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Vaud

Yverdon-les-Bains veut un diagnostic sécuritaire de ses quartiers

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La ville d'Yverdon veut connaître le sentiment de sécurité de ses habitants. (Image d'archives ©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La ville d'Yverdon-les-Bains veut établir un diagnostic sécuritaire de ses quartiers résidentiels. La démarche, en trois volets, prévoit une participation active de la population. Elle débute lundi dans le quartier des Cygnes. Un groupe de volontaires sera équipé d'un service d'assistance à la personne.

Première étape: un sondage. Tous les habitants majeurs du quartier concerné recevront un courrier les invitant à participer à une enquête en ligne portant sur leur sentiment de sécurité.

Dans un deuxième temps, des marches exploratoires seront menées dans le quartier pour identifier les points faibles de l'aménagement urbain. Ces marches réuniront des volontaires et des représentants des services de la ville, explique mercredi la municipalité.

Un bouton à presser

Troisième étape, la plus innovante: une étude-pilote expérimentera le service à la personne "Adrien", sous la forme d'un partenariat public-privé. Il sera proposé à des volontaires majeurs d'être équipés d'une balise qui permet, à l'aide d'un bouton, d'être automatiquement mis en relation avec une permanence de spécialistes en cas de situation de détresse ou d'insécurité.

L'expérience sera suivie pendant six mois par le ColLaboratoire de l'Université de Lausanne. En raison du caractère exploratoire de ce volet, seul le quartier des Cygnes sera concerné, précise le communiqué de la ville.

Les réponses collectées lors de ces diverses démarches permettront à la ville de prendre des mesures correctrices ou préventives. La population sera informée régulièrement de l'avancement du projet. L'expérience est en principe échelonnée jusqu'à fin 2022.

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Lausanne

Le Prix du Meilleur espoir romand pour Dumont et Imsand

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Margaux Dumont a reçu le Prix du Meilleur espoir romand (© KEYSTONE/MAYK WENDT)

Les Valaisans étaient à l'honneur vendredi au Musée olympique de Lausanne.

La spécialiste de skicross Margaux Dumont et le perchiste Valentin Imsand sont en effet les gagnants du Prix du Meilleur espoir romand, annonce l'Aide Sportive suisse dans un communiqué.

Margaux Dumont (22 ans) est notamment récompensée pour sa 3e place aux Mondiaux juniors de ski freestyle et pour son sacre en Coupe d'Europe. Valentin Imsand (19 ans) s'est quant à lui illustré en se parant d'argent lors des Européens M20 de 2023 en athlétisme.

Margaux Dumont et Valentin Imsand ont été élus par un jury de médias et un jury de professionnels, ainsi que par un vote en ligne du public. Ils ont chacun reçu une prime de 6000 francs, précise le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Visions du Réel: le Grand Prix décerné à la Suissesse Nicole Vögele

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Le Grand Prix 2024 de Visions du Réel revient à la cinéaste et journaliste suisse alémanique Nicole Vögele, déjà récompensée en 2018 (photo) par le prix spécial du jury au Festival de Locarno (archives). (© Keystone/ALEXANDRA WEY)

Pour la troisième année consécutive, la plus haute distinction de Visions du Réel récompense un film helvétique. Vendredi soir à Nyon, Nicole Vögele a reçu le Grand Prix 2024 de la compétition internationale longs métrages du festival du cinéma documentaire.

La cinéaste et journaliste suisse alémanique de 41 ans est récompensée pour son film "The Landscape and the Fury", qui arpente la frontière bosno-croate avec des démineurs et des familles migrantes. "C'est une joie de voir récompenser le travail d'une cinéaste audacieuse et suisse de surcroît, pour un très grand film. Son film d'école avait déjà été présenté au festival en 2013", a déclaré Emilie Bujès, directrice artistique de Visions du Réel.

Le jury, composé de la productrice Dora Bouchoucha, du directeur artistique Carlo Chatrian et de la cinéaste Carmen Jaquier, explique avoir été "impressionné par la démarche d'un film qui restitue, touche par touche, la complexité du réel et permet au spectateur de questionner sa place dans le monde".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Deux skieurs pris dans une avalanche aux Diablerets

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L'avalanche s'est déclenchée jeudi après-midi dans la région des Diablerets (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Deux randonneurs à skis ont été pris jeudi dans une avalanche au col du Pillon aux Diablerets (VD). Le premier est sain et sauf, tandis que le second a été blessé au bassin et héliporté au CHUV par la REGA. Ses jours ne sont pas en danger.

