Vaud
Une pétition erronée circule à Vevey
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Une pétition circule à Vevey depuis ce weekend. Un comité citoyen s’insurge contre la fin de la gratuité du stationnement les dimanches et les jours fériés dans la ville d’images. Problème : ils articulent que la mesure, annoncée en juin par la Municipalité, concerne l’ensemble du territoire. Or, elle ne se concentre que sur le sud des voies CFF.
La question du stationnement est décidément épineuse à Vevey. Après les débats animés autour de l’implantation d’un parking souterrain à la place du marché, c’est la politique de la Ville en matière de stationnement qui provoque la grogne. Un comité citoyen a lancé une pétition ce weekend. Ils pointent du doigt la fin de la gratuité du stationnement les dimanches et jours fériés sur l’ensemble du territoire communal. Or cette mesure ne concerne qu’une partie de la ville. La récolte de signatures se base donc sur un malentendu. Les précisions d’Antoine Dormond, municipal chargé de de l’urbanisme et de la mobilité.
Pétition irreçevable?
De quelle marge de manœuvre dispose l’exécutif lorsqu’une pétition est inexacte ? On retrouve Antoine Dormond.
Contactés, les pétitionnaires affirment vouloir poursuivre la récolte malgré cette erreur. Ils regrettent la suppression de la gratuité, même si elle ne concerne que le sud des voies CFF. Pour l’heure, plus de 400 paraphes ont été rassemblés.
Vaud
L'Etat de Vaud va réinjecter 17 millions pour aider les vignerons
Face à la crise du secteur viticole, le Conseil d'Etat vaudois vient à la rescousse des vignerons. La ministre en charge du dossier Valérie Dittli a présenté jeudi à Villeneuve un plan pour la période 2025-2028, intitulé "Avenir de la viticulture vaudoise". D'un montant de 17,2 millions, il s'articule autour de trois axes: marchés, production et relève.
L'Etat avait déjà donné un coup de pouce à la filière en 2022 pour un montant de 5,8 millions de francs. Cette nouvelle enveloppe vise à désamorcer les difficultés actuelles qui s'expliquent par la concurrence des vins étrangers, la consommation de vin suisse en baisse, notamment chez les jeunes, et les aléas climatiques.
"Avec ce nouveau plan d'action, la viticulture vaudoise va disposer d'outils financiers et réglementaires solides pour se développer, valoriser ses terroirs et renforcer sa présence sur le marché suisse et international", a déclaré devant les médias la cheffe du Département de l'agriculture, de la durabilité et du climat et du numérique (DADN) Valérie Dittli.
Entre 2023 et 2024, la consommation de vin en Suisse a diminué de 16% (10% dans le canton de Vaud), tandis que deux tiers du vin consommé sont importés. Par ailleurs, les récoltes 2024 ont été réduites d'environ 30% en raison du mildiou et du gel printanier, rappelle le Canton.
"Le Canton agit plus vite"
Les actions et mesures prises par la Confédération, notamment sur le contingentement de l'importation des vins étrangers, prennent du temps et ne vont pas assez vite, a relevé François Montet, président de la Fédération vigneronne vaudoise (FVV). "La Canton agit plus vite. C'est le fruit d'un travail collectif. Nous sommes contents. C'est un bon début", a-t-il commenté.
Pour rappel, la Confédération poursuit aussi son appui à la viticulture suisse. Le conseiller fédéral Guy Parmelin a annoncé une série de mesures visant à étudier le renforcement de la protection aux frontières, saluées d'ailleurs par le Canton de Vaud et soutenues par le Grand Conseil, via une résolution PLR et UDC.
Au niveau cantonal, les services de Mme Dittli ont en effet collaboré avec les acteurs vitivinicoles, soit la Communauté interprofessionnelle du vin vaudois (CIVV), la FVV et l'Office des vins vaudois (OVV), pour mettre en oeuvre ce plan "Avenir de la viticulture vaudoise" pour les quatre ans à venir. Il repose sur trois axes.
Reséduire la Suisse alémanique
S'agissant des marchés, le plan vise à renforcer la présence des vins vaudois sur les marchés nationaux et internationaux grâce à une stratégie élaborée par la CIVV et mise en oeuvre par l'OVV. Très attendu par la branche, il prévoit la mise en place d'indicateurs économiques pour assurer un suivi régulier des prix du vin en vrac et du raisin. Parmi les mesures envisagées figure une promotion ciblée dans les régions de Berne, Soleure, Lucerne et Bâle, a expliqué Michel Rochat, président de l'OVV.
"Nous allons concentrer nos efforts sur le ciblage de nouveaux consommateurs, particulièrement les personnes de moins de 44 ans, développer les activités de dégustation et nous battre pour augmenter le nombre de référence dans la grande distribution", a-t-il résumé.
Moratoire et redimension
Le deuxième axe est le plus doté avec une enveloppe de 12,5 millions de francs. Un moratoire de trois ans (2026–2028) sur les nouvelles plantations hors du cadastre viticole actuel est préconisé pour contribuer à la stabilisation du marché.
Des mesures structurelles élaborées par la branche visent aussi à adapter le vignoble. Près de 4 millions sont prévus pour accompagner la reconversion de surfaces viticoles vers d'autres cultures ou vers des jachères fleuries, sur une base volontaire.
Le vignoble vaudois représente actuellement 3850 hectares. La redimension de ses surfaces pourrait concerner des centaines d'hectares, ont estimé les responsables de la CIVV et de la FVV. Président de la CIVV, Olivier Mark a préféré parler "d'optimisation des terrains plutôt que de redimensionnement du vignoble".
