Vaud
Deux chiens asphyxiés dans un logement en feu à Vallorbe
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Un incendie s'est déclaré samedi à la mi-journée dans un appartement d'un immeuble à Vallorbe (VD). Les pompiers ont retrouvé deux chiens morts asphyxiés. Les locataires étaient quant à eux absents.
Le logement a été passablement endommagé par les flammes et la fumée tandis que ceux du dessous ont subi des dégâts d'eau liés à l'extinction, a indiqué la police vaudoise. Hormis les locataires des trois appartements sinistrés, les habitants ont pu regagner leur logement en fin d'après-midi.
Les causes du sinistre sont pour le moment indéterminées. Le ministère public a ouvert une enquête. Les investigations ont été confiées aux enquêteurs de la cellule incendie et la brigade de la police scientifique de la police de sûreté.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: un nouveau jardin public végétal et ombragé à Ouchy
La Ville de Lausanne a dévoilé vendredi un nouvel espace vert près du lac. Situé à la place de la Navigation 10, le parking du poste de police d’Ouchy s'est mué en jardin public végétal et ombragé. Plus de 400 m2 de goudron ont été dégrappés pour faire place à une dizaine d'arbres et une cinquantaine d'arbustes.
"Avec en plus ses cheminements poétiques et son nouveau mobilier (chaises, bancs et table de pique-nique), ce nouvel îlot de fraicheur illustre la ville éponge et apportera le frais les jours de grand chaud", écrit vendredi la Ville de Lausanne dans un communiqué. Cultivés dans des pépinières locales, chênes verts, poiriers sauvages, merisiers, noisetiers et autres amélanchiers sont venus rejoindre les tilleuls et paulownias d'antan.
"En matière de désimperméabilisation de la ville, chaque espace compte. Ce nouveau micro-jardin illustre les métamorphoses possibles pour ramener des îlots de fraicheurs et des éléments de ville éponge dans des endroits insoupçonnés, et offrir des lieux de détente et de ressourcement à la population", affirme Natacha Litzistorf, municipale du logement, de l'environnement et de l'architecture, citée dans le communiqué.
Dans le cadre du projet visant un meilleur équilibre entre les représentations de femmes et d'hommes dans l'espace public, porté par la Municipalité, le jardin a été nommé en hommage à Enrique Henriette Favez. Au décès de son mari, la jeune veuve Henriette Favez reprend son grade d'officier pour se forger une nouvelle identité, celle d'Enrique Favez.
C'est sous ce nouveau nom qu'elle accomplit son rêve, celui de devenir médecin, une profession interdite aux femmes en ce début de 19e siècle. Médecin au grand c½ur, elle oeuvra à procurer une aide médicale aux populations les plus précaires, notamment à Cuba, explique la Ville de Lausanne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Le Conseil d'Etat a choisi l'expert externe sur le bouclier fiscal
Le Conseil d'Etat vaudois a désigné l'expert externe chargé de faire la lumière sur la pratique controversée du bouclier fiscal. Il s'agit de François Paychère, docteur en droit, spécialisé en droit administratif, et actuellement membre du Conseil de la magistrature du canton.
"Sa mission sera de consolider les faits et d'établir un historique complet. Il s'agira aussi d'analyser la mise en oeuvre et l'application du bouclier fiscal dans le canton de Vaud dès les travaux qui ont amenés à son adoption en 2008. Pour ce faire, l'expert pourra s'appuyer sur les importants travaux de recherche et d'analyse déjà effectués par l'administration cantonale et le gouvernement", indique ce dernier vendredi dans un communiqué.
"Il devra notamment déterminer les objectifs de la modification de la loi sur les impôts communaux (LICom) en 2008 concernant le système de calcul du revenu imposable, documenter les différentes démarches de l'administration fiscale à la suite de l'arrêt du tribunal fédéral (TF) d'août 2018, lister les actions menées jusqu'en 2021 et détailler les différentes révisions de la LICom entre 2021 et 2024", précise le Conseil d'Etat.
