Lausanne
Un avocat va étudier la situation fiscale de Valérie Dittli
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Le Conseil d'Etat vaudois a commandé une expertise sur la fiscalité de Valérie Dittli, sous le feu des critiques pour avoir attendu 2022 avant d'établir son domicile dans le canton. La ministre des finances soutient cette mesure et écarte l'idée d'une démission.
Le mandat a été confié à un avocat et expert fiscal, Me Daniel Schafer, associé à l'étude Lenz & Staehelin à Genève. Son travail portera "sur l'examen de la domiciliation et sur le contrôle de l'assujettissement à l'impôt pour les années 2016 à 2021 au regard du droit fiscal cantonal et fédéral", a indiqué jeudi le Conseil d'Etat.
Le gouvernement vaudois précise que cette décision a été prise hors de la présence de Valérie Dittli, conformément aux règles de récusation. La principale intéressée se rallie toutefois à cette mesure. "Bien que non encore élue au Conseil d’Etat à cette période, elle partage la nécessité d'amener des éléments factuels sur ce dossier", poursuit le communiqué.
Le Conseil d'Etat ajoute qu'il rendra public le résultat de ce rapport d'expertise externe, qui sera réalisé "dans les meilleurs délais".
Pas de démission en vue
Dans une note aux médias séparée, envoyée jeudi après-midi, Mme Dittli confirme avoir "naturellement accepté de lever le secret fiscal dans le cadre de ce mandat". Elle ajoute qu'elle répondra aux nombreuses sollicitations des médias "une fois que les conclusions de ce rapport seront disponibles".
Elle écarte aussi toute idée de démission du gouvernement. "Je réaffirme que l'engagement pour mon mandat est entier et que je continuerai à exercer ma fonction avec humilité, détermination et passion", écrit-elle dans cette note personnelle.
Pour mémoire, la RTS a révélé en fin de semaine dernière que Valérie Dittli n'avait installé son domicile fiscal à Lausanne que début 2022, alors qu'elle se lançait dans la course au Conseil d'Etat. Les six années précédentes, malgré une vie active dans la capitale vaudoise, notamment comme assistante-doctorante en droit à l'Université de Lausanne (UNIL), elle a continué de payer ses impôts dans le canton de Zoug, où vit sa famille.
Expertise neutre
L'élue centriste s'est défendue d'avoir pratiqué le tourisme fiscal. Elle a affirmé qu'elle avait toujours considéré, à l'époque, que son "centre de vie" demeurait à Zoug. Ne sachant pas quel serait son avenir professionnel, et loin de s'imaginer devenir conseillère d'Etat, elle n'avait pas jugé nécessaire de s'établir fiscalement dans le canton de Vaud.
Peu après ces révélations, Valérie Dittli avait indiqué avoir elle-même mandaté un expert pour faire la lumière sur sa situation fiscale avant son élection au Conseil d'Etat. Plusieurs voix se sont toutefois levées, notamment mardi lors de la séance du Grand Conseil, pour demander une expertise fiscale indépendante.
Très critique envers la grande argentière du canton, la gauche a exigé un processus "neutre" et "dénué de conflits d'intérêts", avait notamment martelé le président du PS, Romain Pilloud. La droite a, elle, fait bloc derrière la ministre. "Dans un esprit d'apaisement, le PLR pourra se rallier à une expertise fiscale indépendante", avait toutefois souligné la présidente du PLR, Florence Bettschart-Narbel.
"Aucun lien"
Cette expertise externe est désormais lancée. Pour garantir son indépendance, Me Daniel Schafer "a confirmé qu'il n'avait aucun lien avec les parties concernées et qu'il n'est membre d'aucun parti politique", indique encore le Conseil d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne va réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois
La Ville de Lausanne a dévoilé mardi sa stratégie adaptée de la drogue face à la crise du crack. Elle a décidé de réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois, courant 2026. La Ville étudie aussi le regroupement des prestations sociosanitaires sur un seul site.
Commerçants, élus, riverains demandaient depuis plusieurs mois des actions à la suite de l'ouverture du deuxième Espace de consommation sécurisé (ECS) en plein centre-ville en 2024. C'est notamment l'émergence du crack qui a généré de la violence et de l'insécurité dans le secteur.
