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Lausanne

Le concours Nature en ville va soutenir cinq projets

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A Lausanne, les lauréats 2021 du concours Nature en ville sont connus. Cinq projets permettant de développer la biodiversité dès cet automne dans l'espace urbain seront soutenus par la Municipalité. (Image d'illustration - ©KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

A Lausanne, les lauréats 2021 du concours Nature en ville sont connus. Cinq projets permettant de développer la biodiversité dès cet automne dans l'espace urbain seront soutenus par la Municipalité, qui a reçu treize dossiers en tout.

L'objectif du concours est atteint: il a suscité une forte implication de la population, a indiqué mercredi la Ville de Lausanne. Ouvert à toute personne, entreprise, association ou institution publique, ce concours ambitionne de favoriser la nature en ville et le bien-être des habitants, tout en promouvant une démarche participative.

Le premier prix de cette 3e édition a été attribué au projet "Plus de biodiversité dans les jardins de Beaulieu-Bergières", porté par un collectif d'habitants du quartier et le Centre socio-culturel Espace 44. Il consiste à former environ 50 propriétaires et les habitants au jardin écologique, notamment par le remplacement des laurelles et tuyas par des espèces favorables à la biodiversité.

Le projet "Une lisière favorable à la biodiversité au terrain d'aventure de Pierrefleur", lauréat du second prix et porté par l'association ad hoc, vise à renouveler la lisière entre le terrain et la rue. Des haies indigènes, des fruitiers haute-tige, des vivaces mellifères et des fougères indigènes y seront plantées par les habitants du quartier.

Le troisième prix est remis à deux projets, ex aequo: l'un entend créer un microréseau de biodiversité connecté à la forêt environnante dans le quartier des Falaises, tandis que l'autre consiste à planter 500 arbustes favorables à la biodiversité, adaptés au changement climatique et dont certains seront comestibles dans le quartier des Fiches Nord.

Le projet "Bacs végétalisés biodiversifiés à la place de places de parc" a, quant à lui, reçu un prix d’encouragement. Il doit permettre d'amener de la nature sur la devanture de l'antenne Dapples de l'APEMS, en impliquant les enfants dans l'aménagement et l'entretien de la végétation, écrit la Ville de Lausanne.

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Lausanne

Vaud: une motion veut interdire la pub pour les steaks végétaux

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Après le Valais, des députés vaudois s'inquiètent aussi de la promotion des "filet", "steak", "jambon" ou "saucisse" à toutes les sauces veggie (photo symbolique). (© Keystone/DPA/SILAS STEIN)

A l'instar du Valais, une motion vaudoise veut aussi interdire la publicité pour les steaks végétaux. Déposé juste avant Noël, le texte sera formellement présenté mardi au Grand Conseil. Signé par une soixantaine de députés, surtout de droite mais aussi un peu à gauche, il dénonce une dévalorisation de la filière animale.

"Les termes 'filet', 'steak', 'jambon' ou 'saucisse' sont aujourd'hui utilisés à toutes les sauces malgré leur signification liée aux produits d'origine animale", observent les deux motionnaires principaux, la PLR Marion Wahlen et l'UDC Nicolas Bolay. Il est important de pouvoir identifier ce que l'on mange, selon eux, en référence aux "steaks de soja", aux "burgers végétariens" ou encore aux "saucisses vegans".

"L'usage abusif de ces termes utilisés par l'industrie des produits à base de végétaux est de nature à créer une confusion auprès des consommateurs et dévalorise le travail de la filière animale", expliquent les deux parlementaires. La motion est intitulée "Ce qui est viande pour l'un est végétal pour l'autre".

"Ce n'est donc en aucun cas un débat pour ou contre la viande, mais bien une question d'éviter toute confusion publicitaire", explique à Keystone-ATS Marion Wahlen. "L'idée est clairement de mettre en valeur les acteurs de la viande et des circuits courts, donc locaux, par opposition au soja qui n'est par exemple pas produit chez nous", souligne la députée vigneronne.