Ces deux randonneurs, des Néerlandais de 30 et 29 ans, ont été piégés par une avalanche qui s'est déclenchée jeudi vers 15h45, indique vendredi la police vaudoise dans un communiqué. L'un des skieurs a réussi à se sortir indemne de la coulée. L'autre a été projeté contre les arbres en bordure de piste et touché au bassin.

Cet événement a nécessité l'engagement de deux personnes de la colonne de secours des Diablerets, de deux conducteurs de chiens du Secours alpin romand, de deux gendarmes de la patrouille des Mosses et de deux hélicoptères de la REGA.

A la suite des récentes chutes de neige, le degré d'avalanche dans les Alpes vaudoises se situe au niveau 3 (marqué), rappelle la police. Elle souligne que pour limiter les risques, il faut utiliser les itinéraires sécurisés et balisés, se renseigner sur la situation météo et le risque d'avalanche.

Par ailleurs, chaque skieur hors-piste doit emporter avec lui son équipement d'urgence (détecteur de victimes d'avalanche, pelle, sonde et téléphone portable chargé) et s'exercer régulièrement à l'utiliser correctement. La police conseille également de suivre un cours sur les avalanches et/ou se laisse guider par une personne ayant des connaissances sur les avalanches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Albert Rösti visite la centrale hydroélectrique de Veytaux (VD)

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Albert Rösti (à droite) et Vassilis Venizelos ont visité vendredi matin la centrale hydroélectrique de Veytaux. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le conseiller fédéral Albert Rösti a visité vendredi matin la centrale de pompage-turbinage de Veytaux (VD), au bord du lac Léman. L'occasion pour le ministre de l'énergie de souligner l'importance de l'hydraulique dans la production d'électricité en Suisse.

Alors que la population se prononcera le 9 juin sur la loi sur l'énergie, Albert Rösti a parlé d'une "visite symbolique" pour "montrer l'importance" des centrales hydroélectriques dans le pays. "Parmi les énergies renouvelables, on parle beaucoup du soleil et du vent, mais l'eau reste le plus important, plus de 50% de l'électricité produite en Suisse provenant de l'hydraulique", a-t-il souligné au terme de sa visite.

Le Bernois a rappelé que, dans le domaine des installations hydroélectriques, la loi soumise à votation prévoit la construction de 16 nouvelles centrales, qui bénéficieront de procédures accélérées. "Comme ministre de l'énergie, je suis responsable d'un approvisionnement sûr en électricité. Et aujourd'hui, il faut produire plus. Cela sera possible avec un 'oui' le 9 juin, tandis qu'un refus nous exposerait toujours à des risques de pénurie", a-t-il affirmé.

Vendredi matin à Veytaux, à proximité du château de Chillon, le chef du Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) a passé une petite demi-heure dans la centrale de pompage-turbinage, dont il s'est dit "très impressionné" par la grandeur des installations. Il était notamment accompagné du conseiller d'Etat vaudois Vassilis Venizelos et de la patronne du groupe Alpiq Antje Kanngiesser.

Pompage-turbinage avec l'Hongrin

Sur le site de Veytaux, il existe en fait deux centrales de pompage-turbinage souterraines: la première a été mise en service en 1971, la seconde en 2017. Elles sont exploitées par les Forces Motrices Hongrin-Léman (FMHL), une société détenue par Romande Energie, Alpiq, le Groupe E et la Ville de Lausanne.

Près de 900 m plus haut, au coeur des Préalpes vaudoises, les FMHL possèdent aussi le barrage de l'Hongrin. Ainsi, lorsque la demande en électricité est forte, les FMHL font turbiner les eaux du lac de l'Hongrin. A l'inverse, lorsque l'offre en électricité excède la demande, les eaux du Léman sont pompées dans le lac de l'Hongrin, explique la société sur son site internet.

Elle y précise que les usines de Veytaux I et II peuvent turbiner jusqu'à 56 m3/s. En sens inverse, les pompes peuvent refouler jusqu'à 42 m3/s d'eau du Léman vers l'Hongrin. Les deux centrales représentent une puissance de 480 mégawatts (MW).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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