Hockey
Lausanne laisse filer l'Acte I après un match rocambolesque
Les playoffs ont démarré ce dimanche pour le Lausanne HC. L'Acte I se déroulait à la Vaudoise Aréna face au HC Davos. Les Lions se sont inclinés 2-3 en prolongations.
On le répète depuis deux semaines: ce quart de finale entre Lausanne et Davos s’annonce serré. Et dimanche, ça s'est prouvé sur la glace de Malley dès le premier tiers.
Les Lausannois sont probablement entrés dans le match de la pire des manières. Après moins de 30 secondes, la première ligne grisonne s'était déjà créé une grosse occasion devant le but et les Vaudois étaient en infériorité numérique. Mais le LHC avait l’une des meilleures statistiques en boxplay lors de la saison régulière, et ce n'est pas parce que l’on joue les playoffs que ça va changer. Les Lions ont laissé très peu de temps à leurs adversaires pour poser leur jeu. De quoi se donner la confiance et s'offrir ensuite quelques opportunités, mais sans succès.
C'est finalement Davos qui a ouvert le score à la 7e. Sur une belle passe de Dennis Rasmussen, Leon Bristedt a pu pousser le puck juste entre le patin de Connor Hughes et le poteau. Un premier but qui a plongé Lausanne dans une dizaine de minutes compliquées. Jason Fuchs tente de nous les expliquer.
Un Lion n’abandonne pas. Servi par Antti Suomela, Andrea Glauser est allé chercher l'égalisation à la 16e. Son tir passe tout droit. Sandro Aeschlimann a beau dégainer la mitaine, le puck lui passe à côté.
Ascenseur émotionnel
À partir de là, les deux équipes ont joué avec les nerfs des supporters. À quelques secondes de la fin du premier tiers, les Lausannois se sont faits une grosse frayeur avec ce puck que Hughes n’a pas réussi à arrêter et qui aurait pu être poussé au fond des filets au moins trois fois.
Le deuxième tiers s’est déroulé sur ce même niveau de stress. Une action d'un côté, puis une action de l'autre côté. Les tirs sont allés bon train. Mais il ne fallait pas avoir des problèmes de cœur. On notera notamment ce “cafouillage” devant la cage de Hughes. Des joueurs étalés sur la glace, le puck qui frôle la ligne de but, des empoignades. C'est ça les playoffs.
Une question de situation spéciale
Si le boxplay du LHC est toujours aussi efficace, le powerplay reste laborieux. Même à 5 contre 3 pendant quelques secondes, les Lions n’y arrivent définitivement pas. Ce n'est pas faute d’avoir des palets qui passent à ras du but. Les joueurs arrivent-ils à identifier ce qui ne fonctionne pas dans cette situation spéciale?
L'attaquant est clair, "le powerplay, c'est quelque chose qui doit fonctionner et c'est quelque chose qui doit nous permettre de gagner des matchs et prendre l'avantage", ajoute-t-il.
Pour Geoff Ward en revanche, même si "vous (ndlr: les journalistes) en parlez tout le temps", le powerplay n'est pas un sujet de discussion. "Je ne crois pas que c'est la raison pour laquelle on a perdu le match, lance l'entraîneur des Lions, mais ça aurait pu nous donner l'opportunité de le gagner."
Les Lausannois ont ensuite pris l’avantage à la 51e grâce à Lukas Frick. La joie sera cependant de courte durée puisque 30 secondes plus tard, Tim Bozon s'est retrouvé sur le banc des pénalités pour obstruction sur le gardien. Une punition qui paraît quelque peu sévère et qui sera synonyme d'égalisation pour le HCD. Valentin Nussbaumer et Alexis Mustonen ont été un peu oubliés et ont profité d'un rebond pour marquer.
Sur la pénalité, Jason Fuchs préfère ne pas s'étaler. "Ça fait partie du jeu. On avait qu'à marquer en powerplay, concède-t-il. C'est frustrant et on aurait peut-être du éviter ça, ça nous aurait laissé le momentum. Mais il faut aller de l'avant."
