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Suisse

Une commission contre les e-cigarettes à usage unique en Suisse

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Les puffs sont en passe d'être interdites à la vente en Suisse (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les cigarettes électroniques à usage unique, ou "puffs", devraient être interdites à la vente en Suisse. La commission de la santé publique du Conseil des Etats a adopté une motion en ce sens du National, émanant de Christophe Clivaz (Vert-e-s/VS).

Les puffs sont présents sur le marché suisse depuis 2020. Les adolescents et les pré-adolescents sont particulièrement attirés par ces produits colorés et aux multiples arômes. La tendance à la consommation est à la hausse, selon le Valaisan.

Or ces cigarettes électroniques peuvent contenir, sans contrôle, des quantités élevées de nicotine, surpassant même parfois le seuil légal de 20 mg/ml, quantité correspondant à plusieurs centaines de bouffées de cigarettes conventionnelles, soit plus d'un paquet, souligne l'écologiste. Par ailleurs, elles contiennent de la nicotine sous forme de sel de nicotine, pas plus dangereux que la nicotine, mais plus addictif.

Par 9 voix contre 2 et 2 abstentions, la commission suit l'avis de M. Clivaz. Elle est également préoccupée face à ces produits, dont le prix abordable, les arômes attractifs et le design séduisant ciblent particulièrement les jeunes et les exposent à un risque accru de dépendance, indiquent vendredi les services du Parlement. La commission relève encore l'aspect jetable de ces produits, qui sont souvent mal éliminés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Lufthansa envisage d'importer ses futurs Boeing via la Suisse

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La commande de Lufthansa porte sur une centaine d'appareils Boeing, d'une valeur catalogue de 21 milliards de francs, qui doivent être livrés au cours des sept prochaines années. Ils ne seraient pas achetés à Malte ou en Irlande, mais via la Suisse, rapporte la publication mercredi. (© KEYSTONE/DPA/ANDREAS ARNOLD)

Le groupe allemand Lufthansa envisage d'acheter de nouveaux avions Boeing aux États-Unis via la Suisse. Cette mesure pourrait réduire le déficit commercial américain avec la Suisse et éviter des droits de douane punitifs, selon une information de Tages-Anzeiger.

La commande de Lufthansa porte sur une centaine d'appareils Boeing, d'une valeur catalogue de 21 milliards de francs, qui doivent être livrés au cours des sept prochaines années. Ils ne seraient pas achetés à Malte ou en Irlande, mais via la Suisse, rapporte la publication mercredi.

Cette mesure pourrait contribuer à réduire le déficit commercial entre les États-Unis et la Suisse (48 milliards de francs au premier semestre, livraisons d'or comprises). Lufthansa avait déjà envisagé cette mesure auparavant afin de contourner d'éventuels droits de douane de rétorsion de l'Union Européenne.

De son côté, Swiss n'a pas souhaité commenter, soulignant toutefois que le directeur général de la compagnie, Jens Fehlinger a accompagné une délégation suisse aux États-Unis. "L'objectif de ce voyage était de mener des discussions au niveau politique afin d'améliorer le cadre politique douanier, les négociations précédentes n'ayant pas abouti aux progrès escomptés pour la Suisse."

"Les discussions ont notamment porté sur les conditions-cadres pour l'importation d'avions et les options possibles pour le groupe Lufthansa, pour Swiss, ainsi que pour les États-Unis et les entreprises américaines. Les déclarations sur le contenu de ces réflexions et sur les négociations elles-mêmes sont réservées aux autorités gouvernementales compétentes", déclare un porte-parole.

Interrogée par AWP, Lufthansa ne développe pas non plus l'information, mais dit être "de manière générale, clairement intéressé par la réussite économique à long terme de Swiss. Les achats de flotte sont effectués par le groupe Lufthansa en étroite collaboration avec les compagnies aériennes."

Sollicité par le journal, l'Office fédéral de l'économie et de l'énergie (SECO) s'est refusé à tout commentaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Lausanne

Kevin Grangier reprend la présidence de l’Alliance vaudoise

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Kevin Grangier a repris la présidence de l'Alliance vaudoise (PLR-UDC-Le Centre) en vue des prochaines élections. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Kevin Grangier reprend la présidence de l’Alliance vaudoise (PLR-UDC-Le Centre). Les présidents de parti et les conseillers d’Etat membres des trois formations politiques l'ont élu à l'unanimité lundi lors d'une séance de comité. Objectif: "se mettre en ordre de bataille pour les élections communales de 2026 ainsi que cantonales et fédérales de 2027".

