Vaud
Direct: le verdict de l'affaire Mike Ben Peter
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Le verdict dans l'affaire Mike Ben Peter va tomber aujourd'hui. Les juges vont annoncer ce jeudi si les six policiers, accusés d'homicide par négligence après la mort de Mike Ben Peter en 2018, sont condamnés pour homicide par négligence.
14h30: 1h30 de lecture
La lecture du verdict de la cour commence. Le président, Pierre Bruttin, annonce qu'elle devrait durer 1h30, le verdict étant rédigé sur 50 pages.
14h40: rappel du passé
Après avoir rappelé le poste qu’occupait chacun des accusés au moment des faits, le président a rappelé la situation familiale de Mike Ben Peter. Il revient notamment sur les souffrances vécues par la famille de la victime.
14h42: aggravation de l'accusation
Le Tribunal rappelle qu'il a refusé d'aggraver l'accusation à l'égard des six policiers. Il estime que ce n'était pas son rôle après cinq ans d'enquête.
14h45: pas d'amalgame
Comme le Ministère public l'a fait par le passé, le président du Tribunal rappelle l’objet du procès. Le président affirme qu'il ne prétend pas savoir s’il existe un racisme systémique dans les forces de l’ordre, notamment. Il ne juge pas non plus l’enseignement donné aux policiers ou la situation du deal de rue. « Le Tribunal n’entend faire passer aucun message »mais veut tenter d’avoir « une approche nuancée » en analysant le comportement de chaque prévenu pour savoir s'il a fait preuve d'une "négligence coupage". Le Tribunal souhaite aussi éviter tout amalgame, sans comparer cette affaire avec des faits qui se sont déroulés en Suisse ou ailleurs.
14h51: rappel des faits
Comme annoncé, le président du Tribunal retrace l'entier de l'arrestation de Mike Ben Peter. Il commence avec une restitution du récit par le premier policier, le premier à être intervenu lors de l'arrestation. Il rappelle la tentative de fuite de Mike Ben Peter et sa résistance, selon le témoignage du prévenu, ainsi que l'utilisation de coups de genoux, de spray au poivre.
Il poursuit avec l'arrivée de chacun des policiers sur place, racontant l'intervention au travers du regard de chaque prévenu. Il rappelle ainsi la mise au sol de la victime et le passage des menottes.
15h00: le maintien au sol comme seule solution
Le Tribunal rappelle que le témoigne des policiers concordent sur plusieurs points. Ils ont estimé qu'il n'était pas opportun de relever Mike Ben Peter au lieu de le maintenir au sol. Les prévenus estimaient que son comportement était trop oppositionnels. Les six policiers disent également ne pas avoir remarqué l'obésité de Mike Ben Peter, facteur de risque lors de l'utilisation du maintien au sol. Les prévenus affirment également tous que les cris poussés par Mike Ben Peter ressemblaient davantage à des cris de colère qu'à des cris de souffrance.
15h05: le 7ème policier
Le président du Tribunal revient maintenant sur le témoignage du septième policier présent lors de l'arrestation. L'homme assurait la sécurité de l'intervention et n'a donc pas suivi son déroulement de manière précise. C'est toutefois lui qui a prodigué le massage cardiaque, après avoir remarqué que Mike Ben Peter était inconscient. Il a affirmé avoir été surpris par la quantité de "fingers" de cocaïne qui sont sortis de la bouche de la victime.
Le président rappelle que personne n'a demandé la ré-audition du témoin.
15h10: rappel des témoignages
Le président retrace maintenant le récit des témoins de l'arrestation. Il rappelle notamment comment chacun d'eux a perçu les cris de Mike Ben Peter, certains relevant le "plaisir", la "douleur" ou "l'agonie". Les différentes versions évoquent parfois la "résistance" de Mike Ben Peter ou la violence de l'arrestation, mais elles relèvent aussi un massage cardiaque "professionnel".
15h25: formation des policiers
Le jugement reprend maintenant le témoignage d'un membre de la police, qui revient sur la formation dispensée aux aspirants concernant le plaquage au sol. Il ressort que la formation aborde cette technique, montrant notamment sur quelle partie du corps les agents peuvent faire pression. Les policiers sont aussi sensibilisés aux facteurs de risque d'une asphyxie positionnelle, dont l'obésité.
