Culture
Montreux Jazz: Zucchero, Woodkid ou Rag'n'Bone Man en vedette
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Même en version réduite, le Montreux Jazz Festival (MJF) va accueillir des grands noms de la musique cet été. Zucchero, Woodkid, Rag'n'Bone Man ou encore Ibrahim Maalouf font partie des artistes qui se produiront sur le Léman entre le 2 et le 17 juillet.
Ils y côtoieront de nouveaux talents et de nombreux artistes suisses dans une programmation "d'une grande mixité, fidèle à l'identité du festival", indique Mathieu Jaton, le directeur du MJF, interrogé par Keystone-ATS.
Ces artistes livreront pour la plupart des prestations adaptées à la configuration 2021 du MJF, repensée pour répondre aux normes sanitaires. "Nous aurons des concerts beaucoup plus intimistes, plus axés sur le jeu musical. C'est une sorte de retour aux sources", estime Mathieu Jaton.
Pour sa quatrième participation au festival, le chanteur italien Zucchero se produira par exemple en "trio rock" sur la scène érigée sur le lac, à 25 mètres du rivage et de gradins pouvant accueillir 500 spectateurs. Le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf sera lui accompagné d'un seul guitariste.
"Nous serons en plein dans la magie montreusienne", se réjouit Mathieu Jaton. Il s'attend à voir émerger du Léman plusieurs "pépites", citant notamment des chanteuses de la nouvelle génération comme Yseult, Nathy Peluso ou Arlo Parks.
Des Suisses seront aussi à l'honneur dans cet écrin, à l'instar du rappeur lausannois Arma Jackson. Une soirée sera également consacrée au trio alémanique composé de Sophie Hunger, Dino Brandao et Faber, qui s'est formé durant le confinement.
Entre 70 et 150 francs la place
La deuxième scène payante de cette édition, située dans la salle Belle Epoque du Montreux Palace, a aussi été retenue pour offrir des moments d'intimité, poursuit le patron du MJF. Dotée de 200 places assises, elle sera dédiée aux musiques jazz et soul.
En tout, ce sont près de 60 artistes qui défileront sur ces deux scènes, dont un tiers de Suisses. "J'ai été surpris de voir qu'autant d'artistes, surtout parmi les grands noms, adhéraient à notre projet", remarque Mathieu Jaton.
La billetterie sera ouverte mardi 8 juin. Les billets coûteront entre 70 et 80 francs, sauf pour les quatre têtes d'affiche - Zucchero, Woodkid, Rag'n'Bone Man et Ibrahim Maalouf - pour lesquelles il faudra payer environ 150 francs. Des prix inférieurs à ceux pratiqués lors d'une édition normale du MJF. "Nous voulons des concerts accessibles au plus grand nombre", relève le directeur.
Deux autres scènes, gratuites celles-ci mais soumises à réservations, seront installées dans le grand hall et les jardins du Montreux Palace. Elles accueilleront notamment des artistes émergents et les jam sessions.
Penser à l'avenir
Avec ses quatre scènes, le MJF pense pouvoir attirer entre 1200 et 1500 personnes par jour, soit dix fois moins qu'avant le coronavirus. Onze bars et points de restauration seront à disposition des festivaliers. Le protocole sanitaire sera communiqué à l'approche du festival et s'adaptera à l'évolution de la situation.
Ce 55e Montreux Jazz, dont le budget se monte à 8 millions de francs, n'est pas une "édition sparadrap", insiste Mathieu Jaton. "Nous ne voulions pas faire dans la demi-mesure, en remplissant par exemple des moitiés de salle. Nous sommes repartis de zéro pour créer quelque chose de nouveau, tout en respectant les valeurs du festival."
A l'instar des autres initiatives lancées depuis le début de la crise, le MJF souhaite apprendre de cette édition 2021 pour imaginer son futur. Mathieu Jaton cite par exemple la retransmission en live streaming de certains concerts de la scène du lac, qui seront ensuite accessibles gratuitement durant la durée du festival.
Culture
A Paris, une passerelle au nom de la chanteuse Jane Birkin
Une passerelle Jane Birkin a été inaugurée samedi à Paris en hommage à la chanteuse et comédienne franco-britannique décédée en 2023, en présence de ses filles Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon, a constaté l'AFP.
"La passerelle Jane Birkin, c'est poétique, elle aurait tellement aimé", a déclaré, la voix étouffée par les sanglots, Charlotte Gainsbourg, devant ce pont qui enjambe le célèbre canal Saint-Martin, dans le 10e arrondissement de Paris, et porte désormais le nom de sa mère.
"Ça pourrait être le pont qui la reliait à l'Angleterre et qui la faisait revenir dare-dare en France, son pays d'adoption", a-t-elle poursuivi devant une centaine de personnes, imaginant déjà des Parisiens s'y donner rendez-vous pour "flâner".
"Se donner rendez-vous sur la passerelle Jane Birkin"
"On dira au taxi 'la passerelle Jane Birkin, s'il vous plaît'", a lancé la comédienne et chanteuse. "Se donner rendez-vous, et flirter et s'embrasser, s'embrasser sur la passerelle Jane Birkin".
Aux côtés de Lou Doillon et du petit-fils de Jane Birkin, Roman de Kermadec, Charlotte Gainsbourg a ensuite dévoilé la plaque qui surplombe les premières marches du pont et sur laquelle on peut lire: "Passerelle Jane Birkin (1946-2023) chanteuse, comédienne, réalisatrice".
