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Une finale romande reste possible
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Une finale 100% romande reste possible en Coupe de Suisse.
Sion, tombeur d'YB jeudi, et Servette ne seront en effet pas opposés au stade des demi-finales (17/18 avril). Les Valaisans accueilleront Lugano alors que les Genevois se déplaceront à Winterthour, selon le tirage au sort effectué sur le plateau de SRF jeudi soir.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Manzambi titulaire, Xhaka et Jashari font la paire
Granit Xhaka et Ardon Jashari évolueront ensemble au milieu du terrain face aux Etats-Unis. Le Genevois Johan Manzambi va lui fêter sa première titularisation en équipe de Suisse à Nashville.
Le sélectionneur bâlois a finalement décidé de voir les deux milieux défensifs ensemble sur le terrain. Samedi face au Mexique (4-2), Jashari avait remplacé Xhaka à la mi-temps.
La titularisation de Johan Manzambi est surprenante, même si le Genevois du SC Fribourg avait fait une entrée intéressante samedi à Salt Lake City. A voir où le milieu de terrain de 19 ans évoluera face aux "Stars and Stripes".
En défense, Yakin a décidé de relancer Nico Elvedi, qui fait son retour en sélection après quelques mois compliqués du côté de Mönchengladbach. Le Zurichois fera la paire avec Manuel Akanji, tandis que Ricardo Rodriguez (à gauche) et le Vaudois Isaac Schmidt (à droite) occuperont les flancs.
A noter le retour de Michel Aebischer dans le onze. Le Fribourgeois devrait former un trio au milieu avec Xhaka et Jashari, tandis que Breel Embolo et Dan Ndoye seront les principales menaces offensives suisses.
La composition suisse: Kobel; Schmidt, Elvedi, Akanji, Rodriguez; Xhaka, Jashari; Manzambi, Aebischer, Ndoye; Embolo.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Igor Tudor confirmé comme entraîneur de la Juventus
Le Croate Igor Tudor, arrivé à Turin fin mars en remplacement de Thiago Motta, restera aux commandes de la Juventus la saison prochaine. Le nouveau directeur général, Damien Comolli, l'a annoncé.
"Igor sera notre entraîneur pour la Coupe du monde des clubs, pour la saison prochaine, et j'espère au-delà", a déclaré Comolli lors de sa première conférence de presse comme patron de la Juve.
Tudor, 47 ans, a été nommé entraîneur de la Juve, club où il a fait l'essentiel de sa carrière de joueur, fin mars en remplacement de Motta, remercié après l'élimination du club en barrages d'accession aux 8e de finale de la Ligue des champions.
Sous la conduite de Tudor, la Juve a remporté cinq de ses neuf derniers matches de Serie A, pour trois nuls et une défaite.
Le technicien croate, passé notamment par Marseille et la Lazio Rome, a atteint l'objectif que lui avaient assigné ses dirigeants, à savoir décrocher la 4e place, synonyme de qualification pour la prochaine Ligue des champions.
Mais la Juve a tenté de recruter Antonio Conte, un autre de ses anciens joueurs, qui a conduit Naples au titre de champion d'Italie.
Un temps intéressé, Conte qui avait déjà entraîné la Juve entre 2011 et 2014, a finalement décidé de rester à Naples.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Claudio Ranieri décline le poste de sélectionneur de l'Italie
Claudio Ranieri, 73 ans, a renoncé mardi au poste de sélectionneur de l'Italie. La Fédération italienne de football (FIGC) l'avait approché avec le licenciement à venir de Luciano Spalletti.
"Je remercie le président (de la FIGC Gabriele) Gravina pour cette opportunité, c'est un grand honneur, mais après réflexion, j'ai décidé de rester à la disposition totale de la Roma dans mes nouvelles fonctions", a déclaré Ranieri à l'agence de presse italienne Ansa.
"Les Friedkin (les propriétaires de la Roma, NDLR) m'ont donné leur plein soutien et appui pour toute décision que j'aurais prise à propos de l'équipe nationale, mais c'est ma seule décision", a-t-il ajouté.
Ranieri, passé notamment par l'Inter Milan, la Juventus, l'Atlético Madrid, Chelsea, Leicester, avec qui il a été sacré champion d'Angleterre en 2016, ou encore Monaco, occupe depuis peu le poste de conseiller stratégique des propriétaires américains de l'AS Rome.
Sorti de sa retraite en novembre dernier pour venir au secours de la Roma, alors mal en point, Ranieri était le candidat no 1 de la FIGC pour succéder à Spalletti qui a dirigé la Nazionale pour la dernière fois lundi face à la Moldavie (2-0).
