Rejoignez-nous

Genève

Les HUG favoriseraient la sous-enchère dans le nettoyage selon le SSP

Publié

,

le

Le Syndicat des services publics a qualifié "d’inutiles" les mesures prises par l’Etat pour lutter contre le dumping salarial dans le secteur du nettoyage.

Les mesures du Conseil d’Etat pour lutter contre la sous-enchère salariale dans le secteur du nettoyage ne sont que de la «poudre aux yeux». Voilà ce qu’affirme le Syndicat des services publics actif aux Hôpitaux Universitaires de Genève. Pour rappel, la semaine dernière le Conseiller d’Etat Serge Dal Busco annonçait vouloir lutter contre le dumping salarial en améliorant la formation et en ne considérant plus le prix comme déterminant dans l’appel d’offre. Le but : faire passer le salaire horaire de 19 à 19 francs 80. Pour le SSP, ce salaire ne permet pas aux nettoyeurs des HUG, employés par les entreprises privées, de vivre. La secrétaire syndicale du SSP, Sabine Furrer:

Sabine FurrerSecrétaire syndicale au SSP

 

Le syndicat réclame l’engagement «à l’interne» de ces employés affectés au nettoyage des locaux administratifs, comme l’ont fait pratiquement tous les hôpitaux de Suisse. Mais cette mesure coûterait-elle moins cher ? La réponse de Sabine Furrer, secrétaire syndicale au SSP:

 

Sabine FurrerSecrétaire syndicale au SSP

 

Selon le SSP, quatre cadres seraient employés à plein temps pour surveiller ces entreprises privés de nettoyage. Leurs salaires cumulés coûteraient aux HUG quelque 450’000 francs par an.

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

Le Musée de la Réforme lance une invitation à voir l'invisible

Publié

le

Le Musée international de la Réforme propose de "voir l'invisible" dans sa nouvelle exposition (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

"Voir l'invisible", la nouvelle exposition de Musée international de la Réforme (MIR), à Genève, qui s'ouvre le 30 janvier, propose au public un voyage dans le royaume des esprits et dans l'au-delà à travers 14 oeuvres d'art brut provenant des quatre coins du monde.

Ces créateurs et créatrices autodidactes, solitaires et marginaux, expriment dans une grande diversité de formes des interrogations existentielles et métaphysiques. Leurs peintures, dessins, sculptures ou broderies sont "des productions qui ouvrent sur l'altérité et l'invisible", relève le MIR sur son site internet.

Chacune des créations présentées a vu le jour dans une cellule d'un asile, une chambre exiguë, une cave, un grenier, un lieu retiré, "hors du temps", propice à l'imaginaire et à l'utopie. Les oeuvres sont le résultat "d'une vision ou d'une épiphanie en relation avec des défunts ou des forces occultes".

Les auteurs et les autrices de ces oeuvres ne "se considèrent pas comme des artistes, mais des messagers reliés à des défunts ou des divinités, en communion avec la nature et le cosmos". Selon le MIR, les créations qui sont exposées "incitent à l'introspection et aux interrogations existentielles".

Robe pour l'au-delà

Le Ghanéen Oko Ataa a ainsi conçu un coq géant qui est en réalité un sarcophage préparé pour un défunt réel. Le public pourra aussi découvrir la robe créée par la Française Jeanne Laporte-Fromage. Le vêtement a été cousu et brodé après le décès de son mari. Elle le porte pour retrouver son bien-aimé dans l'au-delà.

L'exposition montre aussi deux diagrammes "prophétiques" de Henry Dunant. Le fondateur de la Croix-Rouge s'est inspiré des Livres bibliques de Daniel et de l'Apocalypse. L'Américain John B. Murray, de son côté, révèle sa foi à travers "des dessins entremêlant des écrits volubiles et des figures totémiques".

L'exposition "Voir l'Invisible", qui s'ouvre le 30 janvier, se terminera le 1er juin 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Le Musée de Carouge présente un siècle de photos de classe

Publié

le

Cette photographie d'une classe de l'Ecole Jacques-Dalphin date de 1914. Elle est exposée au Musée de Carouge. (© @CRIEE)

La nouvelle exposition du Musée de Carouge (GE), qui débute le 25 janvier prochain, est consacrée aux photos de classe du 20e siècle. Le public peut découvrir des clichés provenant de l'Ecole Jacques-Dalphin et de celle des Pervenches. A découvrir jusqu'au 27 avril 2025.

La photographie de classe est un véritable rituel social. Parmi les objets scolaires, elle figure depuis des générations comme un élément soigneusement conservé dans les archives personnelles, relève le Musée de Carouge.

