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Suisse

Valora s'équipe de 300 distributeurs automatiques

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Un des neuf premiers distributeurs que Valora va installer. (© Valora)

Le détaillant Valora, à côté de ses points de vente k kiosk, disposera également de distributeurs automatiques. Le groupe bâlois prévoit d'en installer environ 300 d'ici la fin de 2022 en Suisse.

Dans un premier temps, neuf distributeurs seront installés. Cette offre permet à Valora de développer son assortiment de boissons et d'aliments prêts à être consommés, indique mercredi un communiqué.

Le paiement se fera exclusivement par carte et des distributeurs automatiques à écran tactile nouvellement développés sont notamment utilisés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

L'Université de Berne interdit un débat d'Amnesty sur la Palestine

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Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l'ONU, n'est pas autorisée à se présenter à l'Université de Berne. (archives) (© KEYSTONE/EPA RITZAU SCANPIX/IDA MARIE ODGAARD)

Le débat sur le territoire palestinien qu'Amnesty International prévoyait d'organiser lundi à l'Université de Berne tombe à l'eau. L'établissement s'est rétracté, retirant l'autorisation d'utiliser ses locaux, indique l'université vendredi.

La table ronde à laquelle la rapporteuse spéciale de l'ONU sur les droits humains dans la zone, Francesca Albanese, devait participer, affichait complet.

L'université avait dans un premier temps autorisé l'événement, à condition qu'il soit respectueux, équilibré et basé sur la science. Un contrôle a posteriori de l'autorisation donnée a montré que ces conditions n'étaient pas remplies, indique l'université dans un communiqué pour justifier sa décision, confirmant une information publiée sur le site de la NZZ.

"Aucune discussion ouverte possible"

Cette explication n'a pas convaincu Amnesty. Mme Albanese est une experte indépendante qui s'exprime clairement sur la situation dans les territoires palestiniens, a réagi auprès de Keystone-ATS son porte-parole Beat Gerber.

L'établissement a, à ses yeux, fait marche arrière sous la pression publique. "Apparemment, aucune discussion ouverte sur les violations du droit international commises par Israël à Gaza n'est actuellement possible dans cette université", a déclaré M. Gerber.

Accusation de génocide

Mme Albanese avait présenté l'année dernière un rapport au Conseil des droits de l'homme de l'ONU dans lequel elle accusait Israël de génocide. Le gouvernement israélien y voit une remise en question du droit à l'existence d'Israël.

Les rapporteurs spéciaux de l'ONU sont des experts indépendants. Ils sont nommés par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU pour présenter des rapports sur des thèmes ou des pays spécifiques. Ils travaillent bénévolement et ne font pas partie des Nations unies.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Un accord sur les biens culturels va être signé en Côte d'Ivoire

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La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider rencontrera le président ivoirien Alassane Ouattara ainsi que les ministres de la culture et de la santé Françoise Remarck et Pierre N'Gou Dimba au cours de sa visite prévue lundi et mardi. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La Suisse veut avancer sur les oeuvres liées au colonialisme. La ministre de la culture Elisabeth Baume-Schneider se rend lundi en Côte d'Ivoire pour signer un accord sur les biens culturels, le premier de ce type conclu avec un pays de la région subsaharienne.

L'accord règle notamment les modalités de restitution de biens culturels importés illégalement ainsi que les conditions d'importation dans les deux pays, précise le Département fédéral de l'intérieur (DFI) vendredi dans un communiqué. Cette action s'inscrit dans la volonté du Conseil fédéral de renforcer la coopération avec les Etats africains sur cette question.

L'objectif est de lancer une dynamique dans la région subsaharienne, où il y a beaucoup de trafic illicite et où il n'y a pas encore de convention ou d'accord, a indiqué à Keystone-ATS le co-responsable de la communication du DFI Christian Favre. La Côte d'Ivoire, pays avec lequel la Suisse a de bonnes relations bilatérales et où les structures fonctionnent très bien, est un bon point de départ, a-t-il ajouté.

Le Bénin et le Nigéria ont été cités comme des zones particulièrement concernées, mais avec lesquelles la signature d'un accord est plus compliquée pour plusieurs raisons, selon M. Favre. Une recherche lancée en 2021 avait montré qu'une petite centaine d'objets béninois exposés dans les musées suisses provenaient d'un pillage.

En ce qui concerne les oeuvres ivoiriennes, il n'y en a sûrement pas des centaines dans les musées helvétiques, a indiqué M. Favre. Aucune information sur le nombre total d'oeuvres liées au colonialisme présentes en Suisse n'a été donnée.

Le Parlement a validé en mars la mise en place d'une commission pour gérer le patrimoine au passé problématique. Ce point figure dans le message culture 2025-2028.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Un appel mondial pour la neutralité active lancé depuis Genève

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L'appel lancé à Genève pour une neutralité active dans le monde a été relayé quelques jours après la décision à l'OTAN d'une augmentation des enveloppes militaires dans les différents pays de l'alliance. (© KEYSTONE/EPA ANP/REMKO DE WAAL)

Plusieurs acteurs ont lancé un appel mondial à Genève pour la neutralité active au moment les grandes puissances durcissent le ton. La ville est en compétition avec Vienne pour attirer un Congrès international sur cette question en 2026.