"Le mandataire dispose de toute liberté dans l'accomplissement de son mandat, et notamment dans le choix des mesures d'investigation et des personnes à auditionner", souligne le gouvernement. M. Paychère ne s'exprimera pas sur les démarches entreprises dans le cadre de son mandat, ajoute-t-il.
Solide expérience judiciaire
Docteur en droit et titulaire du brevet d'avocat, spécialisé en droit administratif et actuellement membre du Conseil de la magistrature du canton de Vaud, François Paychère a été élu magistrat à la Cour des comptes du Canton de Genève en novembre 2012, et l'a présidée en 2013 et 2014, ainsi qu'en 2019 et 2020.
Il a occupé différentes fonctions judiciaires dans le canton de Genève, présidant notamment le Tribunal administratif (2004-2008) et siégeant à la Cour de justice (2008-2012) ainsi qu'au Conseil supérieur de la magistrature (2001-2007). De 2006 à 2017, il a été également expert auprès du Conseil de l'Europe (président du groupe de travail sur la qualité de la justice, 2008-2017).
Son analyse doit permettre au Conseil d'Etat de disposer de tous les éléments nécessaires à l'établissement du rapport qu'il présentera au Grand Conseil, notamment en relation avec la demande de création d'une commission d’enquête parlementaire (CEP).
CEP ou pas?
Cela fait maintenant plusieurs mois que le mécanisme de plafonnement du bouclier fiscal fait parler de lui, depuis le rapport Studer sur l'affaire Dittli et des enquêtes du Temps. Le canton de Vaud aurait sous-taxé de riches contribuables durant treize années, selon deux avis de droit.
Le Grand Conseil a lui-même annoncé le 25 mars dernier vouloir faire "toute la lumière" sur les dysfonctionnements soulevés par le rapport d'audit de Jean Studer au sein du Département des finances alors en mains de la ministre centriste Valérie Dittli, mais qui lui a été retiré. Une délégation des commissions de surveillance doit établir son rapport d'ici la fin de l'année. Elle va sans doute élargir le périmètre de sa mission aux questions du bouclier fiscal.
Moins de deux semaines après, soutenu par la gauche et des Vert'libéraux, c'est le député de la gauche radicale (EP) Hadrien Buclin qui a déposé en plénum une requête de CEP pour faire la lumière sur le système de bouclier fiscal vaudois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Yverdon: un arbre prévu au centre-ville sème la discorde municipale
La plantation d'un grand platane au milieu de l'historique place Pestalozzi à Yverdon-les-Bains (VD) ne plaît pas à tout le monde. Si une enquête révèle qu'elle est favorablement accueillie par près de trois quarts de la population, deux municipaux de droite voient cet arbre d'un mauvais oeil et annoncent une rupture de collégialité sur ce projet de la majorité de l'exécutif communal.
Après avoir mené une exposition immersive et recueilli l'avis de la population concernant un projet de végétalisation de la place Pestalozzi en septembre 2024, la Municipalité, à majorité de gauche, a dévoilé vendredi les résultats de la démarche participative menée à cette occasion. Elle a dans le même temps adressé au Conseil communal deux préavis permettant de concrétiser sa politique d'arborisation, l'un concerne son Plan Canopée et l'autre la plantation d'un platane au centre de la place Pestalozzi.
Un sondage quantitatif formel a par ailleurs été conduit par l'institut indépendant MIS Trend auprès d'un échantillon représentatif de la population. Il indique que 73% des Yverdonnois sont favorables à la plantation d'un platane au centre de la place emblématique de la cité thermale. Dans la même proportion, ils demandent que tous les quartiers accueillent de nouveaux arbres.
Un projet à 100'000 francs
"Dans le respect du débat démocratique et de la transparence, la Municipalité souhaite que la question du platane au milieu de la place Pestalozzi soit tranchée par le Conseil communal. Elle dépose donc un préavis pour une demande de crédit d'investissement de 100'000 francs en vue de la réalisation du projet", indique-t-elle dans un communiqué.
