Suisse Romande
Genève: moins de décollages après 22h00
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2019/10/20191031161528948-1000x600.jpg&description=Genève: moins de décollages après 22h00', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Visé par une intiative populaire, Genève Aéroport s'est allié aux compagnies aériennes Swiss et Easyjet pour limiter les nuisances nocturnes. Les trois partenaires annoncent des mesures pour réduire les décollages après 22h00.
L'exploitant du tarmac genevois et les compagnies y assurant la plus grande part du trafic (57%) ont signé une déclaration conjointe et pris des engagements pour éviter, dans la limite du possible, les émissions sonores après 22h00, dont l'impact est considéré comme dix fois supérieur à celui des mouvements en cours de journée, a indiqué Genève Aéroport jeudi.
Mesures complémentaires
L'intégration des réserves dans la planification, la priorisation des vols retardés et des quotas bruit pour les vols retardés après 22h00 figurent parmi les mesures prévues. Ces dernières sont complémentaires à celles prévues dans le plan sectoriel de l'infrastructure aéronautique (PSIA), adopté par le Conseil fédéral et qui définit notamment les "quotas bruit".
Lors d'une conférence de presse, le directeur général (CEO) de l'aéroport André Schneider a affirmé que le niveau des émissions sonores émises à Genève est déjà inférieur à celui prévu dans le PSIA.
Actuellement, les décollages de vols de ligne sont autorisés à Genève entre 06h00 et 22h00. Des mauvaises conditions météo, des imprévus ou des difficultés techniques peuvent cependant entraîner des retards.
L'accord annoncé jeudi intervient alors que l'aéroport fera l'objet d'une votation cantonale à Genève, le 24 novembre.
Riverains pas considérés
L'initiative populaire "Pour un pilotage démocratique de l'aéroport" veut faire de la limitation des nuisances liées aux mouvements d'avions une priorité. Les partisans du texte dénoncent ce qu'ils perçoivent comme la volonté de Genève Aéroport de croître "sans considération pour les personnes concernées", principalement les riverains.
Ils exigent une prise en main de l'aéroport par les autorités politiques et une meilleure concertation avec la population autour du développement de l'activité sur le tarmac genevois.
A leurs yeux, le contre-projet accepté en février dernier par le Grand Conseil ne va pas assez loin. Il laissera trop de marge de manoeuvre aux dirigeants de Genève Aéroport, qui vise une croissance à 25 millions de passagers d'ici à 2030.
Ne pas couper les ailes de l'aéroport
Jeudi, le comité "Ne coupons pas les ailes de Genève", partisan du contre-projet, a lancé sa campagne contre l'initiative. A ses yeux, un corsetage nuirait à l'économie et à la Genève internationale et ferait de Genève Aéroport l'otage des majorités politiques du Grand Conseil.
Ce dernier, ainsi que le Conseil d'Etat recommandent également de rejeter l'initiative et de soutenir le contre-projet.
Climat
Toujours pas de rupture du glacier au-dessus de Blatten (VS)
Dans la zone d'éboulement de Blatten (VS), il n'y a pas encore eu de rupture du glacier. La nuit de jeudi à vendredi a été "ressentie" comme plus calme, mais il n'est pas question de lever l'alerte, a déclaré un porte-parole de l'état-major régional de conduite.
Comme les nuits précédentes, des chutes de pierres isolées ont eu lieu, a déclaré vendredi matin le porte-parole de l'état-major régional de conduite du Lötschental, interrogé par l'agence de presse Keystone-ATS.
Le sentiment que la nuit a été un peu plus calme se base plus sur ce que l'on a entendu que sur ce que l'on a vu, a-t-il ajouté. Depuis plusieurs jours, on observe régulièrement des chutes de rochers. Le fait qu'il y ait eu jusqu'à présent de nombreuses petites chutes satisfait les géologues.
Des vols de reconnaissance sont prévus vendredi pour permettre aux experts de se faire une idée plus précise de la situation dans la zone de l'éboulement. La masse qui s'est effondrée doit ensuite être précisée. Selon les estimations, la masse totale de roche instable s'élève à quatre à six millions de mètres cubes.
Les blocs isolés ne posent pas de problème pour les habitations
Jeudi après-midi, le remplissage du glacier de Birch avec des débris provenant de l'effondrement du Petit Nesthorn atteignait le front du glacier. Les mouvements sur le glacier se sont accélérés pour atteindre un mètre et demi par jour. "C'est une question de temps avant que les premiers blocs ne débordent", a expliqué jeudi l'ingénieur Alban Brigger du Service des dangers naturels lors d'une conférence de presse à Ferden (VS). On ne s'attend toutefois pas à ce que des blocs isolés posent problème pour la route ou les habitations.