Au terme de deux jours d'une réunion qui a rassemblé 90 experts de la diplomatie, du droit international et du numérique de 27 pays à Troinex (GE) et en ligne, une déclaration publique et un plan ont été approuvés vendredi. D'ici fin 2026, l'objectif est de lancer un Réseau international sur la neutralité qui observera les pratiques des différents acteurs.

D'ici 2030, une Déclaration de l'ONU sur la neutralité active dans l'écosystème numérique et un label sont souhaités. Et un accord international contraignant pour la neutralité à l'ère numérique devra suivre à plus long terme.

Les confrontations entre grandes puissances provoquent de plus en plus de tensions. Alertant sur une "urgence", la déclaration publique relève que la neutralité ne signifie pas "l'indifférence".

Celle-ci doit contribuer à la prévention et la résolution des conflits, de même qu'au désarmement et au basculement des dépenses militaires vers les investissements sociaux et écologiques. Et éviter une militarisation de l'intelligence artificielle (IA). La demande est lancée alors que les pays de l'OTAN ont décidé l'augmentation à 5% de leur Produit intérieur brut (PIB) de leur financement militaire.

Après Bogota

Face à cette situation, "nous pensons que Genève et les espaces neutres en général jouent un rôle essentiel pour favoriser le dialogue, rechercher la vérité et défendre l'intérêt général", a affirmé à Keystone-ATS le président du Centre de Genève pour la neutralité, Nicolas Ramseier.

Il faut s'interroger "sur notre neutralité suisse, dite active, et, plus largement, sur le rôle que peuvent jouer les autres Etats neutres", ajoute-t-il. Et d'insister sur le fait que "plus la fragmentation et la méfiance s'accroissent, plus la demande de zones neutres, transparentes et sécurisées, tant physiques que numériques, devient forte".

Mais il devient plus difficile de faire accepter "une position neutre", admet M. Ramseier. Son centre a été précisément établi dans cette période "de critiques, de malentendus et de réinterprétations", notamment contre la Suisse. "Nous devons repenser la neutralité", "comme une posture proactive et structurée", et l'adapter aux défis technologiques du 21e siècle, estime le président.

Après Bogota l'année dernière, le Congrès international sur la neutralité pourrait être organisé en juin 2026 à Genève. Des centaines de dirigeants, académiques ou membres de la société civile devraient participer.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Affaires compensatoires: jusqu'à 800 millions de coûts pour le F-35

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L'avion de combat de type F-35 (en bas) doit remplacer l'actuel F/A-18 (en haut à gauche). (Photo d'archives) (© KEYSTONE/DONAT ACHERMANN)

Selon Armasuisse, les coûts des affaires compensatoires pour les 36 avions de combat F-35 pourraient s'élever jusqu'à 800 millions de dollars. Près d'un septième du prix d'achat initialement convenu de six milliards est donc constitué de coûts "d'offset"

"Nous ne connaissons pas les coûts exacts, mais nous pouvons les estimer sur la base des informations dont nous disposons. Ils devraient se situer dans une fourchette de 700 à 800 millions de dollars" (560 à 640 millions de francs au cours actuel), a déclaré vendredi à la radio alémanique SRF Kaj-Gunnar Sievert, chef de la communication de l'Office fédéral de l'armement (Armasuisse).

Dans les achats militaires, les affaires compensatoires, également appelées "offset", désignent des contreparties convenues avec les fabricants étrangers pour investir ou créer de l'activité économique dans le pays acheteur.

Dans le cas du F-35, le fabricant Lockheed Martin ajoute son prix pour les affaires compensatoires au prix d'achat. S'appuyant sur une étude de l'université de Saint-Gall, Armasuisse estime, selon le reportage radio, que la part habituelle des affaires compensatoires représente un vingtième du prix d'achat. Les opérations compensatoires liées au F-35 seraient donc comparativement chères.

Renoncer aux affaires compensatoires?

Selon la SRF, la Confédération examine si et dans quelle mesure les moyens prévus pour "l'offset" pourraient contribuer à couvrir les coûts supplémentaires d'achat du F-35. Il s'agirait par exemple d'adapter l'accord correspondant. Si la Suisse renonçait aux affaires compensatoires, plus de la moitié des exigences financières supplémentaires de Washington seraient couvertes.

Le projet Rigi de Ruag est notamment soumis à une forte pression. L'entreprise d'armement veut assembler en Suisse quatre des 36 F-35 commandés et acquérir ainsi un savoir-faire pour des commandes de maintenance ultérieures, précise la SRF. Selon deux sources, Lockheed Martin facture 200 millions de francs à la Suisse pour ce seul projet.

L'entreprise Ruag a déclaré à la SRF être convaincue de pouvoir assurer le succès du projet grâce aux investissements nécessaires. Des échanges quotidiens ont lieu avec le constructeur.

La Suisse et les Etats-Unis ne sont pas d'accord sur le prix d'achat de six milliards de francs pour les 36 avions de combat F-35. Les Etats-Unis invoquent un malentendu et demandent 650 millions à 1,3 milliard de dollars supplémentaires, tandis que la Suisse table sur un prix fixe déjà négocié, a indiqué mercredi le Conseil fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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