Motion acceptée en Valais en décembre

Plus précise que dans le canton du Valais, la motion vaudoise demande au Conseil d'Etat de proposer au Grand Conseil un projet de loi modifiant celle sur les procédés de réclame (LPR) afin d'interdire, notamment dans l'espace public, la publicité utilisant des termes liés aux produits de boucherie d'origine animale pour nommer des denrées sans viande, à base de protéines végétales. La modification pourrait prendre la forme d'un nouvel article.

L'adaptation législative, voulue par les motionnaires, doit également permettre d'établir une liste des dénominations dont l'usage de la publicité serait réservé uniquement aux produits d'origine animale.

En décembre dernier, le Grand Conseil valaisan a accepté une motion visant à interdire la promotion de steaks végétaux. Elle était signée par des élus de l'UDC, du Centre et du PLR. Le texte a été approuvé par 60 voix pour, 48 contre et onze abstentions. Au Conseil d'Etat de proposer désormais un projet législatif.

Quid des tomates "coeur de boeuf"?

En contrepoint à ce débat, la députée écologiste vaudoise Valérie Zonca s'est exprimée jeudi dans une colonne d'opinion du 24 heures, titrée "Qui a peur des steaks végétaux?". Elle y estime que "des études récentes démontrent que les consommateurs font très bien la différence entre les produits carnés et les substituts. Ces derniers sont en effet souvent très clairement étiquetés 'végétariens' et sont présentés sur des rayons séparés dans les supermarchés".

"Les arguments brandis dans les parlements vaudois et valaisans sont en réalité plus utiles pour l'industrie de la viande afin de lutter contre le nouveau marché des substituts végétaux en pleine croissance, qui leur fait de plus en plus d'ombre", juge l'élue.

Sur une note plus légère, elle interroge: "Que fait-on des fruits de mer qui ne sont pas des fruits? Quid de la souris d’agneau qui n'est pas un plat à base de souris? Et que faire face au lait de coco, qui n'est en rien du lait? Le loup de mer est-il dangereux pour nos troupeaux? Et la liste des incohérences alimentaires pourrait être encore longue". Avant de conclure: "Il reste à espérer que la tomate 'coeur de b½uf' sera épargnée par ces interdictions d'un autre temps".

La motion vaudoise va être renvoyée en commission, avant un débat en plénum qui risque d'être animé.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

L'affaire Sinner examinée mi-avril par le TAS

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Jannik Sinner passera devant le TAS en avril (© KEYSTONE/EPA/ROLEX DELA PENA)

Le no 1 mondial Jannik Sinner comparaîtra les 16 et 17 avril devant le TAS après avoir été testé positif à une substance interdite sans être suspendu. Le TAS l'a annoncé vendredi.

"Aucune des parties n'a demandé une audience publique et les débats se tiendront à huis clos", au siège de la juridiction sportive à Lausanne, poursuit la même source. Aucune date n'est fixée pour la sentence, habituellement rendue quelques semaines à quelques mois après.

A deux reprises, en mars 2024, d'infimes traces de costébol (un anabolisant) avaient été détectées dans l'organisme de l'Italien, mais le tribunal indépendant sollicité par l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (Itia) avait estimé fin août qu'il n'avait "commis aucune faute ou négligence".

Le vainqueur de l'Open d'Australie et de l'US Open soutient qu'il a été contaminé par un membre de son équipe médicale, qui aurait appliqué sur sa propre main un spray en vente libre contenant du clostébol avant de masser Sinner et de faire pénétrer la substance interdite par accident dans son organisme.

Mais l'Agence mondiale antidopage a saisi le TAS en septembre et réclame une suspension d'un à deux ans à l'encontre du no 1 mondial, âgé de 23 ans. L'Itia et la Fédération internationale de tennis se sont jointes à l'appel et seront également parties à l'audience.

"Il a été considéré dans la décision qu'il n'y avait pas de faute de Sinner. Notre position, c'est qu'il y a quand même une responsabilité de l'athlète par rapport à son entourage", expliquait mi-décembre Olivier Niggli, le directeur général de l'AMA.

"On ne conteste pas le fait que ça a pu être une contamination. Mais on estime que l'application des règles ne correspond pas à la jurisprudence", ajoutait-il.

