Vaud
Violences domestiques: une femme tuée à Renens (VD) par son époux
Une femme de 61 ans a été découverte inanimée mardi matin à Renens (VD) par la police. Les secours n'ont pas réussi à la réanimer. Les autorités soupçonnent un acte de violence. L’auteur présumé, son époux, a été interpellé sur les lieux et a reconnu son implication.
Vers 07h15, la Centrale vaudoise de police (CVP) a été alertée par un homme que son épouse se trouvait inanimée à leur domicile de Renens. Les forces de l’ordre ainsi que les ambulanciers sont intervenus rapidement, mais les tentatives de réanimation n’ont pas permis de sauver la victime, a communiqué la police mercredi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne pour moins de stress face à la transition école-métier
Et toi, tu veux faire quoi comme métier ? Une question que les jeunes entendent souvent! Et elle prend une autre dimension encore lorsque l’heure du choix approche. Elle peut même être source de stress. Pour aider les élèves, la Ville de Lausanne lance une campagne de sensibilisation, développée avec l’aide de jeunes.
Difficile de choisir une carrière. Et cette transition école-métier est une source de stress pour de nombreux jeunes. Si le Canton met plusieurs outils à disposition, il est parfois difficile de s’y retrouver. C’est une des raisons qui a poussé la Ville de Lausanne a lancé sa propre campagne de sensibilisation. Développée avec l’aide de jeunes « Après l’école, on fait quoi » met notamment un guide à disposition. Il permet d’aider les élèves à se poser des questions et à les orienter vers les outils qui leur permettront de trouver des réponses. Pour Fatema Alipoor, gymnasienne impliquée dans le projet, cette opération est plus que bienvenue. Elle aurait d’ailleurs aimé en profiter lorsqu’elle-même était assaillie par le doute.
Dès la rentrée d’août, d’autres mesures suivront : notamment des soirées parents, la diffusion d’une vidéo créée par des élèves ou encore des interventions de jeunes directement dans les classes pour échanger autour du sujet de la transition école-métier.
Reste que normalement, la communication autour de cette étape est à la charge du Canton. Pourquoi Lausanne a voulu compléter ça avec une campagne de son cru ? Réponse de Virginie Huguet, responsable transition école métier pour la Ville.
La Ville argue encore que le taux de jeunes sans perspective de formation est nettement plus élevé à Lausanne que dans le reste du Canton, selon des informations transmises par les autorités cantonales. Elle n’a toutefois pas été en mesure de transmettre des chiffres précis, un directeur de collège soulignant tout de même que les jeunes « sans solution » représentaient une proportion « marginale ».
Questionner et expliquer
Une chose est certaine pour la Ville : il est aujourd’hui crucial d’accompagner les jeunes pour leur éviter une dose trop importante de stress. Mais alors faut-il bannir de notre vocabulaire la fameuse question : « qu’est-ce que tu vas faire comme métier ? ». Réponse de Halay Fatah, ancienne présidente du Conseil des jeunes et assistante sur ce projet.
Toutes les informations sur cette campagne de sensibilisation sont à retrouver sur le site internet de la Ville de Lausanne.
Lausanne
Lausanne: mieux accompagner les élèves vers le monde professionnel
La Ville de Lausanne veut mieux guider les jeunes et leurs parents lors de l'étape cruciale entre l'école et le monde professionnel. Elle lance la campagne "Après l'école, on fait quoi ?" en partenariat avec Lausanne Région, le Conseil des jeunes de Lausanne et Unisanté.
Déployée sur deux ans, cette nouvelle campagne s'adresse aux élèves lausannois de 10e et de 11e en voies prégymnasiale (VP) et générale (VG). Elle a été conçue pour toucher au mieux son public cible: "Une jeune est à la tête de la campagne et nous avons mis plus de temps pour la déployer afin de la faire germer et mûrir", a expliqué le chef du Service quartiers, jeunesse et familles, Simone Horat, mardi devant la presse.
Cette campagne vise à épauler les jeunes lors d'une période de transition particulièrement stressante: "Le choix de voies professionnelles ou d'écoles supérieures, c'est surtout une responsabilité, c'est un choix qui doit faire sens et qui est peu expérimenté", a indiqué Olivier Dezuari, directeur de l'établissement primaire et secondaire du Belvédère.
"A un âge où tout change"
Ce moment clé "demande une connaissance de soi qui est énorme, surtout à un âge où tout change. En plus, les chemins ne sont pas les mêmes pour tout le monde", a ajouté la présidente du Conseil des jeunes, Helay Fatah.
Le programme "Moi, Mon réseau, Mon futur", crée par Lausanne Région en 2019 pour aider les élèves à identifier leurs compétences personnelles et sociales et à comprendre l'importance de leur réseau, a touché plus de 5000 élèves au niveau régional. Pour la nouvelle campagne "Après l'école, on fait quoi?", 61 classes seront touchées en 2025, ce qui représente plus de 1263 élèves.
L'intérêt de la Ville de Lausanne est grand dans cette campagne: "Les jeunes lausannois sont moins nombreux à s'orienter vers des voies professionnelles, notamment parce que les professions de service sont moins visibles dans les zones urbaines", a relevé David Payot, municipal en charge de l'enfance, de la jeunesse et des quartiers.
