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Suisse

Tour de Suisse: une édition montagneuse

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Olivier Senn: le Tour de Suisse 2024 sera pour un grimpeur (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Les organisateurs du 87e Tour de Suisse (9-16 juin) ont présenté le parcours que les coureurs devront effectuer. Avec quatre arrivées au sommet et un chrono en côte, les grimpeurs seront gâtés.

La distance totale sera de 950 kilomètres, avec pas moins de 19'000 m de dénivelé, surtout concentré dans la deuxième moitié de la course. "Seuls les meilleurs grimpeurs pourront viser la victoire finale", a résumé le directeur de la boucle nationale, Olivier Senn.

A partir de la 4e étape, il y aura en effet quatre arrivées consécutives au sommet: au col du Gothard, à Cari, à Blatten-Belalp et à Villars-sur-Ollon. Le Tour aura sa conclusion lors d'un contre-la-montre en côte sur 15 km entre Aigle et Villars-sur-Ollon, avec presque 900 m de dénivelé.

La 6e étape, entre Locarno et Blatten-Belalp, s'annonce très corsée avec l'ascension du col du Nufenen et la montée finale, pour une dénivellation de 3500 m.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

La fusion entre Montreux et Veytaux sera soumise au peuple

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La commune de Veytaux, où se situe le château de Chillon, est collée à l'est de Montreux dans le district de la Riviera-Pays-d'Enhaut (archives). (© Keystone/MARCEL GILLIERON)

La population des communes vaudoises de Montreux et de Veytaux se prononceront le 22 septembre prochain sur la fusion de leurs deux localités. Les conseils communaux respectifs ont accepté séparément mais simultanément mardi soir la convention de fusion lors d'une séance extraordinaire.

La convention de fusion devait absolument être adoptée par les conseils communaux des deux communes simultanément et sans amendement. Un refus par l'un des organes délibérants aurait mis formellement fin au processus de fusion avec effet immédiat. Cela n'a pas été le cas. La convention a été largement acceptée, ont indiqué mercredi les deux Municipalités dans un communiqué.

Le corps électoral des deux communes sera ainsi appelé à se prononcer dans le cadre d'un référendum obligatoire, dont la date est fixée au 22 septembre 2024, ont-elles annoncé dans la foulée. Si les populations respectives acceptent la convention de fusion dans les urnes, la mise en ½uvre de celle-ci aura lieu d'ici au changement de législature, en juillet 2026.

L'étude d'une convention de fusion avait été plébiscitée en 2018 par les citoyens veytausiens, à la suite d'une initiative populaire. Soutenues par leurs législatifs et accompagnées de leurs administrations et de mandataires externes, les deux Municipalités ont ensuite travaillé ensemble à l'élaboration d'une convention de fusion "aussi équilibrée et respectueuse que possible des deux communes, de leur population et de leurs autorités".

La convention, "cohérente et pragmatique, contient des éléments symboliques forts, notamment de nouvelles armoiries, sans pour autant remettre en question ce qui fonctionne bien, tels que les nombreux partenariats déjà existants, à la fois entre les deux communes et, au-delà, entre les communes du district et/ou de la région", soulignent encore les deux Municipalités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Massongex, Vérossaz et Saint-Maurice réfléchissent à une fusion

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Voisines et partenaires de longue date, les communes de Vérossaz, Massongex et Saint-Maurice ont décidé d’explorer l’opportunité d’une fusion, afin de répondre au mieux aux défis futurs. (© Openstreetmap/capture d'écran)

Une fusion de communes est en cours de réflexion dans le Bas-Valais. Vérossaz, Massongex et Saint-Maurice ont présenté mardi soir à la population une étude sur les avantages et les inconvénients d'une telle union. Un vote consultatif, qui décidera ou non de la suite des discussions, est prévu le 9 juin.

"Nous sommes trois petites communes avec les mêmes défis à surmonter et difficultés à régler", explique à Keystone-ATS Sylviane Coquoz, présidente de Massongex. La possibilité d'une fusion s'est esquissée dans un premier temps en 2019 entre Massongex et Vérossaz. Saint-Maurice a rejoint le projet en 2022.

L'étude de faisabilité a été réalisée par un bureau spécialisé en 2023. Un comité de pilotage composé des trois présidents et secrétaires a participé aux travaux. Tous les conseillers communaux ont aussi accompagné la démarche. Pour le comité de pilotage, ce mariage à trois "serait bénéfique pour chacune des collectivités impliquées", notent les communes dans un communiqué.

