Suisse
Trop peu d'organes en Suisse pour couvrir les besoins
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Il y a trop peu d'organes en Suisse pour couvrir les besoins en transplantation, alerte le directeur de Swisstransplant Franz Immer, cité dans le SonntagsBlick. L'an dernier, 83 personnes sont décédées alors qu'elles étaient sur listes d'attente pour un don d'organes.
Le tableau est également sombre cette année. Entre janvier et mars, 29 patients en attente d'un nouvel organe sont déjà décédés, confirme à Keystone-ATS la porte-parole de Swisstransplant Stephanie Balliana. Extrapolé sur douze mois, cela ferait 116 morts, calcule le journal dominical. "La situation est critique", prévient M. Immer.
Au total, 1447 patients attendaient au moins un organe à la fin du premier trimestre de cette année, soit cinq de plus comparé à la fin de l’année 2022. Au 31 mars, 53 personnes comptaient par exemple sur un nouveau coeur en Suisse.
Sur cette même période, les personnes en attente de transplantation devaient compter sur un délai moyen de 325 jours. Dans l'intervalle, leur état se dégrade alors généralement rapidement, est-il relevé dans le SonntagsBlick. Au total, 570 transplantations ont été réalisées l'an dernier.
Le plus gros problème concerne toutefois les personnes en attente d'un foie. L'an dernier, 472 patients se trouvaient sur la liste d'attente correspondante, soit 35 de plus qu'en 2021. Les chirurgiens ont pu dans le même temps procéder à 142 transplantations.
Un espoir
Il y a certes beaucoup plus de personnes en attente d'un rein, mais avec la dialyse, il existe un moyen permettant de prolonger le temps d’attente possible, explique la porte-parole. Comme il n'existe pas de technologie de transition pour un foie endommagé, la mortalité est élevée, note le SonntagsBlick, qui évoque 42 personnes en attente d'un foie décédées l'an dernier.
Pour les candidats à une transplantation cardiaque, une nouvelle technologie apporte toutefois une lueur d'espoir, rapporte le journal dominical. Un nouvel appareil de perfusion, disponible depuis fin 2022 à Berne, Zurich et Lausanne, devrait augmenter les chances de trouver un organe approprié. Il pourrait permettre une quinzaine de transplantations cardiaques supplémentaires par année.
Le principe du consentement présumé, accepté par le peuple en mai 2022 dans le cadre de la nouvelle loi sur la transplantation, devrait aussi contribuer à améliorer la situation. Mais il entrera en vigueur au plus tôt en 2025, notamment pour des raisons de protection des données et de mise en place du registre. Pour Swisstransplant, plus cette solution sera mise en oeuvre rapidement et plus des vies pourront être sauvées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Budget: le Conseil des Etats s'oppose aux coupes dans les ONG
Les ONG de la Genève internationale doivent pouvoir bénéficier de suffisamment de fonds. Le Conseil des Etats a refusé mercredi de tailler drastiquement dans le financement prévu pour ces organisations dans le budget 2026.
Il s'est ainsi opposé à la coupe de près de 30 millions prévu par le National. Le budget passerait dans ce cas de 305,6 millions à 277,4 millions.
Le Conseil des Etats a opté pour un compromis proposé par Pascal Broulis (PLR/VD): 300 millions doivent être prévus pour les organisations multilatérales. "Il en va de la crédibilité de la Suisse", a-t-il déclaré. La coupe de 10% voulue par le National entraînerait des restructurations, selon lui.
Le CICR, le Programme alimentaire mondial et l'Unicef comptent parmi les 24 organisations qui bénéficient de ces fonds. Baptiste Hurni (PS/NE) voulait maintenir le montant prévu par le Conseil fédéral. Il n'a pas été suivi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Moins facilement contourner les obligations militaires en Suisse
Les doubles nationaux doivent moins facilement pouvoir contourner les obligations militaires suisses. Le National a adopté mercredi, dans une version amendée, une motion du Conseil des Etats en ce sens. Ce dernier devra se prononcer à nouveau.
Dans son texte, le conseiller aux Etats Mauro Poggia (MCG/GE) ciblait les Franco-suisses, en demandant qu'il ne leur soit plus possible de se soustraire à leurs obligations militaires en Suisse en participant à la "Journée défense et citoyenneté" en France. La Chambre du peuple est allée plus loin: tous les doubles nationaux suisses ne doivent plus pouvoir remplacer le service militaire en Suisse par un "pseudo-service" dans le deuxième pays d'origine.
