Économie
Sergio Ermotti reprend du service à la tête d'UBS
Sergio Ermotti reprend du service à la tête d'UBS. Patron du numéro un bancaire helvétique jusqu'en 2020, le Tessinois assumera à nouveau la fonction à compter de la prochaine assemblée générale agendée au 5 avril prochain, succédant au néerlandais Ralph Hamers.
L'actuel directeur général d'UBS, Ralph Hamers, "a accepté de se retirer pour servir les intérêts de la nouvelle combinaison", à savoir le groupe résultant de la reprise de Credit Suisse par UBS, du secteur financier suisse et du pays, écrit mercredi UBS. Ralph Hamers restera au sein d'UBS et travaillera aux côtés de Sergio Ermotti en tant que conseiller pendant une période de transition afin d'assurer une clôture réussie de la transaction et et un transfert en douceur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Brésil: croissance de 1,9% au premier trimestre
Le Brésil a enregistré une croissance de 1,9% au premier trimestre, qui correspond aux premiers mois du mandat du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, selon les données publiées jeudi par l'Institut de statistiques IBGE.
Ce résultat supérieur aux prévisions moyennes des analystes consultés par le quotidien Valor (1,3%) est dû notamment au dynamisme du secteur agricole (+21,6%), dopé par des récoltes exceptionnelles.
Il s'agit de "la plus forte hausse pour ce secteur depuis 1996", a expliqué l'IBGE dans un communiqué.
La première économie d'Amérique Latine a ainsi connu un rebond après avoir vu son PIB se contracter au quatrième trimestre 2022 (0,1%, selon les chiffres révisés jeudi).
Mais les prévisions de croissance pour l'année 2023 demeurent pessimistes, à 1,26%, selon les institutions financières consultées par l'enquête Focus de la Banque centrale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Philippe Fleury, nouveau directeur de la FER
La Fédération des entreprises romandes Genève (FER Genève) a un nouveau directeur général. Philippe Fleury a officiellement succédé jeudi à Blaise Matthey, qui a dirigé la fédération depuis 2007 et qui y a travaillé pendant 35 ans.
Nommé en mai 2022 par le Conseil de direction de la FER Genève, Philippe Fleury a rejoint l'organisation en janvier 2023 pour permettre une période de transition avec son prédécesseur. Il assume officiellement la fonction de directeur général depuis le 1er juin, indique un communiqué.
Ce détenteur d'un double master en lettres et en droit est devenu avocat au barreau de Genève en 2002. Il a entamé sa carrière comme avocat stagiaire avant de poursuivre ses activités professionnelles au Département fédéral des finances, puis depuis 2007 chez KPMG. Il y a exercé la fonction du chef du bureau de Genève depuis 2020.
Philippe Fleury a occupé différentes fonctions au sein du Parti démocrate-chrétien genevois. Il a par ailleurs le grade de colonel au sein de l'armée suisse et est en charge de la protection militaire de l'aéroport de Genève.
A la tête de la FER Genève, Philippe Fleury veut être au service de sa communauté. Il souhaite une organisation de terrain, proche des entrepreneurs. Dès septembre 2023, il devrait également assurer la fonction de secrétaire général de la faîtière romande FER.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les Suisses négligent l'argent liquide, une tendance qui ralentit
L'argent liquide perd de plus en plus de terrain comme moyen de paiement en Suisse, à en croire les statistiques de la Banque nationale suisse (BNS). Pour les dépenses courantes, les billets et les pièces ne représentent qu'un gros tiers (36%) des transactions.
Le rythme de la baisse a néanmoins ralenti ces deux dernières années, précise jeudi l'institut d'émission. En 2017, la part du numéraire atteignait 70%, avant de chuter à 43% en 2020. L'utilisation des cartes de débit et de crédit est restée stable, représentant toujours respectivement un tiers (33%) et 13% du nombre des paiements courants.
Ainsi, une transaction sur deux est effectuée sur un terminal de paiement, la plupart du temps (75%) par le biais de la fonction sans contact.
Les applications de paiement séduisent de plus en plus. Le recours à ces plateformes a plus que doublé en deux ans, leur part passant à 11% du nombre de transactions recensées par la BNS, contre 5% auparavant.