"Nous sommes en train d'identifier et de cartographier les parcelles qui pourraient obtenir cette aide à la reconversion. Nous devrions avoir fini au printemps prochain. C'est la mesure la plus rapide à mettre en oeuvre", a expliqué François Montet.
Enfin, le plan consacre 1,2 million de francs à la relève viticole. Il prévoit notamment des aides financières pour faciliter la reprise de domaines, que ce soit dans ou hors du cadre familial ainsi qu'un soutien à la formation et à la promotion des métiers de la vigne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Les sports urbains en vedette avec le projet Spark à Morges
Comme d'autres villes vaudoises avant elle, Morges accueille le projet Spark. Ouvert depuis fin octobre et jusqu'au 24 janvier 2026, ce lieu permet aux jeunes de 10 à 25 ans de pratiquer différents sports urbains, comme le basket 3x3, le parkour ou le breakdance.
Des animations de boxe, freesbee, skateboard, escalade ou encore de corde à sauter sont aussi proposées gratuitement. Le programme comprend également des activités culturelles, comme des ateliers d'écriture de rap ou d'art urbain.
"L'objectif de ce projet est de contribuer à une meilleure santé physique et mentale des adolescents et des jeunes adultes et de combattre le sentiment d'isolement d'une partie de cette population", indiquent les organisateurs dans un communiqué de presse.
Le projet Spark (étincelle en français) a déjà vécu plusieurs éditions dans d'autres localités vaudoises, à Renens, Yverdon, Moudon, Aigle, Vevey et la Vallée de Joux. A Morges, c'est la première fois qu'un espace intérieur est mis à disposition dans l'ancienne halle Iveco.
L'événement est géré par l'association vaudoise SPARK/Innov-Action. Le programme a été élaboré en partenariat avec les Offices des sports, de la culture et de la cohésion sociale de la Ville de Morges.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Surendettement: "Ils n'auraient jamais dû accepter mon crédit"
Le surendettement touche toujours plus de personnes en Suisse. Parmi elles, des jeunes de 18-25 ans qui tentent de joindre les deux bouts en contractant des crédits à la consommation auprès de banques en ligne. Enquête.
De plus en plus de jeunes adultes peinent à boucler leur fin de mois en Suisse. Pour payer leurs factures et s’en sortir, certains se tournent vers des banques numériques pour obtenir des prêts, au risque de tomber dans l’engrenage du surendettement. Sous quelles conditions ces banques octroient-elles des crédits et qui se chargent de leur surveillance ? Sophie Vassutine a mené l'enquête.
Le programme de prévention du surendettement du Canton de Vaud "Parlons Cash" propose une ligne gratuite à disposition des jeunes au 0840 43 21 00.
Vaud
Le gouvernement vaudois réexamine la question de ses déplacements
Critiqué pour des déplacements professionnels onéreux en limousine, le Conseil d'Etat vaudois n'est pas opposé à réexaminer la situation. Il a chargé la chancellerie d'analyser les différentes variantes possibles.
En janvier dernier, deux conseillères d'Etat, Christelle Luisier et Isabelle Moret, se sont rendues au Forum économique de Davos, chacune dans une limousine d'une société privée. L'affaire, révélée par 24 Heures, a suscité des réactions en cette période d'économies budgétaires, dont une interpellation au Grand Conseil de la députée verte Valérie Zonca.
Dans sa réponse, publiée jeudi, le gouvernement rappelle que d'une manière générale, dans la mesure du possible, les membres du Conseil d'Etat privilégient les déplacements professionnels par leurs propres moyens. Ou en s'appuyant sur les huissiers départementaux.
Parfois nécessaire
Mais le transport dans un véhicule privé avec chauffeur demeure une nécessité "dans certaines circonstances", surtout pour les trajets longs hors du canton. C'est notamment le cas en raison de l'emploi du temps des membres du gouvernement, de la flexibilité horaire et géographique attendue des élus et de la confidentialité nécessaire au traitement de nombreux dossiers.
En raison de la fin des activités de son ancien prestataire, le gouvernement a confié cette tâche l'hiver dernier à une nouvelle entreprise, First Class Limousines SA, sise sur sol vaudois. Celle-ci a remporté l'adjudication en raison de son offre "la plus avantageuse", compte tenu des critères définis, dont la mise à disposition d'une flotte de véhicules électriques et hybrides.
Budget stable
Le budget 2025 prévu pour les transports du Conseil d'Etat s'élève à 160'000 francs, comme en 2024. Les comptes 2024 font état d'une dépense de 140'475 francs dévolue aux membres du Conseil d'Etat pour les prestations avec chauffeur. A cela s'ajoute environ 19'000 francs de frais en lien avec les véhicules propriété de l'Etat.
Pour l'année 2025, un montant de 146'000 francs a déjà été dépensé jusqu'au 30 septembre, annonce le gouvernement. Un graphique détaillé montre qu'Isabelle Moret, Valérie Dittli et Christelle Luisier ont eu le plus recours à ce type de prestation.
Sur le fond, le gouvernement explique qu'il n'est pas opposé à réexaminer sa pratique du prestataire externe, même si cela lui paraissait être un choix adéquat "compte tenu que l'internalisation de la prestation a également un certain coût". Il est prêt à analyser les différentes variantes possibles "dans un but d'économicité des deniers publics", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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