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Économie

Acier: le groupe vaudois Bader acquiert Zwahlen et Mayr

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La société aiglonne Zwahlen et Mayr, spécialisée dans l'acier, est reprise pour le groupe Bader (photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Chris Young)

Le groupe vaudois Bader, spécialisé dans le recyclage, la revalorisation de matières et les transports, a pris le contrôle de l'entreprise Zwahlen et Mayr, basée à Aigle (VD) et active dans l'industrie de l'acier. Avec cette acquisition, le groupe Bader renforce son effectif, passant de 200 à 360 collaborateurs, et étend son empreinte industrielle sur neuf sites en Suisse.

Dans un communiqué publié lundi, le groupe sis au Mont-sur-Lausanne explique avoir signé un contrat d'acquisition d'actions relatif au 100% du capital-actions de Sitindustrie Suisse, société ayant son siège à Villars-sur-Glâne (FR) et qui détient 81,47% du capital de Zwahlen et Mayr.

Cotée à la SIX Swiss Exchange, Zwahlen et Mayr était jusqu'ici majoritairement détenue indirectement par un groupe italien, Cimolai. Elle passera en main vaudoise le 10 avril prochain, sous réserve de certaines conditions, "permettant ainsi de renforcer une meilleure économie circulaire locale", poursuit le communiqué.

Cette acquisition, dont le montant n'a pas été dévoilé, "illustre la volonté du Groupe Bader d’accélérer son développement et de consolider son leadership dans le recyclage et la valorisation des matières", affirme-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Procès Swatch: deux prévenus condamnés pour corruption

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Un ex-cadre de Tissot a été condamné pour corruption passive (photo symbolique). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

La Cour pénale neuchâteloise a condamné lundi un ex-cadre de Tissot et un homme d'affaires français de corruption passive et active. Elle a prononcé des peines 15 mois de prison avec sursis de deux ans pour chacun d'eux.

"Il y a eu une activité délictuelle continue d'avril 2006 à avril 2015", a déclaré le juge Emmanuel Piaget. La Cour pénale a pris en compte un courriel de février 2014, envoyé par l'ex-cadre à l'homme d'affaires pour lui permettre d'adapter ses prix. La corruption n'est donc pas prescrite, contrairement à ce qui avait été jugé en première instance.

L'ex-responsable des achats de Tissot avait reçu plus de 13 millions de francs de manière régulière pendant cette période.

Les deux prévenus n'ont pas été condamnés pour gestion déloyale aggravée car "le dommage n'est pas établi", étant donné que Tissot a bénéficié d'un avantage d'économies d'échelle lié à la concentration des commandes. L'ex-cadre de CK a été entièrement acquitté car la prescription s'applique dans son cas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Zone euro: la croissance de l'activité économique accélère en mars

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Le colossal plan de relance allemand a ravivé l'optimisme des entrepreneurs de la locomotive économique européenne. (archive) (© KEYSTONE/DPA/HENDRIK SCHMIDT)

L'activité économique du secteur privé dans la zone euro a progressé en mars, pour le troisième mois consécutif, et sa croissance s'est légèrement accélérée grâce au redressement de l'industrie, selon l'indice PMI Flash publié lundi par S&P Global.

L'indice calculé sur la base de sondages d'entreprises s'élève à 50,4, contre 50,2 en février, un niveau toujours proche de la stagnation qui se situe néanmoins au plus haut depuis sept mois.

Un chiffre au-dessus de la barre des 50 signale une croissance de l'activité, tandis qu'un chiffre en deçà reflète une contraction.

Pour le seul secteur de l'industrie, l'indice PMI renoue avec la croissance pour la première fois depuis mars 2023. L'indicateur sectoriel s'est redressé à 50,7 dans les 20 pays partageant la monnaie unique, après 48,9 en février.

"La volonté de l'Europe d'investir massivement dans la défense et les infrastructures permet d'espérer une reprise plus soutenue dans les mois à venir", a commenté Cyrus de la Rubia, économiste pour la Hamburg Commercial Bank (HCOB), partenaire de S&P Global, qui met en avant le "budget exceptionnel et historique" qui vient d'être approuvé en Allemagne.

La performance de la première économie européenne contraste d'ailleurs avec celle de la France. L'Allemagne affiche en mars un indice PMI à 50,9, toujours en zone de croissance et au plus haut depuis dix mois, tandis que l'activité du secteur privé français est restée en recul avec un PMI à 47.

"Tant en termes de production manufacturière que d'activité de services, les performances de l'Allemagne ont surpassé en mars celles de son principal partenaire commercial européen. Toutefois, si l'on tient compte des performances de ces deux pays pour les deux dernières années, l'industrie française ne s'est contractée que d'environ 1% depuis le début de l'année 2023, tandis que l'industrie allemande a chuté d'environ 8%", relève M. de la Rubia.

