Culture
Un festival pour écouter les "voix indigènes" du Grand Nord à Berne
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Donner la parole à la diversité des "voix indigènes" du cercle polaire: c'est la volonté du festival "Arctic Voices" à Berne. Films, podiums et ateliers artistiques abordent les questions d'identité et de réchauffement climatique jusqu'au 22 octobre.
"Notre représentation des personnes indigènes est fortement influencée par la culture occidentale, par l'industrie du cinéma. Nous voulions offrir une plateforme à des voix qui n'ont pas été entendues pendant longtemps", explique Nimal Bourloud à Keystone-ATS.
Membre de l'équipe de coordination du festival, l'anthropologue de formation met en avant le besoin "d'écouter" ce que ces voix ont à dire sur elles-mêmes et sur leur histoire. Le programme de cette première édition, qui a débuté fin septembre, est riche en projections de films, podiums de discussions, visites guidées au Museum for contemporary circumpolar art de Berne (MCCA), concerts et ateliers.
Le festival se concentre sur des créations indigènes contemporaines dans tous ces domaines. Les artistes invités viennent de Laponie (Sampi) et d'Europe du Nord arctique, de Kalaallit Nunaat (Groenland), du Canada, d'Alaska et de Russie.
Entre autres, le film "Let the river flow", qui se penche sur l'identité samie et le racisme de la société norvégienne, sera projeté mercredi soir. L'artiste visuelle canadienne et mongolienne Alisi Telengut proposera elle des ateliers artistiques participatifs et gratuits.
Ecologie et injustices
Des thèmes comme l'écologie, le changement climatique ou les injustices subies pendant des siècles par les peuples indigènes sont au centre des manifestations.
Les générations actuelles doivent connaître ce passé, qui est longtemps resté caché, pour mieux faire face aux défis du présent et travailler pour le futur, résume Martha Cerny, directrice du MCCA, qui participe au projet en collaboration avec plusieurs autres organisations.
Liens avec la Suisse
Les liens avec la Suisse sont multiples, précise encore Jana Lamatsch, coordinatrice du festival. Il suffit de penser aux sombres chapitres des mesures d'internement administratif qui ont eu cours ou aux placements forcés d'enfants en Suisse, et qui font écho aux placements et enlèvements d'enfants autochtones au Canada, par exemple.
La Suisse, comme le Grand Nord, doit faire face au réchauffement climatique, à la fonte des glaciers. C'est aussi un pays où la recherche climatique est à la pointe. Il faut que les gens en prennent conscience, conclut Natascha Cerny Ehtesham, codirectrice du musée.
www.arcticvoices.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Lake Parade de Genève: plus de 10'000 personnes bravent la pluie
La Lake Parade a attiré samedi après-midi à Genève plus de 10'000 personnes sous une pluie diluvienne. Cette manifestation techno et festive s'est déroulée dans un format réduit et sur un parcours inversé inédit en raison de l'Euro féminin.
"Avec le déluge qu'on a pris, les gens sont restés: c'est assez cool, avec une ambiance festival comme à Paléo", a indiqué à Keystone-ATS Christian Kupferschmid, fondateur et organisateur de la Lake Parade. "Vu la météo, on n'aurait pas pu demander mieux", a-t-il ajouté.
Le cortège de l'édition 2024, qui avait bénéficié d'un temps estival radieux, avait attiré 70'000 personnes. Satisfait malgré tout de l'affluence de cette année, l'organisateur ne déplore aucun souci technique, ni problème sanitaire majeur. Du côté de la police, qui avance l'estimation de 10'000 personnes, aucun incident n'est à signaler non plus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
"Alien" se pose au Comic-Con pour dévoiler sa nouvelle série
Le créateur de la série "Alien: Earth", Noah Hawley, a choisi la grand-messe de la pop culture Comic-Con à San Diego, pour y dévoiler vendredi le premier épisode. Des milliers de fans ont pu découvrir la nouvelle série de la célèbre franchise de science-fiction.
"C'est de loin la plus grande chose que j'ai jamais réalisée", a estimé le réalisateur. "Alien: Earth" se déroule quelques années avant les événements du film culte de Ridley Scott sorti en 1979, avec Sigourney Weaver dans le rôle principal.
M. Scott est le producteur exécutif de cette série, qui sortira en août sur les plateformes de streaming. "Si j'ai un talent pour adapter ces films, c'est celui de comprendre ce que le film original m'a fait ressentir et pourquoi, et d'essayer de le recréer en racontant une histoire totalement différente", a estimé Noah Hawley.
La présentation a également fait intervenir les acteurs Sydney Chandler, Alex Lawther, Timothy Olyphant, Babou Ceesay et Samuel Blenkin, qui ont donné leurs impressions sur leur entrée dans l'univers des terrifiants xénomorphes.
Un Predator chassé
"C'est un rêve, c'était surréaliste", a confié Mme Chandler, qui incarne une "hybride" composée d'un corps synthétique et d'une conscience humaine. "Je suis fan de science-fiction et d'Alien depuis toujours", a poursuivi l'actrice. "Je n'arrête pas de me pincer pour m'assurer que je ne rêve pas".
Plus gros festival au monde consacré à la pop culture, Comic-Con réunit chaque année des dizaines de milliers de personnes, souvent déguisées en sorciers, princesses, guerriers et autres personnages de films ou jeux vidéo."