La fin du tiers a été pénible pour le LHC. Connor Hughes a subi beaucoup de pression de la part des Davosiens et les Lions ont eu de la peine à atteindre leur zone offensive. Ils ont néanmoins tenu jusqu'à la sirène.
29 secondes
C'est donc en prolongation que tout s'est joué… Mais pas dans la première. Les hommes de Geoff Ward ont pourtant bien dominé ces premières 20 minutes supplémentaires qui, émotionnellement, ont été à l'image du temps réglementaire. Les 9'477 spectateurs ont retenu leur souffle lorsque Matej Stransky, Top Scorer grison, a récupéré un puck perdu par Lawrence Pilut et est parti tout seul face à Connor Hughes... alors que Lausanne était en supériorité numérique. Heureusement, le gardien a réalisé une très belle déviation.
Et puis à la 77e, une partie de la patinoire a cru a la victoire, mais c'était une question d'angle de vue. Le but de Damien Riat, aussi beau soit-il, a bien été marqué du patin et a donc été annulé. Quelques instants plus tard, Michael Raffl réalisera un sauvetage sur la ligne qui permettra aux Vaudois de retourner aux vestiaires pour une pause bien méritée avant la deuxième prolongation. Un second round qui n'aura duré que 29 secondes. Le temps pour Enzo Corvi, Matej Stransky et Dominik Egli de s'associer pour tromper les Lions.
Récupérer et aller de l'avant
Davos mène donc 1-0 dans cette série. Au moment des interviews, ce sont des joueurs certes déçus, mais pas abattus qui se présentent aux journalistes.
Malgré la défaite, on ne peut pas dire que les Lausannois soient passé à côté de leur match. Connor Hughes a fait un excellent travail devant la cage. C'est en grande partie grâce à lui que le score final est si serré. Les Lions ont su trouver le moyen de prendre l'avantage. Et des occasions, il y en a eues. Alors, y avait-il peut-être un peu de pression?
Le match à Davos, c'est pour mardi. Avec un Acte I qui a duré 80 minutes, il faut maintenant prendre en compte la question de la récupération. Comment Jason Fuchs aborde-t-il cela?
Le programme des Lausannois pour les prochains jours reste un mystère. "On est prêts à tout. Je pense qu'on va recevoir un message dans pas longtemps dans le groupe What's App", sourit Jason Fuchs.
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Théo Rochette mène la meute de Lions vers la victoire
Mardi soir à Malley, les fans du Lausanne HC ne pouvaient pas rêver mieux. Les Lions ont lancé leur saison de National League de la meilleure des manières en battant Genève-Servette 2-1. Le héros de la soirée se nomme Théo Rochette.
Ça y est! Le hockey est définitivement de retour. Après deux matchs de Champions Hockey League, les supporters vaudois ont retrouvé la Vaudoise Aréna pour la National League. Déjà sur le parvis, on sentait l’excitation. D'autant plus quand la saison commence avec un Derby du Lac. Que demander de plus?
Le début de la soirée a en tout cas fait monter les émotions au plus haut. D'abord avec le nouveau light show, qui reflète bien les ambitions du club. Des Lions en mode guerriers, des images des matchs du printemps dernier, la musique qui fait frissonner.
Et puis impossible de donner le coup d'envoi sans un hommage a Paul-André Cadieux. Une minute d'applaudissements a ainsi retenti dans la Vaudoise Aréna. Une manière aussi de soutenir Jan Cadieux, qui était bien présent pour mener Genève-Servette.
Un doublé pour embraser la patinoire
Le temps de reprendre un peu ses esprits. Et c'est parti pour cette première journée de National League. L'électricité qui circulait dans la patinoire a pourtant perdu quelques volts. Il a fallu être patient pour voir quelques étincelles sur la glace. En même temps, l’enjeu ce mardi était moindre.
