Football
Equipe de Suisse: Michael Frey doit encore attendre
Inscrire onze buts depuis le début de saison dans le Championnat de Belgique n'ouvre pas les portes de l'équipe nationale. Michael Frey en fait l'amère expérience.
Le Bernois ne figure pas dans la liste des 24 joueurs retenus par Murat Yakin pour les rencontres du tour préliminaire de la Coupe du monde 2022 contre l'Irlande du Nord le 9 octobre à Genève et en Lituanie trois jours plus tard à Vilnius.
Le sélectionneur a préféré rappeler Alban Ajeti et Cedric Itten plutôt que de lancer dans le grand bain l'attaquant du Royal Anvers. "Ce choix ne va pas à l'encontre de Michael Frey ou de Josip Drmic ou d'Eren Derdiyok lesquels brillent également en Croatie et en Turquie. Mais avec Ajeti et Itten, j'ai choisi deux attaquants de surface qui marquent aussi des buts aujourd'hui et qui ont l'avantage de connaître la maison", a dit le sélectionneur.
Retour de Shaqiri
L'absence de Michael Frey est "la" surprise de cette liste qui enregistre les retours de deux joueurs, Xherdan Shaqiri et Breel Embolo, appelés à tenir un rôle essentiel lors de ces deux rencontres. Les deux Bâlois ont beaucoup manqué le 8 septembre dernier lors du 0-0 en Irlande du Nord.
En revanche, Murat Yakin doit déplorer les absences de son capitaine Granit Xhaka et de Haris Seferovic. "Voir Granit se blesser dimanche fut un véritable choc, avoue Murat Yakin. Il était vraiment en train de livrer un grand match pour son retour aux affaires après sa suspension.
La carte Zakaria
Murat Yakin juge son capitaine "irremplaçable". "Pour ses qualités bien sûr, mais aussi pour son rayonnement au sein de l'équipe, explique-t-il. Maintenant, il ne sert à rien de se lamenter. D'autres joueurs doivent prendre le relais." Il pense bien sûr à Xherdan Shaqiri mais aussi à Denis Zakaria.
A l'entendre lors de cette conférence de presse tenue à Lausanne, Murat Yakin est vraiment tenté de donner les clés du camion au Genevois. "Zakaria a retrouvé du rythme. Il a marqué des buts importants", souligne-t-il.
Remplaçant lors du 0-0 contre l'Italie, le joueur de Mönchengladbach sera appelé à endosser de grandes responsabilités face à l'Irlande du Nord. Son retour au premier plan explique aussi pourquoi Murat Yakin n'a pas retenu Fabian Frei, qui aurait été toutefois suspendu contre l'Irlande du Nord.
Pas simple
Murat Yakin n'oublie pas que les Irlandais forment une équipe contre laquelle il n'est pas simple de briller. Ainsi, la Suisse a été incapable de marquer une seule fois sur un mouvement d'attaque lors des trois dernières rencontres contre cette équipe.
"L'Irlande du Nord défend parfaitement bien et elle sait aussi se montrer dangereuse sur les balles arrêtées glisse Murat Yakin. Le mois dernier à Belfast, nous avions manqué de présence dans la surface adverse. Mais cette fois, j'ai la conviction que nous avons les armes pour les battre."
Gagner les quatre derniers matches
L'objectif de la Suisse est toujours cette qualification directe pour la Coupe du monde au Qatar qui reviendra seulement au vainqueur du groupe. "Nous n'avons pas le choix: nous devons gagner nos quatre derniers matches pour terminer à la première place", indique Murat Yakin.
Après les rencontres contre l'Irlande du Nord et la Lituanie, la Suisse se déplacera en Italie le 12 novembre avant de recevoir la Bulgarie le 15 à Lucerne. "Il est important aussi de sécuriser la deuxième place du groupe, synonyme de barrage, poursuit-il. Pour cela, la victoire contre les Irlandais est aussi impérative."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
"Il faut l'accepter et repartir de l'avant"
"L'arbitrage n'était pas de notre côté cette semaine. Il faut l'accepter et repartir de l'avant !" Murat Yakin la joue sobre. Le coach national ne veut pas faire un roman de l'arbitrage.
"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."
Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."
"Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas été en mesure d’enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d’un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Le Portugal bat l'Ecosse grâce à Ronaldo
Le Portugal a beaucoup souffert pour s'imposer face à l'Ecosse (2-1) pour le compte de la deuxième journée de la Ligue des nations.
La Seleçao a fait la différence grâce à un but décisif de Cristiano Ronaldo, sur le banc en début de match dimanche à Lisbonne.
Les Ecossais ont ouvert le score sur une tête de Scott McTominay (7e, 1-0). Bruno Fernandes, qui fêtait dimanche son 30e anniversaire, a rétabli l'égalité d'une frappe lointaine du gauche (54e, 1-1). Entré à la mi-temps, Ronaldo a délivré les siens peu avant le coup de sifflet final, en marquant à bout portant sur un service de Nuno Mendes (88e, 2-1).