"L'Allemagne dispose donc d'un grand potentiel de rattrapage pour les mois à venir", selon cet expert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

L'économie suisse sera légèrement plus faible que prévu en 2025

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Les perspectives se ternissent pour l'économie helvétique au printemps. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La conjoncture économique en Suisse sera légèrement plus faible en 2025 que ce qui était prévu par les économistes du Centre d'études conjoncturelles (KOF) zurichois en décembre dernier,.

Ils s'attendent désormais à une hausse du produit intérieur brut (PIB) de 1,2%, contre 1,3% antérieurement, une inflation moins prononcée et un chômage un peu plus élevé.

Pour 2026, les prévisionnistes calculent une hausse PIB de 1,8%, contre 1,6% en décembre, et de 1,7% dans cinq ans. Corrigé des variations du sport, le PIB s'accoîtra selon eux de 1,4% cette année (1,5%), 1,6% en 2026 et 1,6% dans cinq ans (1,7%), selon un communiqué paru lundi.

Ils prévoient également une augmentation moins importante des investissements réels en capital cette année que lors de l'enquête précédente. La valeur consensuelle pour l'évolution de l'année en cours est désormais de +1,3%, contre +1,8% en décembre et de +2,0% pour l'année prochaine.

La révision à la baisse de 0,5 point de pourcentage pour 2025 est en grande partie due à l'évaluation des investissements en équipement. Selon les participants à l'enquête, ces derniers devraient augmenter de 1,0% cette année, contre 1,6% auparavant, et de 2,1% l'an prochain. Les prévisions concernant les investissements dans la construction ont aussi été revues à la baisse, avec une croissance de 2,0% pour l'année en cours, contre 2,1% en décembre, et de 1,7% pour 2026.

L'inflation baisse un peu

L'inflation est quant à elle attendue en moyenne à 0,5% pour 2025, 0,8% pour 2026 et 1,0% dans cinq ans. Les prévisions pour cette année ont été abaissées de 0,1 point de pourcentage, tandis que les prévisions pour les cinq prochaines années restent totalement inchangées.

Les participants s'attendent en outre à ce que la situation sur le marché du travail soit un peu plus négative qu'auparavant. La valeur consensuelle du taux de chômage est de 2,8% pour les trois horizons de prévision (2025, 2026 et dans cinq ans), ce qui représente une légère hausse de 0,1 point de pourcentage pour 2025 et dans cinq ans par rapport aux prévisions de décembre.

Les taux d'intérêt à court terme dans les mois à venir devraient baisser, selon eux. Alors que l'enquête s'est terminée avant la décision de la Banque nationale suisse (BNS) sur les taux d'intérêts, ils comptent sur un taux d'intérêt à court terme (SARON) de 0,28% (0,58%) dans trois mois et de 0,20% (0,35%) dans douze mois.

Les taux d'intérêt à long terme ont été pour leur part revus à la hausse. Les valeurs consensuelles pour le taux d'intérêt au comptant d'une obligation fédérale à dix ans sont de 0,50% à trois mois (0,34%) et de 0,57% à douze mois (0,42%).

Ils estiment par ailleurs que le franc suisse devrait s'apprécier face à l'euro et au dollar américain au cours des douze prochains mois. Face à l'euro, les valeurs consensuelles pour les trois prochains mois sont de 0,94 CHF/EUR et pour les douze prochains mois de 0,92 CHF/EUR. Face au dollar américain, les valeurs attendues sont de 0,90 CHF/USD dans trois mois et de 0,88 CHF/USD dans douze mois.

Les perspectives du Swiss Performance Index (SPI) se sont améliorées par rapport à la dernière enquête de 2024, conformément à l'évolution du marché. Les quatorze experts interrogés tablent sur un score de 17'200 points en trois mois et un score de 17'614 points en douze mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Excédent de la balance des paiements stable en 2024

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La Suisse a bouclé l'année 2024 sur un généreux excédent en matière de balance des paiements, comme en 2023. (archive) (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La balance des paiements de la Suisse a affiché un excédent de 42 milliards de francs en 2024, comme l'année précédente, indique la Banque nationale suisse (BNS). Sur les trois derniers mois de l'année dernière, le solde s'inscrit cependant en recul.

Le solde des échanges de marchandises s'est maintenu à 112 milliards de francs d'une année à l'autre. Cette stabilité a résulté de l'augmentation du solde des échanges de marchandises au sens strict à la suite de la hausse des exportations de produits chimiques et pharmaceutiques, et de la baisse de l'excédent enregistré dans le commerce de transit, note la BNS dans un compte-rendu publié lundi.

Les déficits enregistrés dans les échanges de services et dans les revenus primaires ont connu une variation de même ampleur mais en sens inverse: la hausse des premiers a été compensée par la baisse des seconds.

Au quatrième trimestre 2024, la balance des transactions courantes a présenté un excédent de 10 milliards de francs, soit 4 milliards de moins qu'un an plus tôt. Ce recul est dû principalement à la progression du déficit enregistré dans les échanges de services, dans les revenus primaires et dans les revenus secondaires. Les échanges de marchandises, quant à eux, présentent un excédent qui s'est accru en un an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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