La Municipalité a aussi annoncé une extension des horaires de l'antenne de la Riponne aux lundis et mardis matins ainsi que durant la pause de la mi-journée. Le soir, elle fermera à 22h00 au lieu de 21h30. Parallèlement, la Ville va renforcer la présence de la police à proximité du local d'injection. Dès le 17 novembre, police et agents de sécurité et d'accueil assureront une présence 24h/24 dans les secteurs nord et sud de la Riponne.
La Ville va aussi créer un poste de chargé de la "stratégie drogue".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Mondial 2026: la Suisse a toutes les cartes en main
L'équipe de Suisse s'est rassemblée lundi à Lausanne avec la Coupe du monde en ligne de mire. La sélection de Murat Yakin a une semaine pour préparer au mieux le duel contre la Suède samedi à Genève.
"Nous sommes dans une situation pour laquelle nous aurions certainement signé avant le début des éliminatoires", a déclaré Murat Yakin mercredi dernier, au moment de révéler la liste des 25 joueurs sélectionnés pour ce dernier rassemblement de l'année. Avec 10 points en quatre matches, la Suisse a en effet toutes les cartes en main pour valider sa qualification.
Une victoire face aux Scandinaves samedi au Stade de Genève (20h45) offrirait pratiquement à la Suisse son billet pour l'Amérique du Nord, même si le Kosovo venait à s'imposer dans le même temps en Slovénie. Seule une improbable déroute mardi prochain à Pristina pourrait alors entraver une septième participation consécutive à un grand tournoi.
En revanche, le scénario catastrophe verrait la Suisse empocher moins de points que les Kosovars samedi. Il faudrait alors à tout prix éviter la défaite trois jours plus tard lors de ce qui s'apparenterait à un véritable "match de la peur" à Pristina.
Un statut de favori
Mais Murat Yakin, comme tous les responsables de l'Association suisse de football, préfère ne pas y penser. A Lausanne, la délégation helvétique dispose d'une semaine entière pour se préparer au mieux. Elle s'entraînera chaque jour à Vidy, au Stade Juan-Antonio-Samaranch, avant de se rendre vendredi au bout du Léman.
La Suisse a d'ailleurs prouvé qu'elle était largement supérieure à ses adversaires de l'automne. Sa victoire en Suède le 10 octobre (2-0) doit lui permettre d'aborder la rencontre de samedi dans la peau du favori, tout comme le récital contre le Kosovo lors du premier match à Bâle (4-0).
La quasi-totalité des hommes forts de Murat Yakin affichent en outre une excellente forme. Les leaders Manuel Akanji et Granit Xhaka brillent tant avec l'Inter Milan (co-leader de Serie A) qu'avec Sunderland (surprenant 4e de Premier League). Au niveau offensif, Breel Embolo, Ruben Vargas et Fabian Rieder ont tous marqué ce week-end avec leurs clubs respectifs.
Qui pour remplacer Freuler ?
La seule ombre au tableau, c'est bien l'absence de Remo Freuler, si précieux à côté de Granit Xhaka depuis le début des qualifications. Toujours privé de Denis Zakaria (adducteurs) et d'Ardon Jashari (péroné droit), Murat Yakin va à nouveau devoir expérimenter, alors qu'il avait trouvé son onze type ces derniers temps.
Vincent Sierro, qui n'a plus joué avec la Suisse depuis son transfert en Arabie saoudite, ne sera pas la solution. Il est blessé à un mollet et manquera les deux matches. Djibril Sow, guère convaincant à Ljubljana (0-0) ou Michel Aebischer, de retour après avoir manqué la dernière trêve en raison d'une blessure, sont en pole position. Johan Manzambi évolue aussi comme no 6 avec le SC Fribourg, mais Murat Yakin semble plutôt considérer le Genevois comme une solution offensive.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Tami sur Okafor: "Pas bon de faire cette déclaration maintenant"
Pierluigi Tami regrette la prise de parole de Noah Okafor, qui s'est plaint de ne pas être sélectionné par Murat Yakin. "Ce n'était pas bon de faire cette déclaration maintenant", a-t-il déclaré.
L'attaquant bâlois, qui n'a plus été appelé en équipe de Suisse depuis novembre 2024, a choisi de faire part de son malaise par voie de presse vendredi. "Je n'ai plus parlé à l'entraîneur depuis, ni avec Pierluigi Tami. Cela n'a aucun sens, et je peux dire que ça me rend triste", a-t-il lâché dans un entretien accordé à The Athletic.