Ainsi, pour être reconnu, le service militaire accompli par les doubles nationaux suisses à l'étranger doit être comparable à celui effectué en Suisse. Dans le cas contraire, les personnes concernées doivent payer l'intégralité de la taxe d'exemption de l'obligation de servir en Suisse.
Cette demande correspond à celle d'une motion de Stefanie Heimgartner (UDC/AG), encore pendante au National.
Nombre négligeable
Le Conseil fédéral était opposé au texte. Seul le nombre de conscrits "perdus" en France a une influence sur les effectifs de l'armée helvétique, a indiqué le ministre de la défense Martin Pfister. En moyenne, au cours des dix dernières années, 731 personnes concernées n'ont pas été incorporées par an en Suisse.
C'est pourquoi le gouvernement s'est dit disposé à entamer des négociations avec la France. Mais il refusait de revoir les dispositions pour les sept pays avec lesquels la Suisse a des accords en la matière. Cela créerait de l'insécurité juridique à long terme, a estimé M. Pfister.
Et de relever que le nombre de personnes concernées dans les autres pays que la France est tellement négligeable qu'entamer des négociations nuirait à la réputation de la Suisse. Sans succès. Au vote, la motion a été adoptée par 147 voix contre 25. Les oppositions sont venues des Vert-e-s. Une douzaine de socialistes se sont abstenus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Voitures neuves: les hybrides rechargeables continuent de séduire
En novembre, le nombre de voitures de tourisme mises en circulation est resté pratiquement stable sur un an, selon la statistique officielle de la Confédération. Les hybrides rechargeables et les véhicules électriques ont toujours la cote auprès des Suisses.
Au total, 25'216 véhicules à moteur ont été mis en circulation en Suisse en novembre 2025, ce qui représente une petite progression de 1% sur un an, rapporte mercredi l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans son relevé mensuel.
Par catégorie, 19'587 voitures de tourisme ont rejoint les routes helvétiques le mois dernier, soit un léger recul de 1% par rapport à novembre 2024. Dans le détail, le nombre de nouveaux véhicules à essence sur le marché a diminué de 10%, les moteurs diesel de 18% et les hybrides normales de 8%. En revanche, les hybrides rechargeables ont bondi de 35% et les voitures électriques ont progressé de 15%.
Entre janvier et novembre 2025, les nouvelles immatriculations pour les voitures de tourisme affichent également une diminution, de 2%. Les véhicules à essence ont reculé de 19% et les moteurs diesel de 27%. A l'opposé, les hybrides normales ont connu une hausse de 4%, les hybrides rechargeables de 26% et les voitures électriques de 15%.
A noter également que les motocycles perdent de la vitesse: les nouvelles mises en circulation s'inscrivent en baisse de 5% en novembre. Au total, 1649 deux-roues ont trouvé preneurs ce mois-là.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Plus de 135'000 signatures pour l'initiative anti-armes nucléaires
L'initiative pour que la Suisse rejoigne le Traité d'interdiction des armes nucléaires (TIAN) a abouti. Plus de 135'000 signatures seront remises le 23 décembre à la Chancellerie fédérale, a annoncé mercredi la Campagne pour l'abolition des armes nucléaires (ICAN).
L'initiative populaire, lancée en juillet 2024, a reçu "un large soutien dans toutes les régions du pays", a ajouté l'ONG à Genève, s'exprimant au nom de l'Alliance pour l'interdiction des armes nucléaires. La Suisse n'a aucune influence sur les politiques nucléaires des puissances dotées, mais elle serait "fortement" affectée par leurs conséquences, estime un membre du comité, Annette Willi.
Malgré une pression de la société civile et une demande du Parlement fédéral pour que la Suisse rejoigne le TIAN, le Conseil fédéral temporise depuis des années. Il met en avant des raisons de politique de sécurité, alors que les pays dotés de cet armement sont hostiles à l'accord.
"Il n'est pas acceptable que d'autres Etats dictent notre politique en matière d'armes nucléaires", insiste Mme Willi. Près d'une centaine de pays ont signé cet arrangement et 74 en sont Etats parties.
Celui-ci était entré en vigueur en 2021. Il interdit l'utilisation, le développement, la production, les essais, le stationnement, le stockage et la menace d'utilisation d'armes nucléaires. Mais aussi d'assister quiconque pour ces activités.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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