15h30: le rapport d'autopsie
Le Tribunal poursuit avec la restitution de l'expertise médico-légale. Les experts étaient chargés de déterminer la cause de la mort de Mike Ben Peter. Ces derniers affirment qu'il ne peut être prouvé que Mike Ben Peter est décédé des suites du plaquage au sol. Ils estiment que l'issue tragique est "multi-factorielle". Ils relèvent notamment l'agitation de la victime, le stress de l'arrestation, l'obésité de Mike Ben Peter, la position ainsi que la pression thoracique et une anomalie cardiaque donc souffrait Mike Ben Peter. Ils ne notent pas "d'argument en faveur d'une asphyxie positionnelle" et si l'intervention "a dû jouer un rôle dans le décès", sa contribution aux facteurs "est impossible à quantifier".
Le président du Tribunal rapporte ensuite l'avis d'autres experts médico-légaux. Ils concluent également que la cause de l'arrêt cardio-respiratoire est d'origine multi-factorielle. Impossible de quantifier l'impact de chacun des facteurs sur la santé de Mike Ben Peter.
Le Tribunal résume une autre expertise, demandée par le Ministère public. Les experts estiment notamment que l'hypothèse de l'asphyxie positionnelle "n'a pas pu être prouvée". Ils concluent que "vu l'opinion scientifique, l'arrêt carido-respiratoire serait survenu indépendamment de la position de Mike Ben Peter" ceci en considérant son "état de surexcitation". La seule position ventrale ne peut donc, pour eux, pas expliquer le décès.
15h50: 3/4 de la lecture
Le président annonce, après une brève interruption à cause d'un bruit dans la salle, qu'il reste 14 pages à lire sur les 50 qui composent le verdict.
15h55: résumé de la position des parties
Le jugement revient maintenant sur la position de chacune des parties.
Il rappelle que le Ministère public a abandonné l'accusation d'homicide par négligence.à l'égard des six policiers. Le procureur s'est basé, pour cela, sur le rapport des experts médico-légaux. Ces derniers ont affirmé que l'ont ne pouvait pas conclure que le maintien au sol était la raison de la mort de Mike Ben Peter.
L'accusation, elle, estime que les policiers ont violé le devoir de prudence et ont fait preuve d'une violence disproportionnée.
Les défenseurs estiment que les prévenus n'ont rien à se reprocher. Ils remettent en cause la crédibilité des témoignages et rappellent également que les experts médico-légaux n'ont pas conclu au lien de causalité entre l'arrestation et le décès de Mike Ben Peter.
16h00: position du Tribunal
"Le Tribunal ne doute pas que des leçons seront tirées de cette tragédie." Il estime que l'on ne peut se référer au manuel de formation, car il n'était pas mis à disposition des aspirants avant 2018. Il relève que les prévenus auraient dû réaliser que l'obésité de Mike Ben Peter était un facteur de risque.
Quant à savoir si les policiers auraient dû être plus attentifs à la nature des cris de Mike Ben Peter: le président relève que les témoignages concernant les cris divergent. Difficile donc de se positionner sur l'interprétation de chacun. Il estime que rien ne prouve que les policiers auraient dû agir différemment une fois les menottes passées aux poignets de Mike Ben Peter.
Le président du Tribunal revient sur l'enseignement dispensé aux prévenus. Il estime que les "règles de l'art" correspondent à la formation reçue.
16h10: une appréciation prévenu par prévenu
« Le Tribunal ne se situe pas dans la logique du tout juste ou tout faux. » Contrairement au Ministère public, il estime que tous les policiers ne doivent pas être observés de manière identique.
Le président évoque donc l'implication de chacun dans l'intervention, commençant par le premier intervenant. A-t-il fait usage d'une violence disproportionnée? Non, selon le Tribunal qui relève que Mike Ben Peter se débattait lors de son interpellation.
Il estime ensuite que chacun des prévenus n'auraient pas dû agir différemment et qu'il n'y a pas eu violation du devoir de prudence.
Le Tribunal se range derrière l'avis des experts, estimant que la cause de la mort de Mike Ben Peter est multi-factorielle. "Les prévenus doivent être acquittés".
16h17: sorties mouvementées
Des membres du public sortent en cours de verdict en invectivant la cour.
16h20: indemnités
Les six policiers reçevront une indemnité de 40 à 91'000 francs. L'avocat de la famille de la victime sera payé par l'Etat.
Vaud
Sébastien Cala se porte candidat pour remplacer Rebecca Ruiz
Le chef de groupe socialiste au Grand Conseil Sébastien Cala se porte candidat pour succéder à la conseillère d'Etat vaudoise Rebecca Ruiz lors de l'élection complémentaire du 8 mars. L'élu de la Vallée de Joux a déposé sa candidature au PS Vaud.
"Nous avons reçu sa candidature", a indiqué vendredi en fin de journée à Keystone-ATS Romain Pilloud, président de la section vaudoise du parti socialiste. Les personnes intéressées ont encore jusqu'à samedi minuit pour déposer leur candidature, précise-t-il.