"Mon fils me demandait ce matin si ma mère était encore morte. Alors je lui ai dit 'oui, mais aujourd'hui, elle devient un pont'. Et c'est génial de pouvoir dire ça", a plaisanté Lou Doillon, selon qui "il manquait un lieu". "La tranquillité, le silence et la révérence du cimetière ne lui allait décidément pas", a-t-elle poursuivi.
Jane Birkin rejoint ainsi huit autres comédiennes (Arletty, Michèle Morgan, Maria Schneider...) qui ont donné leurs noms aux passerelles au-dessus du canal Saint-Martin.
Mort en juillet 2023 à 76 ans, elle était l'Anglaise préférée des Français, une icône de mode et une voix teintée d'un délicieux accent. Londonienne d'origine, naturalisée française, Jane Birkin a connu un succès mondial avec des chansons comme "Je t'aime... moi non plus", duo avec Gainsbourg en 1969 au parfum de scandale, "Jane B" la même année ou "Ex-fan des sixties" en 1978.
Au cinéma, Jane Birkin a été vue dans "Blow up" d'Antonioni, Palme d'or 1967, puis dans "La Piscine" avec Romy Schneider et Alain Delon en 1969, avant de s'affirmer avec des réalisateurs comme Agnès Varda, Michel Deville, Bertrand Tavernier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
L'inscription du yodel à l'Unesco fêtée en grande pompe à Schwyz
L'inscription par l'Unesco du yodel sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité a été célébrée en grande pompe samedi à Schwyz, à l'occasion de la "journée du yodel". La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider était de la partie.
L'événement était organisé par le canton de Schwyz, la haute école de musique de Lucerne - qui propose depuis 2018 un master dans cette discipline -, l'association suisse de yodel et diverses institutions spécialisées. Il s'est tenu deux jours après la décision du comité intergouvernemental de l'Unesco.
C'est avant tout le patrimoine culturel suisse qui a été célébré, mais pas seulement. Nadja Räss, professeure de musique folklorique et de yodel à la Haute école de Lucerne, a toujours qualifié le yodel de "cinquième langue nationale" de la Suisse, mais elle a relativisé cette affirmation auprès de Keystone-ATS.
"On pratique également le yodel en Autriche et surtout dans le sud de l'Allemagne. Et qui sait, peut-être qu'à l'avenir, le yodel sera inscrit sur la liste de l'Unesco de manière multinationale", dit-elle.
La Suisse est déjà associée à plusieurs inscriptions multinationales de traditions au patrimoine culturel immatériel de l'humanité: l'art de la construction en pierres sèches, l'alpinisme, les ateliers de cathédrales et l'irrigation traditionnelle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Rhône et Robert Hainard à l'honneur au Quartier Libre SIG
Quartier Libre SIG accueille au pont de la Machine à Genève l’exposition "Libre comme le Rhône de Robert Hainard". Ce récit fluvial enrichi par l'½uvre du naturaliste Robert Hainard propose de remonter le temps et de suivre l'évolution du Rhône genevois. A découvrir dès lundi et jusqu'au 29 mars 2026.
L'exposition retrace près d'un siècle de transformations: des paysages sauvages d'avant 1937 à la construction du barrage de Verbois en 1944, en passant par le projet de centrale nucléaire abandonné dans les années 1980 et la renaturation des Teppes de Verbois en 2000.
A travers peintures, gravures, photographies et archives, le public découvre comment le territoire a dû concilier besoins énergétiques croissants et protection de la nature. Au centre du récit, l'oeuvre du Genevois Robert Hainard, philosophe, artiste et pionnier de la pensée écologique.
Le naturaliste passionné a longuement observé la faune et les paysages du Rhône genevois, allant jusqu'à passer des nuits d'affût pour saisir les dernières loutres du fleuve. Il documente cette évolution avec des oeuvres majeures, dont la série "Nuits d'hiver au bord du Rhône", exposée pour la première fois depuis 1952.
Organisée par les Services industriels de Genève (SIG), en partenariat avec la Fondation Hainard et sous le commissariat de Nicolas Crispini, cette exposition ouverte au public dès le 15 décembre sera inaugurée le 20 janvier. Des visites guidées seront proposées sur inscription.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Plus de 175 chefs-d'oeuvre de la gravure exposés à Martigny (VS)
"L'immense créativité des artistes dans le domaine de l'estampe" se révèle à travers la nouvelle exposition de la Fondation Gianadda. "De Manet à Kelly: l'art de l'empreinte" présente 178 chefs-d'oeuvre de la gravure des XIXe et XXe siècles jusqu'au 14 juin 2026.
Edouard Manet, Elssworth Kelly, Francisco de Goya ou Edvard Munch font partie des noms qui habillent les murs de l'institution muséale martigneraine. Cette "présentation exceptionnelle d'oeuvres modernes et contemporaines" plonge le public dans les collections de la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art (INHA) de Paris, initiée par le mécène français Jacques Doucet.
L'accrochage est organisé en une dizaine de séquences thématiques, dont une dédiée à l'histoire du collectionneur. "L'estampe s'y révèle comme un art de l'empreinte, de l'action de la matière, du multiple et la variation", écrit la Fondation Gianadda.
"De Manet à Kelly: l'art de l'empreinte" est pensée comme un prolongement d'une exposition de 1992, où quelques oeuvres avaient déjà été montrées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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