"Je suis toujours à l'heure. Je ne suis jamais en retard. Peut-être que lorsque je ne suis pas titularisé ou que je ne joue pas, je suis un peu en colère, mais c'est la soif de réussite que ressentent tous les jeunes joueurs", a encore dit Okafor, qui a marqué deux buts depuis son arrivée à Leeds cet été.
"Humilité et patience"
La conférence de presse de Pierluigi Tami à Lausanne, où la Suisse s'est rassemblée en vue des deux derniers matches des qualifications pour la Coupe du monde, a logiquement tourné autour du "cas Okafor", au grand regret du directeur des équipes nationales. "C'est bête que nous devions gaspiller de l'énergie et de la positivité avant deux matches très importants", a-t-il déclaré.
"Ce n'était pas bon de faire cette déclaration maintenant. Cela m'a dérangé de voir un article comme ça. Qu'est-ce que ça apporte à l'équipe ? Rien. S'il a un problème, qu'il téléphone avec l'entraîneur", a martelé le dirigeant tessinois. Et d'ajouter: "Noah doit faire preuve d'humilité et de patience."
Pierluigi Tami avait déclaré lors du précédent rassemblement que la "porte était toujours ouverte" pour Okafor, qui figure toujours sur la liste de piquet de Murat Yakin. "Cela signifie que je dois être disponible, mais pourquoi ne m'appelle-t-il pas pour me dire ce que je dois améliorer ?", a de son côté estimé l'ailier de 25 ans, qui dénonce une situation "incohérente".
"Tout le monde doit connaître son rôle et être satisfait de son rôle", a répliqué Pierluigi Tami, rappelant au passage qu'il y avait déjà eu "quelques problèmes avec Noah par le passé." Il fait notamment référence à l'Euro 2024, lors duquel le Bâlois estimait mériter davantage de temps de jeu.
"Le problème est ailleurs"
"Deux critères sont retenus pour qu'un joueur soit convoqué en équipe nationale: les performances en club et l'identification aux besoins de l'entraîneur. Dans le cas de Noah, ces deux critères ne sont pas remplis", a souligné Tami.
"Murat veut les meilleurs joueurs dans son équipe et je soutiens ses décisions à 100%. Mais il faut définir ce que sont les meilleurs joueurs. Est-ce que c'est la seule qualité footballistique ? Le problème est ailleurs", a encore dit le Tessinois.
Le directeur des équipes nationales a toutefois assuré qu'il tâcherait de résoudre le problème à l'issue de ce rassemblement. "Le futur immédiat, ce sont les deux matches contre la Suède et le Kosovo. Ensuite, je mettrai dans l'énergie pour essayer de créer un dialogue entre Murat et Noah", a-t-il conclu.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud: dépister à temps le diabète et ses complications
Certains troubles visuels ou des pieds sont des symptômes typiques du diabète, mais ne sont souvent pas reconnus comme tels. Or, un dépistage précoce permet d’éviter de graves complications. A l'occasion de la Journée mondiale du diabète vendredi, diabètevaud propose divers services gratuits tels qu'un contrôle ophtalmique ou un rendez-vous chez le podologue.
La rétinopathie diabétique et les amputations sont des complications fréquentes du diabète. Elles peuvent se développer dans un délai de dix à douze ans après le début de la maladie. Ophtalmologues et podologues peuvent, grâce à des examens ciblés, détecter précocement les éventuelles complications, souligne diabètevaud lundi dans un communiqué.
Ces complications invisibles sont le thème de la Journée mondiale du diabète de vendredi. L'association y participe en proposant un rendez-vous gratuit chez le podologue. Des tests de dépistage gratuits du risque de diabète sont également proposés à Moudon, sur rendez-vous.
En outre, toute personne qui a le diabète, et qui n'a pas vu d'ophtalmologue les douze derniers mois, peut venir faire un dépistage gratuit des yeux les deux dernières semaines de novembre dans les locaux de diabètevaud.
L'association rappelle que le diabète concerne 525'000 personnes en Suisse et qu'un tiers des personnes concernées ne savent pas en être atteintes. Dans le canton de Vaud, environ 55'000 personnes vivent avec cette maladie.
Les signes les plus fréquents sont une soif permanente, une perte de poids inexpliquée, des mictions fréquentes, de l'abattement, de la cicatrisation difficile et de la sensibilité aux infections.
www.diabetevaud.ch/agenda/journee-mondiale-du-diabete-2025/
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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