Après avoir battu la Croatie (2-1) jeudi, également à Lisbonne, le Portugal est donc en tête du classement de sa poule, où la Croatie a battu la Pologne (1-0) dans l'autre match du soir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Trop naïve, la Suisse s'incline 4-1 face à l'Espagne
Valeureuse mais bien trop naïve en défense, la Suisse n'a pas signé l'exploit face à l'Espagne. Elle a été battue 4-1 à Genève par la Roja malgré une supériorité numérique de plus de 70 minutes.
Trois jours après avoir perdu 2-0 au Danemark, cette défaite place la Suisse en fâcheuse posture dans cette Ligue des nations. Elle devra impérativement faire un résultat le mois prochain en Serbie pour repousser la menace d'une relégation directe en Ligue B. Battre deux fois les Serbes et une fois le Danemark serait, par ailleurs, souhaitable pour assurer son rang de tête de série lors du tirage au sort le 13 décembre à Zurich du tour préliminaire de la Coupe du monde 2026.
Sans Granit Xhaka dont l'absence a été cruellement ressentie lors d'une seconde période bien trop monocorde, la Suisse a laissé passer sa chance dans une première mi-temps riche en rebondissements. Elle a, malheureusement, été incapable de poursuivre avec le même élan au retour des vestiaires pour concéder au final sa défaite la plus lourde depuis le 6-1 du funeste huitième de finale de la Coupe du monde 2022 face au Portugal.
Une première mi-temps déroutante
Trois buts, une réussite annulée par la VAR pour une faute de main de Remo Freuler à l'aube d'une action splendide de Breel Embolo conclue par l'appelé de la dernière heure Becir Omeragic et, enfin, une main de Lamine Yamal qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty: la première mi-temps fut déroutante, mais elle fut un régal pour tous les amateurs de football malgré la pluie et la qualité de la pelouse.
Menée 2-0 après seulement 13 minutes de jeu sur des réussites qui ont souligné les limites actuelles des deux joueurs de Bologne Remo Freuler et Michel Aebischer, la Suisse a eu l'immense mérite de ne pas lâcher prise face sans doute à la meilleure équipe au monde du moment.
Le grand tournant de cette rencontre fut l'expulsion de Robin Le Normand, coupable d'une faute de dernier recours à la 21e minute sur Embolo qui avait pris la profondeur sur une ouverture du capitaine Manuel Akanji. Sur le coup franc sifflé après la faute du défenseur de l'Atletico Madrid, Zeki Amdouni trouvait la transversale de David Raya comme pour sonner la révolte. Titularisé à la place de Fabian Rieder, le Genevois était plus heureux à la 41e minute pour réduire la marque. Sur un corner de Ruben Vargas, il surgissait au second poteau après une déviation involontaire de Dani Carvajal.
L'arbitrage à nouveau en question
L'ouverture du score de Joselu à la 4e minute avait planté le décor de cette mi-temps pas vraiment comme les autres. La tête de l'ancien attaquant du Real Madrid avait-elle été vraiment détournée derrière la ligne par Gregor Kobel comme l'a indiqué le juge de ligne ? En l'absence de la "goal line technology" et d'une image qui aurait pu lever le doute, l'arbitre ne pouvait que suivre son assistant. Déjà lésée par l'arbitrage à Copenhague, la Suisse peut se croire maudite dans cette Ligue des nations.
La seconde période fut une véritable attaque/défense avec une Roja désormais incapable de sortir de ses 30 mètres. Avec les remplacements de Lamine Yamal et de Nico Williams, les Champions d'Europe basculaient vraiment en mode combat avec comme unique ambition de conserver ce 2-1. Murat Yakin attendait l'heure de jeu pour redonner un second souffle à son équipe avec les introductions de Fabian Rieder et de Vincent Sierro. "Epargné" par le coaching du sélectionneur, Gregory Wüthrich héritait de la première chance dans cette mi-temps cadenassée avec une tête qu'il ne pouvait cadrer.
La tentative du joueur du Sturm Graz fut malheureusement la seule action à porter au crédit des Suisses après le repos. Cette seconde période tournait à la confusion avec les réussites de Ferran Torres (77e) et de Fabian Ruiz (80e) inscrites sur deux ruptures face à une défense suisse aux abonnés absents. A onze contre dix, on n'a pas vraiment le droit de se faire piéger de la sorte.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Trois changements dans l'équipe de Suisse
Murat Yakin a apporté trois changements pour affronter l’Espagne ce soir par rapport à l’équipe battue 2-0 au Danemark. La titularisation de Zeki Admouni est le choix fort arrêté par le sélectionneur.
Le nouveau joueur de Benfica sera aligné en attaque aux côtés de Breel Embolo et de Ruben Vargas. Les deux autres entrants sont Gregoiry Wüthrich et Denis Zakaria. Le Bernois et le Genevois remplacent Nico Elvedi et Granit Xhaka, qui ont tous les deux vu rouge jeudi à Copenhague.
Introduit à quatre reprises à l’Euro, Zeki Amdouni prend la place de Fabian Rieder. Dans sa ville le Genevois bénéficie ce soir d’une occasion en or pour reprendre la main en sélection.
Enfin, Embolo honorera sa 70e sélection ce soir, Vargas sa 50e.
La Suisse évoluera dans la composition suivante ce soir contre l’Espagne : Kobel ; Wüthrich, Akanji, Rodriguez ; Widmer, Freuler, Zakaria, Aebischer : Amdouni, Embolo, Vargas.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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