "système RVS"), la Police cantonale serait, avec cette modification de la loi, habilitée à utiliser ce système uniquement pour la prévention d’infractions et plus dans le cadre de la poursuite de crimes et délits. De plus, la durée de la conservation de la donnée serait réduite de 100 à 30 jours. Au niveau de cet article 59, il s'agit pour le Valais de modifier sa loi afin de se mettre en conformité avec une décision du Tribunal fédéral d'octobre 2024.
Le débat en première lecture aura lieu jeudi matin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La croissance du PIB vaudois devrait baisser à 1,1% en 2026
Les perspectives de l'économie vaudoise se dégradent. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du canton est attendue à 1,1% en 2026, alors qu'elle a progressé de 1,9% cette année. L'annonce de droits de douane de 39% par les Etats-Unis explique notamment ces prévisions à la baisse.
"Les droits de douane additionnels de 39% appliqués aux marchandises de nombreuses entreprises suisses font partie des plus élevés au monde. A ce niveau, leur compétitivité-prix est réduite par rapport à des concurrents installés dans d'autres pays moins taxés", fait remarquer mardi la commission Conjoncture vaudoise dans un communiqué. La baisse de 10% du cours du dollar par rapport au franc constitue par ailleurs un "obstacle supplémentaire".
La demande intérieure vaudoise demeure toutefois "robuste", se réjouit la commission. Le taux de chômage reste "peu élevé", à 4,5%, tandis que les taux d'intérêt sont bas.
Dans les prévisions par branche, le commerce de gros et de détail est attendu en "forte croissance" (plus de 2%) cette année et l'an prochain. Les services aux entreprises, les activités immobilières ainsi que les services publics et parapublics devraient connaître une croissance "modérée" entre 0,5 et 2% en 2025, ainsi qu'une "forte croissance" en 2026.
Horlogerie et machines en forte baisse
La construction devrait croître fortement en 2025 puis modérément en 2026, bien que la future suppression de la valeur locative pourrait changer la donne. Les services financiers devraient connaître une croissance modérée en 2025 puis une stagnation en 2026. L'hôtellerie-restauration devrait quant à elle stagner en 2025 puis baisser modérément en 2026.
Un "repli modéré" attend les transports et communications en 2025 et devrait être suivi par une "forte baisse" en 2026. La chimie-pharma, devrait constater une forte hausse en 2025, suivie d'un repli modéré en 2026. Enfin, l'industrie des machines et l'horlogerie devraient se situer en forte baisse en 2025 comme en 2026.
Compte tenu du degré d'incertitude élevé, notamment sur le plan géopolitique, l'endettement de certains pays ou encore l'évolution du cours du franc, ces prévisions sont toutefois à considérer avec prudence, souligne la commission.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne va réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois
La Ville de Lausanne a dévoilé mardi sa stratégie adaptée de la drogue face à la crise du crack. Elle a décidé de réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois, courant 2026. La Ville étudie aussi le regroupement des prestations sociosanitaires sur un seul site.
Commerçants, élus, riverains demandaient depuis plusieurs mois des actions à la suite de l'ouverture du deuxième Espace de consommation sécurisé (ECS) en plein centre-ville en 2024. C'est notamment l'émergence du crack qui a généré de la violence et de l'insécurité dans le secteur.
La Municipalité a aussi annoncé une extension des horaires de l'antenne de la Riponne aux lundis et mardis matins ainsi que durant la pause de la mi-journée. Le soir, elle fermera à 22h00 au lieu de 21h30. Parallèlement, la Ville va renforcer la présence de la police à proximité du local d'injection. Dès le 17 novembre, police et agents de sécurité et d'accueil assureront une présence 24h/24 dans les secteurs nord et sud de la Riponne.
La Ville va aussi créer un poste de chargé de la "stratégie drogue".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Grand Conseil valaisan: l'étude du budget 2026 démarre
Les députés du Grand Conseil valaisan ont entamé mardi l'étude du budget 2026 par la traditionnelle entrée en matière. Une heure de prises de position qui a donné la couleur de la suite des débats.
Le budget 2026 de l'Etat du Valais présente un excédent de recettes de 0,1 million de francs et de financement de 0,5 million de francs. Ce budget découle notamment de l'utilisation des fonds et des réserves de l'Etat du Valais pour 126,5 millions de francs. Sinon il aurait été déficitaire. Le budget respecte le double frein à l'endettement.
"Nous vivons au-dessus de nos moyens", a résumé la cheffe du groupe PLR, Sonia Tauss-Cornut. Pour Nathan Bender (Le Centre du Valais romand), "les réserves sont grignotées et les risques comptables augmentent. Priorisons les meilleurs ratios entre coûts et bénéfices."
Le budget atteint 4,77 milliards de francs, en hausse de 4,7% par rapport au précédent. Cette situation s’explique notamment par la création de 96 postes de travail supplémentaires, dont 43 sont totalement autofinancés. Le PLR va déposer un amendement pour réduire de 20 EPT le nombre de postes prévus pour 2026.
La chorale des marmottes
En la matière, "nous attendons une priorisation du gouvernement, afin de réaffecter nos ressources", a souligné Grégory Logean (UDC du Valais romand). Tout comme son collègue du Haut-Valais Christian Gasser, le député d'Hérémence a appelé à ajouter 3 millions de francs pour l'entretien des routes cantonales au budget 2026.
"Cette année, je ne veux plus participer à la chorale des marmottes qui dit oui à tout", a souligné pour sa part le chef du groupe du Centre du Haut-Valais, Aron Pfammatter, en songeant à la création de postes prévus pour l'an prochain.
Le volume des recettes estimées pour la période 2025-2028 des impôts sur les personnes physiques et morales et sur les gains immobiliers a été réévalué à la hausse pour ce budget 2026 (+98 millions). Le niveau des investissements se monte à 529 millions de francs brut.
"Une distorsion de la concurrence"
Ce budget tient compte d’un versement de 54 millions de francs de la part de la Banque nationale suisse (BNS) et d'une indexation des salaires des enseignants, des fonctionnaires de l’Etat et du personnel des institutions paraétatiques à hauteur de 0,6%. "Une distorsion de la concurrence par rapport au secteur privé", critique Sonia Tauss-Cornut (PLR).
De leur côté, les Verts vont déposer deux amendements en faveur de la prévention et l'adaptation aux changements climatiques sous forme de soutiens ciblés aux communes et aux PME du canton pour un montant total de 700'000 francs. Les écologistes déposeront un amendement supplémentaire de 750'000 francs en faveur des aides aux bergers, un montant accepté par le Parlement en 2025, mais qui ne figure pas dans le budget 2026.
Le PS prêt à refuser le budget
Le PS va pour sa part demander 5 millions de francs pour l'indemnisation des sinistrés de Sous-Géronde à Sierre en lien avec les intempéries de 2024 et des moyens supplémentaires pour la lutte contre les violences conjugales et pour les tribunaux. "Notre groupe se garde le droit de refuser le budget s'il ne s'améliore pas d'ici au 19 décembre", a conclu sa cheffe de groupe, Sarah Constantin.
Dans sa prise de parole, la grande argentière cantonale Franziska Biner a souligné que plusieurs crédits supplémentaires sont prévus au niveau du budget: 11 millions pour Blatten, 22 millions pour les conséquences des intempéries du 17 avril dernier et 20,7 millions pour le secteur de la santé. Ces crédits n'auront pas d'incidence sur le budget grâce à l'utilisation de divers fonds, a-t-elle relevé.
Le vote final sur le budget aura lieu lors de la session de décembre. Quelque 170 propositions du Parlement seront traitées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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