Économie
Plan directeur localisé Gare-Lac: une zone déclarée inconstructible
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/09/les-autorites-de-la-ville-dyverdon-les-bains-cantonales-et-federales-ont-annonce-lundi-que-le-secteur-jouxtant-la-baie-de-clendy-doit-etre-declare-inconstructible-en-raison-des-vestiges-palafitti-1000x600.jpg&description=Plan directeur localisé Gare-Lac: une zone déclarée inconstructible', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
A Yverdon-les-Bains, l'une des zones du Plan directeur localisé Gare-Lac, le secteur sud-ouest jouxtant la baie de Clendy, doit être déclaré "inconstructible". Il abrite en son sous-sol des vestiges palafittiques préhistoriques. Les logements prévus initialement pour 800 habitants devraient être reportés sur d'autres projets.
Dans le cadre du Plan directeur localisé (PDL) Gare-Lac accepté en 2015, la Ville d'Yverdon a soumis aux services cantonaux pour examen préliminaire le projet de plan d'affectation Sports (PA Sports). Ce dernier est situé entre la rue de l'Industrie, l'avenue des Sports et les voies de chemin de fer jusqu'au chemin de la Grève de Clendy, rappellent la Ville ainsi que les autorités cantonales et fédérales lundi dans un communiqué.
Au coeur des discussions et au terme de multiples consultations, impliquant également l'Office fédéral de la culture, il s'avère que le secteur à l'est du Buron doit être considéré comme inconstructible, même si des bâtiments y ont été érigés par le passé et que de nouveaux quartiers y étaient planifiés. Les propriétaires ont été avisés au préalable de cette évolution du projet, poursuit le communiqué.
Patrimoine exceptionnel
En effet, la découverte de vestiges d'habitats palafittiques depuis les années 1960 a mis en lumière un patrimoine archéologique exceptionnel. Ce vaste complexe, composé d'une douzaine de villages occupés du néolithique moyen à l'âge du bronze ancien, est considéré comme l'un des ensembles les plus importants de Suisse.
En 2011, le lieu a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO sous le nom "Yverdon-Baie de Clendy". Il fait partie de l'un des 111 éléments du bien sériel transnational "Sites palafittiques préhistoriques autour des Alpes".
Cette inscription, partagée par six pays de l'arc alpin, reconnaît sa valeur universelle exceptionnelle. Ce bien est donc placé sous la surveillance conjointe de la Ville, du Canton et de la Confédération.
Deux démarches distinctes
Initialement, le PA Sports avait été prévu pour accueillir environ 1200 habitants. Il sera remplacé par deux démarches distinctes. Le secteur situé sur les parcelles à l’ouest du Buron sera affecté par le futur PA Industrie. Ce projet pourra démarrer cette année et prévoit d’accueillir une école primaire et des logements pour environ 460 habitants.
Cette future planification permettra de concrétiser le projet Gare-Lac conjointement aux PA Ancien-Stand et Pêcheurs, dont les travaux d'élaboration se poursuivent.
Valoriser le patrimoine
Dans le secteur sous protection archéologique, l'exploitation et l'entretien des bâtiments existants seront admis. Les projets de transformations devront être soumis à l'archéologie cantonale et les nouvelles constructions seront exclues. Le statut des parcelles de ce secteur sera précisé dans le cadre de la révision du plan d'affectation communal.
Les logements prévus initialement pour 800 habitants et qui ne pourront pas y être réalisés seront en principe reportés sur d'autres projets de développement urbain à Yverdon. Au vu de la valeur patrimoniale et culturelle de ces vestiges, Ville, Canton et Confédération vont s'atteler à leur valorisation, sur site et au Musée d'Yverdon et Région.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Yverdon-les-Bains: dépassement de crédit pour la tour des Gardes
La restauration de la tour des Gardes du Château d'Yverdon-les-Bains (VD) coûtera plus cher que prévu. Devisée à 1,15 million de francs, elle subira un dépassement de crédit de près de 200'000 francs à la suite d'une erreur de calcul s'agissant du volume de pierre naturelle à remplacer. Un retard d'un mois seulement des travaux est anticipé.
"Lors de la quantification des pierres à remplacer, une grossière erreur de calcul s'est produite, avec une indication du volume des pierres à remplacer totalement erronée", explique jeudi la Municipalité dans une communication au Conseil communal.
"L'entreprise adjudicataire des travaux de pierre naturelle a relevé, à l'attention de l'architecte en charge du suivi des travaux, qu'une erreur manifeste lors de ses prises de mesures définitives sur place était apparue en rapport à l'appel d'offres. Selon le devis complémentaire reçu, il manque 20 m3 de pierre à 8800 francs le m3", explique-t-elle.
Ajouté aux 176'000 francs de ce surcoût un complément d’installation de chantier et la taille au pic, le dépassement de crédit btotal se monte à 198'000 francs, précise encore la Ville.
"Cette situation ne devrait pas impacter notablement le calendrier du chantier. En effet, le temps nécessaire pour effectuer ce travail additionnel reportera la fin des travaux d'un mois (sous réserve de conditions climatiques normales), mais sera en principe sans conséquence pour le Marché de Noël", souligne la Municipalité.
Ces travaux de rénovation comprennent principalement la réfection de la façade, de la toiture ainsi que la consolidation statique de la tour, qui donne sur la rue de la Plaine. Ils visent à remédier à des risques sécuritaires (chutes de tuiles, de neige et de glace) et à des problèmes de statique du bâtiment (tassement différentiel en fonction de la nature du sous-sol), ainsi qu'à assurer l'entretien et la conservation de ce joyau du patrimoine bâti.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
USA: baisse du PIB au 1er trimestre plus sévère qu'attendu (-0,5%)
L'économie américaine s'est contractée plus que prévu au cours des trois premiers mois de l'année, selon des données officielles publiées jeudi, les dépenses de consommation et les exportations se révélant plus faibles qu'attendu.