Il n'est donc pas surprenant d'en retrouver des traces dans les musées, les collections et les fonds d'archives, comme ceux de la CRIÉE (Communauté de recherche interdisciplinaire sur l'éducation et l'enfance) qui collabore à cette exposition. Les Archives de la Ville de Carouge, les Archives de la vie privée et le Service des écoles et institutions pour l'enfance ont aussi participé.

Une époque et ses modes

Chaque détail ouvre une porte sur une époque, ses modes vestimentaires et ses environnements scolaires. Au 19e siècle, ces photos étaient souvent utilisées pour montrer la discipline et l'ordre au sein des établissements. Les élèves sont alignés, les visages souvent plus graves qu'aujourd'hui aussi parce que les temps de pose étaient longs.

Dans les années de guerre, l'habillement est modeste. Jusqu'en 1960, les tenues des enfants sont assez uniformes. Puis, au fil des décennies suivantes, ces portraits de groupe sont de moins en moins posés, reflétant les courants d'émancipation de l'époque.

Les photos de classe modernes capturent non seulement les visages des élèves, mais parfois aussi des moments plus spontanés, reflétant une approche plus libre et inclusive de la vie scolaire et toujours en miroir de la société. Ces photos permettent ainsi de se rendre compte de l'évolution scolaire au fil des décennies.

https://www.carouge.ch/photos-de-classe-pose-ou-grimace

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Genève

Campagne de promotion des métiers de la santé

Publié

le

Le canton de Genève souffre d'une pénurie de diplômés en soins infirmiers (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, l'organisation OrTra santé-social lance une campagne de promotion de plusieurs métiers liés à la santé qui font face à un manque de relève. Il s'agit des aides en soins, des assistants et assistantes en soins et des infirmiers et infirmières.

Depuis plusieurs années, le phénomène de pénurie s'accentue dans certaines professions de la santé, constate l'OrTra santé-social, vendredi, dans un communiqué. "Au sein des lieux de formation, malgré des efforts de promotion auprès de divers publics, on peine à recruter suffisamment de candidats pour remplir les classes".

L'OrTra santé-social a donc réuni les principaux employeurs et associations du secteur, ainsi que la Haute école de santé et le Centre de formation professionnelle santé afin de sélectionner les métiers à valoriser dans le cadre d'une campagne de promotion. La campagne ciblera en priorité les jeunes de 15 à 25 ans.

Elle se déclinera en 2025 et 2026 principalement via des canaux digitaux, mais aussi à travers la publicité au cinéma et le marketing événementiel, indique l'OrTra santé-social.

Au début du mois, le Conseil d'Etat genevois, conscient de la pénurie de personnel soignant dans le canton du bout du lac, avait annoncé l'ouverture de nouvelles bourses en faveur des étudiants de la filière bachelor en soins infirmiers. L'objectif est d'augmenter le nombre de diplômés de 535 en 2024 à 600 d'ici à 2028.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Geneva Lux va illuminer la rade jusqu'au 2 février

Publié

le

Pour cette 11e édition, 24 oeuvres lumineuses sont à découvrir. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le festival de lumières Geneva Lux, qui débute vendredi, va illuminer la rade jusqu'au dimanche 2 février. Pour cette 11e édition, 24 oeuvres lumineuses, dont quinze sont présentées pour la première fois au public, sont à découvrir.

Les créations emporteront les spectateurs à travers le monde des mythes et des légendes. Une balade à travers le Jardin Anglais permettra de se laisser surprendre par d’étonnantes créatures articulées et scintillantes, de se perdre dans une forêt magique ou d'observer sur l’eau une version locale du monstre du Loch Ness.

"En complément des ½uvres présentées, la programmation a été étoffée avec un plus grand nombre de performances et de déambulations artistiques visibles du jeudi au samedi, renforçant ainsi l’attractivité du festival et l’animation autour de la Rade", a relevé Marie Barbey-Chappuis, conseillère administrative de la Ville de Genève, citée dans un communiqué.

Il y aura ainsi un spectacle alliant lasers et performances en flyboard, une représentation son et lumière projetée sur un écran d'eau, des marionnettes géantes lumineuses, un spectacle de feu et un défilé de lampions. Un final acrobatique et aérien offrira une dernière danse en l’honneur des créatures obscures.

A l'origine, le festival était essentiellement décoratif. Il précédait la période de Noël. Avec le temps, la manifestation a pris une nouvelle dimension, plus artistique et culturelle. Des créations locales mais aussi internationales sont présentées au public.

https://evenements.geneve.ch/genevalux-oeuvres/home

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Gémeaux

Et voici que vous mettez en place des dîners conviviaux, où chacun se présente afin que de nouvelles amitiés se créent dans la joie.

Les Sujets à la Une

X