Les deux équipes se sont donc un peu jaugées. Lausanne a commencé à mettre la pression, Kevin Pasche a dû effectuer quelques arrêts. C’est dans le deuxième tiers que les choses ont commencé à s'accélérer. D’abord avec du temps en powerplay. Le système n’est pas encore parfait, de l’aveu du coach Geoff Ward, mais les Lausannois ont néanmoins trouvé quelques ouvertures.
Et puis un peu plus tard, Jason Fuchs, dans un joli ballet, s’est défait de deux Genevois pour entrer dans la zone offensive et passer à Lauri Pajuniemi. Le Finlandais a pris le shoot mais sans succès.
C’est finalement Théo Rochette qui débloquera la situation à la 35e. Damien Riat s’est chargé de faire le sale boulot pour entrer dans la zone. L’attaquant a ensuite passé le puck à droite à Andrea Glauser, qui a directement remis à gauche à Rochette. Le n°90 s’est ensuite chargé de tromper le portier grenat.
La partie a ensuite gagné en intensité au fil des minutes. De grosses occasions se sont présentées d’un côté comme de l’autre. Et à la 55e, Teemu Hartikainen a jeté un froid dans la Vaudoise Aréna. L’attaquant du Genève-Servette, en faisant le tour de la cage, a fait vaciller la vigilance de Kevin Pasche (assist: Vincent Praplan). Aurélien Marti, qui talonnait le Finlandais, n’a rien pu faire pour empêcher l’égalisation.
Mais il en faut plus pour déstabiliser des Lions en feu. Deux minutes plus tard, Théo Rochette remettait tout le monde d’accord. Une action en trois temps. Ahti Oksanen qui, depuis la bande, a envoyé le puck au milieu de la glace pour Damien Riat. Celui-ci a ensuite pu parfaitement servir Rochette qui s’est ainsi échappé, s’offrant un duel avec Robert Mayer. Duel remporté haut la main dans une explosion de joie, sur la glace et en tribunes.
Cette ligne Oksanen-Rochette-Riat, réarrangée pour palier l’absence d’Antti Suomela a donc fait ses preuves. Pas impossible qu’on la revoie dans le futur.
Il y a quelques semaines, les matchs de préparation n’avaient pas été des plus concluants. C’était déjà mieux en Champions Hockey League. Alors cette victoire face à Genève, elle permet aussi de rassurer un peu.
Un premier derby lémanique pour Pasche
Il y en avait un pour qui ce match avait une saveur particulière. Kevin Pasche jouait en effet son premier match en National League en tant que gardien numéro 1.
Tout le monde s’accorde sur les fait que les derby ne sont pas des matchs comme les autres. Alors, commencer avec ce match contre Genève, c’était aussi un moyen de se lancer directement dans la compétition, de cocher la case sur la liste. Ce qui est plutôt une bonne chose.
Et puis, terminer sur un 2-1, c’est plutôt pas mal. Kevin Pasche acquiesce, mais il ne peut s’empêcher d’avoir une toute petite pointe de déception. “Je me fixe toujours des objectifs très hauts. J’aurais voulu prendre zéro but, surtout à cinq minutes de la fin.” Mais le portier de 21 revient cependant vite sur le positif: “Non, franchement, je suis content de ce que j’ai montré ce soir, et maintenant je veux montrer de la constance, c’est très important pour moi.”
Son rôle de numéro 1 vient aussi avec une pression supplémentaire. Rien qui ne saurait déstabiliser Kevin Pasche cependant. “J’aime la pression, ça me pousse, ça m’aide à persévérer et à m’améliorer.” Avec cette nouvelle position, viennent aussi de nouvelles responsabilités. C’est lui finalement qui est à la tête de ce jeune trio de gardiens. Et, si l’âge des portiers a beaucoup fait parler cet été, Kevin Pasche y voit aussi du bon.
Prochain match pour les Lions, ce sera vendredi à Ajoie. Les Lions recevront ensuite Lugano samedi soir.
Hockey
Gottéron démarre bien: 4-1 face à Ajoie
Gottéron a entamé la saison 2024/25 de National League sur un succès attendu face à Ajoie (4-1).