Le village de Blatten a été évacué lundi en raison du risque d'éboulement. Environ 300 personnes ont dû quitter leur maison. Il n'y a pas encore eu de blessés ou de dommages aux infrastructures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
À domicile, Yverdon gagne et chute
Cette fois les jeux sont faits. Yverdon est relégué en Challenge League. Malgré une victoire 3-2 contre le FC Zurich au Municipal, les Nord-Vaudois terminent le championnat de Super League à la 12e place, la faute aux victoires de Grasshopper et Winterthour.
À l'occasion de cette dernière journée de Super League, Yverdon était dans la pire posture possible. Dernier du classement, le club nord-vaudois devait impérativement gagner pour espérer se maintenir. Mais son sort dépendait aussi du résultat de ses concurrents. Grasshopper, 11e avec 36 points (à égalité avec YS) recevait St-Gall. Et Winterthour, 10e avec 37 points recevait le FC Sion. La soirée s'annonçait tendue.
Avec un peu de patience…
Qu’elle a été compliquée la première mi-temps pour Yverdon. Paul Bernardoni a dû se faire l’auteur de plusieurs belles parades, heureusement pour ses coéquipiers. Marley Aké a, par deux fois, plus ou moins réussi à s'échapper, sans succès malgré les sorties du gardien zurichois. Des actions à l'image de ce qu'a proposé YS dans ce début de match: des amorces d'occasions, sans plus.
Et alors qu'on se disait que les Nord-vaudois étaient en souffrance (notons une statistique: possession de balle à moins de 30% pour YS en première mi-temps), voilà que leurs adversaires directs enfonçaient un peu plus le couteau dans la plaie en prenant le lead dans leurs rencontres respectives.
Juste avant le retour aux vestiaires, Christian Marques a néanmoins redonné un peu d'espoir au nombreux spectateurs du Municipal. Yverdon a bénéficié d'un corner. Vegard Kongsro a tenté d'envoyer au fond en prenant le ballon de la tête. Devant la cage, Yanick Brecher a repoussé. Mais le gardien du FCZ a renvoyé la balle sur Marques qui a pu ouvrir le score.
Apothéose inutile
Après la pause, les Yverdonnois sont revenus en feu (et on ne parle pas des feux d'artifice des ultras verts et blancs). À la 52e, ils se sont créés une belle occasion avec Moussa Baradji. Mais quelques secondes plus tard, c'est William LePogam qui a doublé la mise. Le capitaine a tout fait tout seul, récupération, neutralisation de l'adversaire, entrée dans les 16m, shoot et but (53e).
Les hommes de Paolo Tramezzani, lancés, n'allaient pas s'arrêter là. Hugo Komano a encore creusé l'écart à la 58e. Lui au centre, Marley Aké sur sa gauche, tous deux courant en direction du but. Komano a fait signe à son coéquipier de lui mettre le ballon en avant avant de se faufiler entre les défenseurs zurichois pour aller marquer. Dans les tribunes, Antonio Marchesano et Varol Tasar ont laissé exploser leur joie. Mais la fête a été de courte durée. C'étaient en effet des buts pour l'honneur malheureusement. Car pendant ce temps-là, Winterthour et Grasshopper menaient 2-0.
Zurich à ensuite privé Paul Bernardoni d'un blanchissage. Une bête perte de balle de la part des Yverdonnois dont a profité Damienus Reverson. L'attaquant remettra ça dans le temps additionnel. On en restera donc là. Et Yverdon a dit au revoir à la Super League.
Abattus
En zone mixte, là où se déroulent les interviews des joueurs, l’ambiance était donc morose après le coup de sifflet final.
“L’équipe est abattue. C’est jamais facile de vivre une descente, lâche de son côté le capitaine William LePogam Peut-être même plus pour ceux qui ont eu la chance de connaître toutes les promotions.” Ce qui est frustrant, c’est de faire un pas en arrière et de se souvenir que le 15 mars, Yverdon battait Servette à la Praille et était sur une très bonne lancée. On n’aurait pas forcément imaginé le club dans cette situation à ce moment-là. Mais tout a dégringolé ensuite. Qu’est-ce qui s’est “cassé” dans cette équipe après ce fameux match?
Pour Le Pogam, ce sont les performances dans cette dernière phase du championnat qui ont fait défaut à son équipe.