Nommé en août 2023, Spalletti va être licencié après la lourde défaite de son équipe face à la Norvège (3-0) vendredi qui compromet d'entrée sa qualification directe pour le Mondial 2026.
Pour relancer la Nazionale qui n'a pas participé aux deux dernières phases finales de la Coupe du monde (2018, 2022), la FIGC pourrait maintenant se tourner vers Stefano Pioli, ancien entraîneur de l'AC Milan, actuellement aux commandes du club saoudien d'Al-Nassr.
L'Italie est 3e (3 pts) du groupe I des qualifications européennes pour le Mondial 2026, à neuf points de la Norvège qui a disputé deux matches de plus. A l'issue de cette phase, le premier du groupe sera qualifié directement pour la prochaine Coupe du monde, son second devant passer par des barrages, fatals à l'Italie pour les rendez-vous de 2018 et 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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"Nous sommes désormais sur la bonne voie"
Gregor Kobel n'a toujours pas réussi à garder sa cage inviolée avec l'équipe de Suisse. Cela n'inquiète pas le successeur de Yann Sommer, pas aidé par les expérimentations défensives de Murat Yakin.
"Evidemment, c'est toujours agréable de ne pas encaisser de but. Mais je pense qu'il ne faut pas trop se focaliser là-dessus", a déclaré le Zurichois à la veille du match de la Suisse face aux Etats-Unis (mercredi 2h00 en Suisse).
Enjoué, le sourire aux lèvres, le gardien du Borussia Dortmund a répondu aux questions des journalistes suisses lundi dans le stade du Nashville Soccer Club. "J'ai déjà connu des phases similaires en club et tout à coup, j'enchaînais deux ou trois blanchissages", a-t-il signalé. "Et ce n'est pas comme si nous entrions sur le terrain avec comme seul objectif de ne pas encaisser de but. Avant tout, nous voulons gagner."
Avec douze défenseurs
Depuis qu'il est devenu le portier numéro 1 de l'équipe de Suisse l'automne dernier, Gregor Kobel a joué avec douze défenseurs différents (latéraux inclus). Sur les sept matches qu'il a disputés, il n'a évolué que deux fois avec le même alignement défensif. Difficile dans ces conditions de développer des automatismes.
"C'est encore plus compliqué lors des matches amicaux, où certains joueurs entrent à la mi-temps, d'autres après 60 minutes, pour que tout le monde puisse jouer", a rappelé le Zurichois, qui préfère toutefois voir du positif dans cette longue partie de chaises musicales.
"J'ai pu faire connaissance avec plein de joueurs et découvrir leurs forces et leurs faiblesses. Tous ces essais m'ont permis d'acquérir pas mal d'expérience", a-t-il estimé. "Et je pense que nous sommes désormais sur la bonne voie."
Il prend ses marques
Deux fois élu meilleur gardien du championnat allemand (en 2023 et 2024), finaliste de la Ligue des champions en 2024 avec le BVB (et meilleur portier de la compétition), Gregor Kobel est un gardien de classe mondiale. Mais il lui manque encore ce match référence avec la Suisse qui ferait taire tous les nostalgiques de Yann Sommer.
"Plus le temps passe et plus je me sens à ma place au sein de l'équipe nationale", a-t-il assuré. "Je pense que nous sommes dans une phase de transition et qu'il faut un peu de temps pour que tout se mette en place. Mais je me réjouis énormément de ce qui va arriver et de tout ce que je vais pouvoir accomplir avec ce maillot."
A la Coupe du monde des clubs
Le gardien formé à Grasshopper devrait avoir une nouvelle occasion de briller face aux Etats-Unis. Il restera ensuite sur le sol américain pour y disputer la Coupe du monde des clubs avec Dortmund. Une compétition que Kobel, un peu moins critique que son compatriote Manuel Akanji (Manchester City), se réjouit de disputer.
"C'est une belle occasion d'affronter des équipes contre lesquelles nous n'aurions jamais pu jouer autrement", a-t-il souligné, excité à l'idée de défier Fluminense (Brésil), les Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud) et Ulsan (Corée du Sud), entre le New Jersey et Cincinnati.
"Je me demande encore comment tout cela va se dérouler, mais je pense quand même que ce tournoi est une bonne chose. En termes de timing, c'est bien sûr un vrai défi pour nous, les joueurs, surtout ceux qui évoluent en équipe nationale. Il faudra voir comment nous allons gérer la chose pour récupérer rapidement et être prêts pour la saison prochaine", a-t-il conclu.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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