Mais les Fribourgeois se sont longtemps heurtés à un excellent Benjamin Conz: le portier ajoulot a été crédité de 39 arrêts dans cette partie à sens unique.
Les hommes du coach Pat Emond ont en effet survolé les débats, et la statistique des tirs cadrés en atteste: 43 en leur faveur, contre 14 seulement pour Ajoie. Mais les Fribourgeois ont manqué de réussite et de réalisme. Le score était ainsi de 1-1 après 50' de jeu.
Les Dragons ont notamment manqué d'efficacité en supériorité numérique, avec une seule réussite - le 1-0 signé Julien Sprunger à la 28e - sur six opportunités en "power play". A l'inverse, Ajoie n'a mis que 31 secondes pour trouver la faille après qu'Andreas Borgman avait écopé de 5' de pénalité à la 40e.
Cette réussite d'Oula Palve, tombée à 19'' de la deuxième sirène, n'a cependant pas perturbé Gottéron. La délivrance est venue de la crosse de Jacob De La Rose (52e, 2-1), qui a marqué deux secondes après la fin de la sixième supériorité numérique dont son équipe a bénéficié. Nathan Marchon (55e) et Marcus Sörensen (60e, dans la cage vide) ont donné au score des allures plus flatteuses.
Le "Z" fait la différence dans le "money time"
Champions en titre, les Zurich Lions ont eux aussi entamé de manière idéale leur saison en allant s'imposer 3-1 à Bienne. Le "Z" n'a toutefois fait la différence que dans les six dernières minutes de jeu seulement: Jesper Fröden a inscrit le 2-1 à la 55e, Dean Kukan scellant le score 102 secondes plus tard.
Annoncé comme le principal rival des Zurichois, Zoug a également empoché trois points mardi soir. La troupe de Dan Tangnes a battu Lugano 3-2, en marquant ses trois buts dans les 15 premières minutes de jeu grâce à un "power-play" déjà bien en place (deux réussites à 5 contre 4).
Les deux derniers matches de la soirée se sont conclus au-delà du temps réglementaire. Rapperswil-Jona a battu Ambri-Piotta 4-3 en Léventine grâce à un but de Nicklas Jensen après 78 secondes en "overtime", alors que Kloten l'a emporté aux tirs au but à Davos (3-2).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Grâce à Rochette, Lausanne remporte le derby lémanique
Lausanne a bien commencé la nouvelle saison de National League. Pour le premier derby lémanique à Malley, les Vaudois se sont imposés 2-1 face à Genève-Servette grâce à un doublé de Théo Rochette.
Après les émotions des victoires obtenues en finale face à Zurich, le public vaudois était forcément ravi de retrouver le théâtre des derniers exploits de ses protégés. Salués par leurs 9281 supporters au cours de la présentation d'avant-match, les Lions sont entrés dans la partie avec de bonnes intentions, comme celles qu'ils ont montrées en Coupe d'Europe jusqu'à présent.
Geoff Ward a toutefois dû se passer des services de son centre finlandais Antti Suomela, touché au visage lors du match de Champions League en Hongrie samedi dernier. Mais selon les informations transmises par le club avant la rencontre, Suomela devrait pouvoir tenir sa place pour les matches du week-end.
Pour remplacer le Finlandais, le staff a choisi de mettre Théo Rochette. Un choix judicieux puisque le jeune Lausannois s'est mis plusieurs fois en évidence, notamment à la 31e, puis sur l'ouverture du score à la 35e. Le centre aux racines québécoises a surtout signé son doublé à la 57e après une magnifique ouverture de Riat pour le goal de la victoire.
Du côté genevois, les quelques soucis aperçus en Champions League n'ont pas disparu comme par magie. Contraints de jouer leurs huit premiers matches de la saison à l'extérieur, les Aigles ont parfois eu de la peine à protéger leur portier Robert Mayer. Et sans la maladresse des Lausannois, l'écart aurait pu être un peu plus important au terme des deux premiers tiers. Le LHC a ainsi réussi 15 tirs cadrés dans le tiers médian, contre 6 pour le GSHC.