La population tranchera

Si les habitantes et habitants donnent leur feu vert à la poursuite du projet, et seulement dans ce cas, insiste Sylviane Coquoz, "nous lancerons la suite", à savoir des travaux et discussions citoyennes avant un vote définitif sur un mariage à trois à l'horizon 2029-2030. "Le vote consultatif est prévu en même temps que la votation fédérale du 9 juin prochain afin de convaincre le plus de monde de se rendre aux urnes".

Les trois exécutifs espèrent ainsi "prendre la population avec eux, la convaincre et éviter des situations dramatiques". Les derniers essais de fusion dans la région ont de quoi échauder: Collonges (VS) avait refusé de se marier avec St-Maurice en 2019 et Collombey-Muraz avait dit "non" à Monthey en 2022.

Si le projet aboutit, la nouvelle entité, dont le nom reste pour l'heure ouvert, comptera près de 7400 habitants et figurera à la 14e place (sur 122) en terme de population à l'échelle du canton. Surtout, elle pointerait à la troisième place dans le Chablais juste après Monthey et Collombey-Muraz. "Cela nous permettrait de peser davantage et d'améliorer ainsi l'équilibre régional", souligne Sylviane Coquoz.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La Confédération fautive dans la cyberattaque sur Xplain

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Xplain, fedpol et l'Office fédéral de la douane ont violé la loi sur la protection des données (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les enquêtes sur la cyberattaque contre l'entreprise Xplain l'an dernier ont relevé des erreurs commises par les offices fédéraux de la police et des douanes. L'entreprise est également fautive. Le Conseil fédéral annonce mercredi des mesures.

A la suite d'une attaque au rançongiciel contre l'entreprise bernoise Xplain en mai 2023, une grande quantité de données personnelles de l’administration fédérale, parmi lesquelles des données sensibles, ont été publiées sur le "darknet". Ces données avaient été stockées sur un serveur de Xplain.

Dans les trois enquêtes lancées à la suite de l'attaque survenue, le Préposé fédéral à la protection des données (PFPDT) a constaté des violations de la loi.

Les mesures nécessaires en matière de protection des données n'ont ainsi pas été prises lors de la transmission des données personnelles de la Confédération par les offices fédéraux de la police (fedpol) ainsi que de la douane (OFDF) à Xplain. Ces données ont ensuite été conservées par Xplain en violation de la protection des données, et en partie en violation des obligations contractuelles, précise le PFPDT dans un communiqué.

Depuis que cette fuite de données a été rendue publique, le Conseil fédéral a pris ou fait prendre de nombreuses mesures afin de faire la lumière sur cet incident et d’en tirer des enseignements, écrit le gouvernement dans un communiqué distinct.

Il a notamment ordonné une enquête administrative externe. Un rapport a été établi et adopté mercredi. Outre les mesures urgentes prises suite à l'attaque, le Conseil fédéral préconise toute une série d'autres mesures.

Système de sécurité

Les unités administratives de la Confédération seront notamment tenues de mettre en place et d'exploiter un système de management de la sécurité de l'information (SMSI) d'ici à la fin de 2026 au plus tard. Le SMSI permet à la direction de gérer l'ensemble des processus de sécurité, tels que l'inventaire des informations et des moyens informatiques, l’évaluation des risques, la sécurité lors de la collaboration avec des tiers, la formation, la gestion des incidents ou la planification des audits.

Les services fédéraux concernés "n'ont pas suffisamment rempli leurs devoirs de choisir avec soin leur fournisseur, ainsi que de l'instruire adéquatement et de le surveiller. Ils n'ont pas rempli leurs devoirs sous l'angle de la protection des données et ne l'ont rempli que partiellement sous l'angle de la sécurité de l'information", conclut le Conseil fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Des dizaines de milliers de personnes manifestent à Zurich

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Des milliers de personnes ont défilé dans les rues de Zurich sous le mot d'ordre "Le capitalisme rend malade". (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Des dizaines de milliers de personnes ont participé au cortège du 1er mai mercredi à Zurich, sous le mot d'ordre "Le capitalisme rend malade". En marge du cortège, plusieurs vitrines, dont des filiales d'UBS et de Franz Carl Weber, ont été sprayées de rouge.

Le cortège se dirigeait vers la place du Sechseläuten, où il devait se terminer avec notamment un discours de Daniel Lampart, chef économiste de l'Union syndicale suisse (USS). La police était présente en force.

Le cortège officiel organisé par la faîtière syndicale visait en particulier à mobiliser en faveur d'un "oui" à l'initiative d'allègement des primes maladie, soumise en votation le 9 juin. De nombreux groupes se sont toutefois joints à la manifestation, notamment cette année un grand "bloc Palestine".

Dans l'après-midi, de nombreuses organisations radicales de gauche ont appelé à une manifestation non autorisée, un rassemblement qui se termine généralement par des incidents et des dégâts matériels.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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