Vainqueur de l'Open d'Australie et de l'US Open en 2024, Jannick Sinner affrontera le Chilien Nicolas Jarry au premier tour du majeur de Melbourne, qui débute dimanche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Sauvetage de Télé-Dôle: il n'y aura pas de votation populaire

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Le sauvetage de Télé-Dôle peut aller de l'avant. Il ne passera pas par une votation populaire. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La récolte de signatures pour le référendum intercommunal contre le sauvetage de la société Télé-Dôle a échoué. Le comité référendaire n'a pas réussi à réunir les 5892 signatures nécessaires, a-t-il indiqué vendredi. La population ne sera donc pas amenée à s'exprimer en votation sur ce dossier.

"Malheureusement, les signatures nécessaires n'ont pas pu être rassemblées, a dit à Keystone-ATS le coprésident du Parti pirate vaudois (PPVD) Nils Schaetti, membre du comité référendaire et dont la formation politique soutenait le référendum. Le décompte final du nombre de paraphes n'était pas encore connu à ce stade.

La récolte avait démarré le 6 décembre dernier. Le comité avait jusqu'à ce 10 janvier pour récolter 5892 paraphes, soit 10% du corps électoral des 37 communes de la région nyonnaise. Un tel référendum sur plusieurs communes était une première dans le canton.

L'Etat apporte aussi son aide

La décision de le lancer faisait suite à l'annonce fin octobre de l'association Région de Nyon, qui regroupe la quarantaine de communes de la Côte, d'investir 2,62 millions de francs dans la société propriétaire des remontées mécaniques installées dans le massif de La Dôle. Dans la foulée, le Conseil d'Etat vaudois a annoncé une aide de 2,56 millions de francs.

"Il nous faudrait investir dans Télé-Dôle 2,6 millions de francs de nos impôts pour combler sa mauvaise gestion, financer des projets flous et miser sur un avenir sans vision ni garanties. C'est inacceptable", critiquait le comité référendaire, composé de sept personnes, sur son site internet. "Refusons ce gaspillage de fonds publics et exigeons une meilleure gestion de nos ressources".

"Aucun plan de trésorerie ni plan financier sérieux n'est présenté, et la transparence fait défaut", avait argumente le comité. "Près de 50% des 'recettes' prévues sont des subventions publiques. Cette société n'est pas viable sans financement externe constant, et les risques sont énormes pour les contribuables", expliquait-il encore.

Le temps pressait

Pour rappel, réuni le 30 octobre dernier à St-Cergue, le Conseil intercommunal de Région de Nyon a largement voté en faveur d'un préavis présentant des solutions de financement afin de pérenniser la société d'équipements touristiques et sportifs qui gère notamment plusieurs remontées mécaniques. L'association régionale est l'actionnaire majoritaire (93%) de Télé-Dôle, elle-même basée à Nyon.

Concrètement, le crédit d'investissement a pour objectif de finaliser les aménagements en cours à La Dôle et de s'orienter vers une restructuration quatre saisons du domaine.

Le feu est désormais au vert pour ces différents crédits. Ce qui tombe à pic. Le temps pressait en effet dans ce dossier. La société Télé-Dôle restait toujours menacée d'une faillite.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

La fréquentation des urgences des hôpitaux vaudois est très élevée

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A l'instar des cantons voisins, le canton de Vaud fait face à une affluence très élevée de patients dans ses services d'urgences hospitalières et ses hôpitaux (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La fréquentation des services des urgences des hôpitaux vaudois est très élevée, indique vendredi le Canton. Il explique cette situation en raison d'un cumul des facteurs saisonniers couplé aux absences maladie du personnel.

Pour éviter de longues attentes et contribuer à désengorger ces services, le Département de la santé et de l'action sociale (DSAS) invite la population à obtenir un conseil d'orientation avant de s'y rendre. Il s'agit d'appeler prioritairement un médecin traitant ou pédiatre, la centrale téléphonique des médecins de garde (CTMG) au 0848 133 133 ou à se rendre dans une pharmacie.

Les services de la conseillère d'Etat Rebecca Ruiz ont décidé de passer au niveau 4 du dispositif cantonal de désengorgement des hôpitaux. Ce stade autorise par exemple à intervenir pour fluidifier le transfert de certains patients entre établissements, précisent-ils.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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