Yverdon, de par la philosophie instaurée par les dirigeants, a également vu un grand nombre de joueurs débarquer et quitter le Municipal. Et ce, à chaque début de saison. Difficile d’imaginer que cela permette de créer un groupe sain et constant, capable de construire quelque chose sur le long terme. Ce jeudi, le capitaine yverdonnois n’a cependant pas voulu blâmer qui que ce soit.
Yverdon est donc relégué en Challenge League. Grasshopper jouera les barrages contre le FC Aarau. Dans l'autre moitié du tableau, le Lausanne Sport jouera une place en Europe. Ce sera samedi du côté de la Praille face au Servette FC.
Football
Yverdon relégué, GC en barrage, Winterthour sauvé
Le Relegation Group de Super League a rendu son verdict au terme de l'ultime journée jeudi soir.
Yverdon est relégué en Challenge League, alors que Grasshopper disputera un barrage face au 2e de Challenge League Aarau les 27 et 30 mai.
Les trois équipes concernées par la relégation se sont imposées jeudi. Mais le succès (3-2, après avoir mené 3-0) obtenu au Stade Municipal par Yverdon face au FC Zurich s'est avéré inutile: GC (2-0 face à St-Gall) et Winterthour (2-0 devant Sion) ont en effet également ajouté trois points à leur total.
Winterthour, qui accusait encore 12 longueurs de retard sur Yverdon - et 7 sur Grasshopper - à la fin mars, a donc sauvé sa peau grâce à un superbe "rush" final. Les hommes d'Uli Forte n'ont perdu qu'un seul de leurs neuf derniers matches de championnat, décrochant six succès durant le "money time".
A l'inverse, Yverdon paie cher la série de neuf matches sans victoire (quatre défaites, cinq nuls) débutée après un succès fêté sur la pelouse de Servette le 15 mars, série qui a pris fin ce jeudi. Intronisé fin décembre pour remplacer Alessandro Mangiarratti sur le banc, Paolo Tramezzani a échoué dans son opération maintien.
Yverdon va donc retourner à l'échelon inférieur, après un passage de deux saisons en Super League. Pour Grasshopper, le spectre d'une nouvelle relégation est toujours bien présent: le barrage face à l'ambitieux FC Aarau, qui aura l'avantage de recevoir au match retour, n'aura rien d'une partie de plaisir.
GC très vite à l'abri, Winti aussi
La cause yverdonnoise fut très vite désespérée jeudi soir. Grasshopper a ainsi ouvert la marque dès la 12e minute face à St-Gall, pour prendre virtuellement trois longueurs d'avance sur la formation du Nord vaudois (avec en outre une bien moins mauvaise différence de buts). Le 2-0 des Sauterelles est tombé à la 69e.
Winterthour a également très vite débloqué la situation face à un FC Sion déjà assuré de son maintien. Une réussite de Christian Gomis à la 23e a permis aux banlieusards zurichois de dépasser GC et de s'offrir un matelas de quatre unités sur Yverdon. Et "Winti" s'est mis à l'abri à 40e, Gomis signant un doublé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
L'UDC Jura mise sur Fred-Henri Schnegg pour le Gouvernement
L'assemblée de l'UDC Jura a décidé jeudi de lancer Fred-Henri Schnegg dans la course au Gouvernement. Le parti souhaite faire son entrée pour la première fois à l'exécutif jurassien lors des élections d'octobre.
Fred-Henri Schnegg a devancé Romain Schaer, l'autre candidat à la candidature. Le parti souhaitait en effet lancer une seule personne dans la course au Gouvernement.
Fred-Henri Schnegg (60 ans) peut se prévaloir d'une expérience politique dans le Jura bernois, qu'il a acquise avant de rejoindre l'administration cantonale jurassienne. Il est le chef du Service jurassien de l'enseignement depuis plus de huit ans. Avant cela, il a notamment été maire de Sonceboz-Sombeval, président du Conseil du Jura bernois ou encore député au Grand Conseil bernois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
ClimatIl y a 2 jours
Blatten (VS): environ 2 mios de mètres cubes de roches décrochés
-
VaudIl y a 3 jours
Les députés vaudois veulent être mieux informés
-
VaudIl y a 2 jours
Huit nouveaux trains à crémaillère pour les Rochers-de-Naye
-
ClimatIl y a 1 jour
L'incertitude règne toujours à Blatten (VS)
-
LausanneIl y a 2 jours
Un candidat à la naturalisation obtient gain de cause
-
InternationalIl y a 3 jours
Ukraine: Zelensky accuse la Russie de "gagner du temps"
-
CultureIl y a 3 jours
Martigny: la Médiathèque Valais explore la domestication animale
-
InternationalIl y a 3 jours
La situation chez Tesla a "déjà été rétablie", clame Elon Musk