Genève trop attentiste
Les Grenat ont en revanche été plus dangereux lors de la troisième période. Manninen a eu un face-à-face avec Pasche à la 44e, mais c'est le gardien vaudois, excellent, qui en est sorti victorieux. Rebelote à la 53e devant Bertaggia. Et surtout, Hartikainen a pu égaliser (1-1) à la 55e en utilisant toute sa puissance. Cela n'a cependant pas suffi. Et malgré une belle poussée en fin de match, les Genevois ont trop attendu.
A noter côté vaudois la possible blessure de Michael Raffl. Le capitaine des Lions a eu la première vraie occasion de la rencontre, mais il a été aligné durant seulement 2'49.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Buteur patenté du LHC, Damien Riat en veut encore plus
Meilleur buteur de Lausanne la saison passée avec 24 réussites en 69 matches, Damien Riat veut aller encore plus haut. Devenu père juste avant l'été, le Genevois traverse une période rose.
Avant le dernier exercice, Damien Riat donnait l'impression de ne pas être parvenu à dévoiler tout son potentiel. Buteur droitier de talent, il n'avait jamais dépassé les 12 buts en saison régulière, alors qu'il avait une fois inscrit un quadruplé avec Bienne.
Et puis la saison passée, ce fut le déclic, l'exercice de la révélation. En saison régulière, l'attaquant vaudois a inscrit 37 points (18 buts) en 50 rencontres pour terminer 27e meilleur compteur de la ligue. En 19 parties de play-off, il a ajouté 11 points (6 buts).
Fin de contrat en 2025
Avec une pareille fiche, on l'imaginait déjà dans l'avion pour Prague, prêt à participer au Championnat du monde, là où la Suisse est allée cueillir une magnifique médaille d'argent. Sauf que non, Damien Riat est resté en Suisse pour assister à la naissance de son premier enfant.
"C'est un incroyable bonheur, je n'aurais jamais imaginé que ça nous apporte autant de bonheur à ma femme et à moi, raconte-t-il. On gère plutôt bien. Ma femme s'occupe souvent de la petite, ce qui fait que j'ai la chance de pouvoir me reposer. Je la remercie pour ce sacrifice et de faire en sorte que tout se passe bien pour moi sur la glace."
Devenu un pion essentiel de l'attaque des Lions à 27 ans, Damien Riat s'est mis en valeur. Sous contrat avec Lausanne cette saison, le Genevois ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait après la saison à venir. Si Jason Fuchs a prolongé son bail avec le LHC, Tim Bozon et Damien Riat ne l'ont pas encore imité.
Et a priori, cela ne dérange pas le numéro 9 du LHC de ne pas avoir déjà dessiné les contours de son futur. "Cela se passe bien en ce moment, confie-t-il. Je suis conscient de ce que je peux amener à une équipe. Je n'ai pas de pression, je vis au jour le jour et on verra la suite."
La culture du travail
Passé tout proche du premier titre de son histoire au printemps dernier avec cette défaite 2-0 lors du septième match à Zurich, le LHC ambitionne forcément de franchir cette dernière étape, comme le rappelle Riat: "Je dirais qu'on a goûté à ce que c'était d'avoir un titre, mais là on a envie du gâteau au complet. On est tous arrivé prêt et avec des ambitions. On veut y aller. Après cette défaite contre Zurich, c'était dur, mais c'était un mal pour un bien, car on a appris et pris de l'expérience."
Avec un staff compétent et inchangé, quel est le mot d'ordre de cette saison? "Faire confiance au processus, note Riat. On a vu que notre manière de jouer gênait nos adversaires. On est structuré avec un staff qui fait du très bon boulot au niveau des détails. La mentalité est d'aller gagner chaque match et de jouer de la bonne manière. Il y a cette culture du travail et de ne jamais rien lâcher."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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