En vue des élections communales, les membres de l’Alliance vaudoise ont tous confirmé leur souhait d’encourager des apparentements de listes et des stratégies communes entre les trois partis. Le nouveau président accompagnera proactivement cette démarche, écrit l'Alliance vaudoise mercredi dans son communiqué.

Kevin Grangier entre directement en fonction. L'ancien président de l'UDC Vaud reprend la fonction des mains de son prédécesseur, le PLR Marc-Olivier Buffat, qui dirigeait l'Alliance depuis 2022.

Pour mémoire, l'Alliance vaudoise était sortie victorieuse des élections cantonales de 2022. La droite avait pu reprendre la majorité au gouvernement vaudois grâce à l'élection des conseillers d'Etat Christelle Luisier, Isabelle Moret, Frédéric Borloz (tous PLR) et Valérie Dittli (Centre).

La coalition avait connu un second succès électoral lors de l’élection de Pascal Broulis au Conseil des Etats en 2023, rappelle le communiqué. Pour celle au National, seuls le PLR et l'UDC s'étaient apparentés, le Centre ayant préféré s'unir avec le Parti évangélique et Les Libres.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Service universel de la Poste garanti mais plus flexible en Suisse

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Le Conseil fédéral veut réviser la loi sur la poste, afin que le géant jaune puisse adapter son offre aux besoins changeants de la population et des entreprises (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Poste devra continuer à l'avenir à garantir un service universel suffisant et à des prix abordables. Cependant, une certaine flexibilité devra permettre de s'adapter aux besoins futurs. Le Conseil fédéral a posé les jalons de la révision de la loi sur la poste.

Au vu de la transition numérique, le géant jaune doit pouvoir adapter son offre, relève mercredi le gouvernement dans un communiqué. A l'entrée en vigueur de la réforme, vers 2030, le service universel comprendra l'offre actuelle ainsi que des mesures qui devraient être prises au niveau de l'ordonnance en 2026.

Le gouvernement veut toutefois ancrer dans la loi un mécanisme d’adaptation en fonction de la demande. Si certains seuils sont atteints, la Poste pourra demander une adaptation du service universel, à condition qu'elle respecte un catalogue minimal, qui sera défini. Elle devra offrir ce catalogue en toutes circonstances et indépendamment de l'évolution future de la demande.

Le Conseil fédéral veut encore garantir la sécurité juridique de l'activité commerciale de la Poste en dehors du service universel. Il convient notamment de préciser le but de l'entreprise.

Le Département fédéral de la communication (DETEC) doit élaborer un projet de consultation d'ici fin juin 2026. Les objectifs stratégiques 2025-2028 en matière d'acquisitions de la Poste doivent également être revus.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Valais: un Roumain condamné pour proxénétisme

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Le Tribunal cantonal valaisan a décidé d'expulser de Suisse, le ressortissant roumain qu'elle a condamné (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Un Roumain de 36 ans a été condamné par le Tribunal cantonal valaisan (TC) à 33 mois de prison ferme. L'homme a été reconnu coupable d'encouragement à la prostitution, de blanchiment d'argent et de tentatives de contrainte. Il est expulsé de Suisse pour 7 ans.

En première instante, le Tribunal de Martigny l'avait condamné à 46 mois ferme et à 10 ans d'expulsion. Le TC a réduit sa peine, considérant "que les premiers juges avaient méconnu le principe d’aggravation de la peine, applicable en cas de concours d’infractions."

Entre mars 2023 et avril 2024, l'accusé avait convaincu de jeunes femmes roumaines, avec qui il entretenait des relations intimes, de quitter leur pays pour venir en Suisse pour s'adonner à la prostitution. Afin de les convaincre, il leur a fait miroter la possibilité de gagner beaucoup d'argent pour leur permettre de soutenir financièrement leurs familles restées au pays. Le Roumain n'hésitait pas à menacer ces femmes afin de faire pression sur elles. Devant le TC, le 15 juillet, l'homme avait reconnu les faits dans deux cas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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