Député au Parlement vaudois depuis 2019, Sébastien Cala a été désigné quatre ans plus tard comme chef de groupe de son parti dans les rangs du Grand Conseil. L'ancien sauteur à skis et actuel chercheur en sciences du sport à l'Université de Lausanne (UNIL), âgé de 37 ans, est notamment très actif dans les domaines du sport, de la santé et de l'action sociale.
M. Cala a récemment eu des mots très sévères sur les coupes budgétaires prévues dans le budget de l'Etat 2026, prenant notamment la tête du combat des hôpitaux régionaux, dont celui de sa région, malmenés par les mesures d'économie. Il est d'ailleurs le président du Comité directeur du Pôle santé Vallée de Joux (PSVJ) depuis quatre ans.
"C'était une longue réflexion avec ma famille et avec le parti. Je me suis décidé parce que cela fait plusieurs mois que nous travaillons à positionner le parti par rapport à ce que fait le gouvernement. Je voulais porter cette dynamique. Notre travail au Grand Conseil démontre que nous avons la possibilité de faire autrement, que nous pouvons trouver une solution pour toutes et tous et pas uniquement pour les plus privilégiés", confie Sébastien Cala dans une interview dans le 24 heures.
Deuxième candidat
Il est le deuxième candidat à se déclarer pour la candidature socialiste pour conserver le deuxième siège PS au gouvernement vaudois après l'annonce de la démission de la ministre de la santé et de l'action sociale Rebecca Ruiz, la semaine passée, pour des raisons de santé. L'ex-conseiller national Roger Nordmann a, lui, annoncé sa candidature mercredi après-midi. A ce stade, il n'y a que les candidatures de MM. Nordmann et Cala, selon le PS Vaud.
Plusieurs ténors du parti avaient indiqué renoncer à cette élection. Il s'agit de la conseillère nationale et ex-présidente du PS Vaud Jessica Jaccoud, de la conseillère nationale et municipale d'Yverdon-les-Bains Brenda Tuosto, du syndic de la même ville Pierre Dessemontet, du président actuel du Grand Conseil Stéphane Montangero ou encore du député et municipal nyonnais Alexandre Démétriadès.
Le congrès du PS Vaud qui désignera la candidature officielle se tiendra le samedi 13 décembre. Les Vert-e-s ont déjà annoncé qu'ils soutiendraient la candidature socialiste et ne lanceraient donc personne dans la course.
A ce jour, seule l'UDC a désigné son candidat à cette élection complémentaire au Conseil d'Etat. Il s'agit du député et ex-président du Grand Conseil Jean-François Thuillard. Cet agriculteur est aussi actuellement syndic de Froideville. Il est soutenu par le PLR et le Centre au sein de l'Alliance vaudoise.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Les vétérinaires veulent rendre le puçage des chats obligatoire
Les vétérinaires suisses estiment le puçage des chats nécessaire pour contrôler la population féline. Les chats retournés à la vie sauvage ou chats errants sont un problème croissant en Suisse. Ils demandent aussi que les chats sans propriétaires et non pucés soient castrés.
Faut-il rendre le puçage des chats obligatoires ? La réponse est oui pour la Société des vétérinaires suisses (SVS). Fin novembre, la Conférence des présidents à adopté un papier de position en ce sens. Ils demandent l’instauration du puçage obligatoire pour tous les chats, à l’instar des chiens. L’objectif : mieux contrôler la population féline et le nombre de chats errants souvent en très mauvaise santé. Une problématique qui inquiète les organisations de protection des animaux et de la nature depuis plusieurs années. Aujourd'hui, on dénombre près de deux millions de chats en Suisse. Quelles sont les conséquences de cette surpopulation ? La réponse de Marc-Alain Tièche, président des vétérinaires vaudois.
Pour le président des vétérinaires vaudois et vétérinaire à la Société vaudoise pour la protection des animaux, la surpopulation féline peut entraîner la propagation de maladies et des problèmes d'hygiène.
En Suisse, seuls 30 à 40% des chats sont enregistrés. Pour les vétérinaires, l’instauration du puçage systématique des chats permettrait aussi de retrouver plus rapidement leur propriétaire en cas de fugue ou d’accident ainsi que soulager les refuges souvent surchargés.
Aujourd’hui, le prix pour faire pucer et enregistrer son félin varie généralement entre 80 et 100 francs. Les détenteurs de chats seraient-ils prêts à prendre en charge ces coûts supplémentaires ?
A noter que la société des vétérinaires suisse propose aussi d’autoriser la castration des chats errants et non pucés pour limiter les naissances incontrôlées.