Un guide inspiré d'un plan de métro
L'outil-phare de cette campagne consiste en un guide envoyé à tous les élèves de 10e et 11e années et à leurs parents. Comprenant six thématiques, il a été conçu avec des jeunes ayant précédemment vécu cette période de transition. Ce dépliant s'inspire d'un plan de métro et doit permettre d'explorer les différentes options scolaires et professionnelles.
Parmi les autres projets à venir figurent la production d'une capsule vidéo, une sensibilisation dans les classes, des soirées parents "clés en main", une étude de terrain menée par le Groupe de recherche sur la santé des adolescents d'Unisanté, ainsi que l'installation d'un présentoir sur roulettes avec 190 cartes métier.
Une campagne de ce type représente un coût compris entre 150'000 et 200'000 francs. Une partie du financement est assurée par la Ville, tandis que le reste est couvert par des levées de fonds. Des partenaires tels que Lausanne Région contribuent également en proposant des prestations sur le terrain, notamment avec les ateliers "Moi, Mon réseau, Mon futur" dans les classes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Municipalité de Lausanne: Pierre-Antoine Hildbrand se représente
Le PLR Pierre-Antoine Hilbrand briguera un troisième mandat à la Municipalité de Lausanne lors des élections communales de 2026. En charge de l'économie et de la sécurité, il souhaite "poursuivre son service à la communauté".
Dans une interview publiée mardi par 24 heures, le PLR déclare aimer "toujours autant cette ville" où il siège depuis 2016. Son autre raison pour se déclarer maintenant est de "permettre au PLR d’organiser la désignation de ses candidats et candidates dans les délais adéquats".
En vue des élections, Pierre-Antoine Hildbrand et son parti vont s'engager "sur deux sujets particulièrement importants. D’une part, le métro M3 pour lequel il faudra obtenir le financement du Canton. C’est déterminant pour Lausanne. D’autre part, la défense de la classe moyenne, en retrouvant un équilibre entre les gens qui travaillent et ceux qui sont assistés", souligne l'élu.
M. Hildbrand, 48 ans, est actuellement l'unique municipal de droite de l'Exécutif lausannois. Selon le PLR, "la plus grande difficulté est de rester collégial lorsque l’électorat de centre droit souhaiterait une rupture visible de la collégialité". Et de souligner que ses "objectifs comme directeur de la Sécurité et de l’Economie" ne lui "semblent pas marqués par une inféodation à la majorité".
Alors que les prochaines élections communales vaudoises sont programmées en mars 2026, la socialiste Florence Germond et le popiste David Payot ont d'ores et déjà annoncé leur départ. Depuis plusieurs années, l'Exécutif lausannois est largement dominé par la gauche (3 PS, 2 Vert-e-s, 1 POP et 1 PLR).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Pully Lavaux à l'heure du Québec déménage et fait peau neuve
Un nouveau festival animera l'été en Suisse romande: le Pully Live Festival. Prévue du 25 au 28 juin, la manifestation a dévoilé une partie de sa programmation, laquelle comprendra notamment Nile Rodgers, Gotthard et Nazareth.
Ce nouvel open air est né de la transformation complète du festival Pully Lavaux à l'heure du Québec. Un festival qui, après les années Covid et un déficit en 2022, a décidé de se réinventer. "Nous sommes repartis d'une feuille quasiment blanche", a expliqué son président Michel Marguerat, mardi devant la presse.
Le festival déménage ainsi du site du collège Arnold Reymond, sur les hauts de Pully, aux quais. De quoi désormais accueillir 4500 spectateurs par soir sur la scène principale (il y aura aussi une scène "off"), contre 2200 jusqu'ici.
L'autre grand changement concerne la programmation. En effet, celle-ci s'élargit. Le mercredi, le festival pulliéran tiendra une soirée "urbaine et électro" avec notamment le collectif français Bon Entendeur. "Une star mondiale" sera aussi annoncée prochainement. Le jeudi, l'heure sera au hard rock avec les Suisses de Gotthard et les Ecossais de Nazareth.
Le concept 100% québécois avait-il atteint ses limites ?
Le festival garde ses liens avec le Québec, mais quant à savoir comment cela se matérialisera exactement, les organisateurs gardent le mystère.
Places entre 75 et 85 francs
Le vendredi, après une première partie assurée par le "local de l'étape" Bastian Baker, le Pully Live accueillera la "légende vivante" Nile Rodgers. Le maître du disco funk, véritable machine à tubes depuis les années 1970, vivra son troisième été de suite en terre vaudoise après ses concerts au Montreux Jazz en 2023 et à Paléo l'an dernier.
Le festival se clôturera le samedi 28 juin avec "une soirée surprise", dont l'affiche sera bientôt dévoilée, a poursuivi Michel Marguerat.
Parallèlement, une scène gratuite permettra de découvrir des artistes suisses et talents en devenir. Une quinzaine de stands et "food trucks" complèteront l'offre. Le budget du festival se monte à "plus d'un million de francs", tandis que le prix des billets va de 75 à 85 francs.
A la tête d'un comité d'organisation quasiment inchangé par rapport au festival québécois, Michel Marguerat estime que cette nouvelle mouture trouvera sa place parmi l'offre abondante des festivals de l'été. Mais à l’heure où la plupart des festivals se veulent plus populaires, le festival, en élargissant sa programmation, ne plonge-t-il pas dans une plus grande concurrence?
Alessia Merulla avec ATS.
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