Forte du soutien exprimé par la population concernant la nécessité de voir un accroissement de la végétalisation sur le territoire communal, la Municipalité dépose également un second préavis demandant un crédit d'investissement de 1,4 million pour le déploiement de la première phase du Plan Canopée. "Objectif ambitieux: atteindre 33% de couverture canopée du territoire", écrit l'exécutif yverdonnois.
Ce dernier reconnaît qu'il n'est pas parvenu à prendre une décision unanime sur l'arbre de la place Pestalozzi. Une minorité du collège s'y oppose, à savoir les deux municipaux de droite (PLR) Christian Weiler et François Armada. Tous les deux ont d'ailleurs publié un communiqué de presse de leur côté vendredi matin pour annoncer leur rupture de collégialité.
"En tant qu'élus fortement engagés dans les questions urbanistiques, patrimoniales et événementielles liées au centre-ville, ils estiment que ce projet soulève des enjeux importants", écrivent-ils. Et de citer en premier lieu: le respect du caractère patrimonial et de la lisibilité de la place, le maintien de ses usages culturels, sportifs et festifs ainsi que la pertinence climatique réelle d'un tel aménagement.
Suspendre et reconsidérer
Ils remettent aussi en question le coût et l'opportunité dans un contexte budgétaire contraint ainsi que la cohérence globale avec d'autres possibilités de végétalisation dans le centre-ville.
"Tout en partageant l'objectif général de renforcer la canopée urbaine", MM. Weiler et Armada appellent à "une approche plus nuancée et contextualisée, respectueuse du caractère unique de la place Pestalozzi". "Leur position vise à encourager un débat plus large sur les choix d'aménagement du centre-ville, afin de concilier exigences climatiques, qualité du cadre de vie et respect du patrimoine", soulignent-ils.
Les deux élus de droite appellent à "reconsidérer ce projet, à suspendre sa mise en oeuvre et à engager une concertation sincère avec les citoyens, les professionnels du patrimoine, les acteurs culturels et les usagers de la place".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud invite à la prudence face aux cyanobactéries
A l'approche de l'été et de la saison de la baignade, le canton de Vaud émet diverses recommandations à la population en matière de cyanobactéries. Il met également des affiches et un guide à disposition des communes pour les soutenir dans leurs actions de sensibilisation.
"Les proliférations de cyanobactéries apparaissent souvent en quelques jours et disparaissent aussi vite", explique l'Etat de Vaud vendredi dans un communiqué. Le phénomène peut se produire dans les lacs et les rivières ainsi que sur les rives. "L’identification de ces micro-organismes et l’évaluation de leur dangerosité étant difficiles à évaluer en temps réel sur toutes les plages du canton", la prudence doit prévaloir, précise le canton.
Les recommandations consistent d'une part à éviter que les jeunes enfants ne boivent l'eau du lac et ne mettent à la bouche des galets trouvés sur les plages. Il s'agit d'autre part, de se doucher et de "se sécher soigneusement" après la baignade.
Manifestations suspectes
Par ailleurs, si une couche colorée, - vert turquoise, rougeâtre ou brun jaune - apparaît sur l'eau, que le fond n'est pas visible malgré une faible profondeur, ou que des "amas spongieux" flottent en surface, cela peut être un signe de prolifération de cyanobactéries. Il est alors conseillé d'éviter la baignade et les activités aquatiques et de ne pas laisser les animaux se baigner ou s'abreuver.
Chez les chiens, l'ingestion des toxines produites par certaines cyanobactéries peut en effet s'avérer fatale. Les symptômes sont des diarrhées, des vomissements, des tremblements ou des difficultés respiratoires. En cas de suspicion d'intoxication, il est recommandé d'emmener l'animal chez le vétérinaire au plus vite.
Bénin chez les humains
Chez l'être humain, en revanche, les effets de ces toxines sont la plupart du temps bénins. Leur ingestion peut cependant provoquer des maux de ventre, des vomissements, de la fièvre, des douleurs articulaires ou des irritations de la peau. Les jeunes enfants sont davantage concernés, car ils sont plus particulièrement exposés durant la baignade.
Malgré tout "les proliférations nuisibles pour les animaux et les humains sont relativement rares", souligne encore le canton.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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