Culture
L'année 2025 sous le crayon des dessinateurs de presse à Morges
La Maison du dessin de presse à Morges (VD) présente du 6 décembre au 8 février une rétrospective de l'année 2025. L'exposition réunit près de 180 dessins de 37 artistes de toute la Suisse. Son maître-mot: l'effondrement.
L'effondrement peut être celui de la montagne à Blatten (VS), des villes subissant la guerre ou celui de la démocratie, avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Pour illustrer ces phénomènes, l'exposition se présente sous la forme de décombres au milieu desquels s'imbriquent les dessins, disposés de façon chronologique, explique la Maison du dessin de presse.
Les dessinateurs passent en revue les moments forts de l'actualité, comme, en janvier, les dix ans de la commémoration des attentats contre Charlie Hebdo ou l'élection de Zohran Mamdani à la mairie de New York en novembre. Forcément, il est beaucoup question du président américain Donald Trump, de ses taxes douanières, de ses velléités de conquête du monde et du Nobel de la Paix.
Dessinateurs exposés en hausse
L'Euro féminin de football, la violence urbaine, la famine à Gaza, la guerre en Ukraine, la mort du pape François, l'incarcération de Nicolas Sarkozy ou les inégalités se retrouvent sous le crayon bien taillé des dessinateurs. En Suisse, la chute du glacier au-dessus de Blatten a enseveli le village, marquant tous les esprits.
Le nombre de dessinateurs exposés est en augmentation. "De nouveaux auteurs, jeunes et motivés par l'actualité, font leur apparition, ce qui rend la sélection d'autant plus difficile", note le musée. Deux dessins au minimum sont exposés par artiste.
La rétrospective s'accompagne d'un catalogue. Celui-ci réunit 93 dessins choisis parmi ceux de l'accrochage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Ecole de commerce dans quatre régions: nouveau cursus adopté
L'Etat de Vaud a adopté le nouveau cursus de ses Ecoles de commerce pour la rentrée 2026. Les élèves suivront une grille horaire qui renforce les bases théoriques ainsi qu'un apprentissage pratique progressif pour mieux les préparer tant aux études supérieures qu'à une entrée sur le marché du travail.
Le gouvernement avait annoncé en mai qu'à partir de la rentrée 2026, le cursus d'Ecole de commerce ne pourra plus se faire en gymnase comme c'est le cas actuellement, mais uniquement dans les écoles professionnelles commerciales de Lausanne, d'Aigle et de Nyon. Vendredi, le Canton a annoncé que cette formation serait aussi dispensée à Yverdon-les-Bains (au Centre professionnel du Nord vaudois - CPNV).
L'Ecole de commerce propose une formation à plein temps en école, pendant trois ans, suivie d'une année de stage en entreprise. A l'issue de ce cursus, les élèves obtiennent simultanément leurs deux diplômes: un Certificat de capacité (CFC) et une maturité professionnelle (MP) "Economie et services, type économie". Le but est d'offrir le choix entre la poursuite d'études dans une HES ou l'entrée dans la vie active, rappelle le canton.
Allemand renforcé
"La nouvelle grille horaire renforce les disciplines fondamentales et les domaines-clés du commerce pour favoriser la réussite des élèves. Les mathématiques, les finances et la comptabilité bénéficient de davantage d'heures. Dès le début du cursus, les élèves consolideront aussi leur maîtrise du français et de l'allemand", expliquent les services du conseiller d'Etat en charge de l'éducation Frédéric Borloz.
Plusieurs choix ont dû être opérés. L'italien a été retiré du tronc commun au profit du renforcement de l'allemand, tout en restant disponible dans les spécialisations à choix. Dans le complément au CFC, les arts visuels et la musique ne figurent plus au programme.
Une approche philosophique, notamment à travers l'enseignement des principes éthiques, est intégrée aux cours de français, d'économie et de droit. En résumé, selon le Département de la formation (DEF), la culture générale est développée, avec des bases plus solides et une orientation commerciale.
Pas d'impact pour le cursus en cours
Ces modifications n'ont pas d'impact pour les élèves qui sont déjà en formation, souligne le DEF. Les élèves déjà engagés dans l'Ecole de commerce au sein d'un gymnase pourront d'ailleurs continuer leur formation en restant dans le même établissement jusqu'en 2029.
Pour rappel, la sortie de l'Ecole de commerce des gymnases vaudois a suscité les critiques et les inquiétudes des syndicats de l'enseignement. Ils ont dénoncé une décision "unilatérale et opaque" de la part des services de M. Borloz. Ils regrettent "la fin de non-recevoir du DEF à leurs revendications", soit l'ouverture de négociations, des garanties sur le transfert des enseignants touchés et leurs conditions de travail.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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