Pour les dépenses courantes, l'argent liquide demeure cependant une valeur sûre. Une majorité reste attachée aux billets de banque et aux pièces de monnaie, selon les résultats d'une enquête menée par la BNS auprès d'un échantillon de 2000 personnes domiciliées en Suisse.
Attachement à l'argent liquide
Le numéraire doit rester disponible comme moyen de paiement, malgré l'engouement pour les cartes et les applications, estiment les sondés. Ceux-ci avouent toutefois qu'ils utiliseraient moins le numéraire si l'infrastructure venait à être réduite.
L'argent liquide reste largement accepté dans les points de vente, souligne la BNS dans son communiqué. De ce point de vue, le niveau de satisfaction demeure élevé (92% d'avis positifs) pour les sondés. Il est très rare qu'un règlement ne puisse pas être effectué en Suisse, des incidents techniques (dans 52% des cas concernés) ou le refus d'un "instrument" de paiement (47%) pouvant entraver les opérations de paiement.
Si l'on envisage les dépenses courantes au travers des volumes en francs, la carte de débit reste le moyen privilégié en Suisse (33%), devant l'argent liquide (24%). Les applications de paiement ont également gagné du terrain, doublant leur part en deux ans pour générer 8% des volumes.
Pour les paiements récurrents, les virements par banque en ligne sont clairement entrés dans les moeurs, ceux-ci représentant 52% des transactions effectuées. Le service eBill, qui permet de faciliter ces opérations, reste moins utilisé que l'ordre permanent.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Nouvelle hausse du taux de référence en vue pour l'hiver ou 2024
Une nouvelle augmentation de 0,25 point de pourcentage du taux d'intérêt de référence pour les contrats de bail "est à attendre pour l'hiver prochain ou 2024", a annoncé jeudi le directeur de l'Office fédéral du logement (OFL) Martin Tschirren.
"Il est relativement vraisemblable qu'un nouveau pas (dans la hausse) sera franchi l'hiver prochain, mais il est difficile de dire quand précisément", a déclaré M. Tschirren devant les médias à Berne.
Les banques estiment que le taux de référence pourrait monter à 2% à l'horizon 2025, "mais nous nous gardons d'une telle anticipation", a ajouté M. Tschirren.
Plusieurs facteurs entrent en jeu, comme les taux directeurs de la BNS ou le comportement du marché hypothécaire, si bien que les prévisions s'avèrent complexes.
Le fait que la hausse du taux annoncée jeudi (de 1,25 à 1,5%) soit la première depuis 2008 rend en outre difficile la mesure de l'impact que cela aura sur les loyers, a précisé l'OFL.
Un bail sur deux concerné
Une hausse d'un quart de point du taux de référence donne le droit au bailleur d'exiger une hausse de loyer de 3%, à la condition toutefois que le loyer actuel soit fondé sur l'ancien taux de référence de 1,25%. "Cette condition devrait concerner environ la moitié des baux", a précisé l'OFL. Pour l'autre moitié, il ne devrait donc pas y avoir de hausse.
Si le loyer est basé sur un taux plus ancien et supérieur au taux actuel, il existe, au contraire, un droit à la baisse. Pour rappel, plus de 60% des résidents en Suisse sont locataires, un taux très élevé en comparaison internationale.
Une fois une éventuelle hausse de loyer notifiée, les locataires ont 30 jours pour s'y opposer. L'Office fédéral du logement les invite à s'informer de leurs droits sur le site de l'OFL et à s'adresser au besoin à l'autorité de conciliation en matière de baux et loyers, s'ils s'estiment floués.
L'OFL insiste sur le fait qu'il n'y "aura pas de hausse générale des loyers. Si vous avez conclu un bail il y a cinq ans à un taux de référence de 2,25%, vous pouvez dormir tranquilles", a-t-il illustré.
L'incertitude subsiste. "On ne sait pas comment les bailleurs vont réagir. Mais il faut prévoir que ceux qui ont accordé des baisses par le passé vont procéder à des augmentations", a encore noté l'OFL.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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