Le film "Predator: Badlands", réalisé par Dan Trachtenberg et dont la sortie est prévue en novembre dans les salles américaines, a également été présenté pendant le Comic-Con.
Dans ce nouveau volet de la franchise, l'intrigue habituelle est renversée: le prédateur se retrouve en territoire hostile et devient une proie, plutôt que d'être le chasseur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Maison-Blanche vexée par un épisode de "South Park" moquant Trump
La Maison-Blanche s'en est prise jeudi aux créateurs de "South Park" après un épisode de la série télévisée moquant ouvertement le président américain Donald Trump. Une version du milliardaire générée par intelligence artificielle le montre rampant nu dans le désert.
Dans le premier épisode de la nouvelle saison, cette réplique du président supplie également Satan de coucher avec lui, mais le diable repousse ses avances, car son pénis est trop petit. Des plaisanteries que la Maison-Blanche n'a pas appréciées.
"Cette série n'est plus pertinente depuis plus de 20 ans et se maintient à grand-peine avec des idées sans inspiration dans une tentative désespérée d'attirer l'attention", a estimé une porte-parole, Taylor Rogers.
"Le président Trump a tenu plus de promesses en seulement six mois que n'importe quel autre président dans l'histoire de notre pays et aucune série de quatrième ordre ne peut compromettre la série de succès du président Trump", a-t-elle assuré.
27e saison
La série télévisée satirique en est à sa 27e saison et se porte à merveille. Ses créateurs Trey Parker et Matt Stone viennent de conclure un accord de 1,5 milliard de dollars avec Paramount, pour que le studio américain puisse diffuser la série sur sa plateforme de streaming pendant cinq ans, selon le Los Angeles Times.
L'acquisition des droits de "South Park" intervient à un moment délicat pour Paramount. Le régulateur américain des télécommunications, la FCC, a approuvé jeudi sa fusion avec la société de production Skydance, moyennant des changements de ligne éditoriale au sein de la chaîne CBS, une condition très atypique.
L'accord intervient au terme d'une séquence qui aura vu Paramount solder, début juillet, un contentieux judiciaire avec Donald Trump concernant une interview de Kamala Harris par CBS, puis annoncer la fin de l'émission "The Late Show with Stephen Colbert", dont l'animateur est très critique du président américain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
La légende américaine du catch Hulk Hogan est décédée à 71 ans
Hulk Hogan, visage emblématique du catch professionnel des années 1980 qui a mis ses talents d'athlète au profit d'une carrière d'acteur, est décédé à l'âge de 71 ans, ont fait savoir des médias américains jeudi. Donald Trump lui a rendu hommage.
Connu pour son physique imposant, son bandana et sa moustache blonde, l'Américain est décédé à son domicile en Floride, dans le sud-est des Etats-Unis, a précisé NBC News en citant son manager Chris Volo.
Le média spécialisé TMZ a annoncé qu'il était mort d'un "arrêt cardiaque", citant des sources anonymes.
Le charisme du catcheur sur le ring a permis de repousser les frontières du catch, des millions de personnes se fascinant pour son personnage. Il est devenu une icône à travers le pays et a popularisé la discipline comme jamais auparavant.
Hulk Hogan, de son vrai nom Terry Bollea, a fait ses débuts professionnels en 1979 avant de devenir une star dans les années 1980 aux côtés notamment du Français André The Giant et Roddy Piper.
Il a joué dans des films pour le petit comme le grand écran, de "Rocky III" à "Cadence de combat" en passant par la très populaire série "Alerte à Malibu".
Son aura lui a ouvert les portes du WWE Hall of Hame, distinction prestigieuse pour les catcheurs, en 2005.
Soutien de Trump
La WWE, la principale ligue de catch aux Etats-Unis, a salué "l'une des figures les plus iconiques de la pop culture" qui a "aidé la WWE à acquérir une renommée mondiale dans les années 1980".
Le vice-président américain JD Vance a rendu hommage à "une grande icône pour l'Amérique". Hulk Hogan était "une des premières personnes que j'ai vraiment admirées en étant enfant".
Le catcheur a été embourbé dans une controverse il y a une dizaine d'années quand une vidéo intime a fuité. Rebelote quelques années plus tard lorsqu'il a tenu des propos racistes, insultant notamment les Afro-Américains.
L'affaire lui a valu d'être viré du WWE en 2015. Il s'est ensuite excusé et a pu réintégrer l'organisation.
Il a fait aussi parler de lui ces dernières années pour avoir été un des fervents soutiens de Donald Trump.
Lors de la convention républicaine il y a un an, il a déchiré son tee-shirt "Trump-Vance" dans un geste devenu viral.
"Avec notre leader, mon héros, ce gladiateur, nous reconstruirons l'Amérique", avait lancé Hulk Hogan depuis la scène.
Le président ne s'y est pas trompé, réagissant jeudi parmi les premiers: Donald Trump a rendu hommage jeudi à son "grand ami" Hulk Hogan. "Hulk Hogan était MAGA jusqu'au bout - fort, solide, intelligent, mais avec un grand coeur", a écrit le milliardaire républicain sur sa plateforme Truth Social, en référence à son mouvement "Make America Great Again" ("Rendre sa grandeur à l'Amérique").
L'Américain a eu de nombreux problèmes de santé ces dernières années, résultat de souffrances répétées sur le ring.
Il a été marié trois fois et a eu deux enfants avec sa première femme, Linda.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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