En rythme annualisé, mesure privilégiée par les États-Unis, le produit intérieur brut (PIB) s'est contracté de 0,5% au premier trimestre, contre une précédente estimation l'évaluant en repli de 0,2%, a rapporté le ministère américain du Commerce.
Cela représente un recul de 0,1% par rapport au trimestre précédent.
Les analystes s'attendaient à ce que cette donnée ne soit pas révisée, selon le consensus publié par Briefing.com.
"La baisse du PIB au premier trimestre reflète principalement une augmentation des importations, qui constituent une soustraction dans le calcul du PIB, et une diminution des dépenses publiques", est-il souligné dans le rapport du ministère.
Cette hausse des importations montre que les entreprises ont constitué des stocks avant l'entrée en vigueur des importants droits de douane imposés par Donald Trump à la plupart des partenaires commerciaux des États-Unis, en particulier les produits fabriqués en Chine.
La première estimation du PIB, publiée fin avril, avait fait l'effet d'un coup de semonce. Il s'agissait de la première évolution négative pour la première économie mondiale depuis 2022, qui était encore florissante fin 2024.
La révision de jeudi reflète principalement "des révisions à la baisse des dépenses de consommation et des exportations", a déclaré le ministère américain du Commerce.
Ces révisions ont été "partiellement compensées" par un ajustement à la baisse du niveau importations, a ajouté le ministère.
Alors que M. Trump a fait marche arrière ou reporté certaines de ses salves commerciales les plus punitives dans le cadre des négociations commerciales en cours, la date limite de juillet approche pour l'entrée en vigueur de droits de douane plus élevés pour des dizaines de partenaires commerciaux, ce qui ajoute à l'incertitude économique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Un projet de Maison de la raclette dans le Val de Bagnes
Le village de Bruson (VS) pourrait accueillir une Maison de la raclette en 2029. Un projet a été présenté la semaine dernière au conseil général de la commune de Val de Bagnes.
L’idée de créer un tel lieu dans la vallée a été lancée voici quelques années déjà par un ancien conseiller communal. Le concept se fait désormais plus concret. Le restaurant dédié à la "gommeuse" tenu par Eddy Baillifard, le pape de la raclette, n’était plus aux normes et devant être détruit, l’idée consiste à le remplacer par un nouveau bâtiment, a indiqué à Keystone-ATS le président de la commune, Fabien Sauthier, confirmant une information du Nouvelliste.
Le coût du projet est estimé à 8 millions de francs. La commune de Val de Bagnes serait en charge de la construction du nouvel édifice sur un terrain qui lui appartient depuis deux ans. L’association initiatrice du projet devra, elle, apporter les fonds nécessaires à la mise en place intérieure. Une fondation devrait ensuite gérer l'ensemble de la structure.
"Un musée vivant"
A Bruson, la Maison de la raclette proposerait un espace dégustation, avec un restaurant, un centre de recherche, de création artistique et gastronomique, une laiterie de démonstration artisanale, une cave d’affinage et un parc animalier. Quelque 100'000 visiteurs sont espérés annuellement pour une structure qui occuperait 17 employés à plein temps.
La partie muséale du projet a été confiée au Palp Festival. "Nous voulons en faire un musée vivant, un musée où l’on vit une expérience en découvrant le fromage", a précisé son directeur Sébastien Olesen au Nouvelliste. "On pourra manger en voyant des ½uvres le long des murs, avec un restaurant complètement intégré dans le musée."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Martigny: un nouvel écrin pour les Saint-Bernard du Barryland
Barryland à Martigny (VS) a rouvert ses portes jeudi au terme de deux ans de travaux. Il s'agit du premier parc thématique au monde consacré aux chiens Saint-Bernard.
"Les travaux se sont déroulés dans les temps et selon l'agenda prévu, nous avions donné rendez-vous au public à fin juin... eh bien, nous y sommes", s'est félicité jeudi Jean-Maurice Tornay, le président de la Fondation Barry.
Concrètement, la fondation a remplacé son ancien musée historique par un espace plus grand, plus moderne et plus interactif. A la clé de cette réalisation: une offre touristique avec un musée, 14 nouveaux postes de travail et un restaurant agrandi.
Avec ce nouvel aménagement, la direction du Barryland espère doubler son nombre de visites qui se situent, en moyenne, entre 70'000 et 80'000 personnes par an (record à 83'000 en 2023).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
InternationalIl y a 3 jours
L'Iran prêt à négocier avec Washington, premier jour de la trêve
-
ClimatIl y a 3 jours
Les Etats-Unis frappés par leur première vague de chaleur "extrême"
-
InternationalIl y a 3 jours
L'héritage d'Hatchepsout n'a pas été détruit en raison de son genre
-
VaudIl y a 2 jours
Payerne: duel inédit entre un avion solaire et un camion électrique
-
ClimatIl y a 2 jours
L'armée est entrée en action sur le terrain à Blatten
-
GenèveIl y a 2 jours
Genève: les jeunes femmes premières victimes des violences de genre
-
CultureIl y a 2 jours
Vevey: la collection Thierry Barbier-Mueller au Musée Jenisch
-
GenèveIl y a 2 jours
Baignade interdite depuis le Seujet après une fuite d'hydrocarbures