Suisse
A cause des intempéries, les légumes suisses se font plus rares
Les légumes suisses souffrent aussi des fortes intempéries s'abattant sur le pays depuis quatre semaines. Le marché n'est plus approvisionné qu'en partie et les importations doivent être augmentées, indique mercredi l'Union maraîchère suisse.
Les épisodes de pluies intensives et de grêle se succèdent en Suisse. Les sols sont détrempés et peinent à absorber l'eau, explique l'Union maraîchère suisse (UMS). Les cultures, notamment de chou, de chou-fleur et de brocoli, ont les pieds dans l'eau et pourrissent. Tout comme certaines salades et courgettes.
De grandes pertes sont également enregistrées dans la production de carottes et d'oignons de garde. Les cultures sous serre sont elles protégées de la pluie, mais elles manquent de lumière. Tomates, aubergines et concombres se développent plus lentement et les quantités récoltées sont plus faibles, poursuit-elle.
Hausse des prix attendue
Le Seeland est la région la plus touchée en raison des fortes chutes de grêle. Les pertes sont en revanche plus faibles en Suisse orientale. Mais tout le pays souffre du mauvais temps, insiste l'UMS. Résultat: les étals proposent moins de légumes indigènes. Les importations doivent être augmentées. Et les consommateurs pourraient devoir ouvrir leur porte-monnaie.
Les prix indicatifs négociés entre producteurs et acheteurs ont augmenté à cause de la raréfaction de la marchandise et de la hausse des coûts de production, pointe l'UMS. Les légumes devraient aussi devenir plus chers dans le commerce de détail.
La situation pourrait être amenée à durer, prévient l'Union maraîchère suisse. Les machines n'ont pas pu être utilisées pour les travaux d'entretien dans de nombreux champs. La protection phytosanitaire est ainsi limitée et la pression des ravageurs et des maladies risque d'augmenter. Les nouvelles plantations et les semis ne sont pas non plus possibles dans ces conditions.
Culture
Le soutien à la culture reste prioritaire en Valais
Dans sa stratégie culture 2030, l'Etat du Valais souhaite rendre la culture plus accessible à la population et mieux accompagner les artistes dans leur carrière. Le plan d'action élaboré veut aussi créer des synergies entre culture et économie, société, ou nature.
"Le nerf de la guerre, c'est les finances. Les moyens à disposition de la culture sont limités", a indiqué mardi en conférence de presse le chef du département de la santé, des affaires sociales et de la culture Mathias Reynard. L'idée est donc notamment de travailler sur l'interdisciplinarité afin de développer des cofinancements.
A titre d'exemple, le département de la culture cite la Valais Film Commission. "Du côté de la culture, on les soutient parce qu'on soutient le cinéma avec un pôle de compétences", explique le conseiller d'Etat. Et de l'autre, il y a un financement par le département de l'économie qui y voit un intérêt économique via l'exportation des paysages valaisans dans le monde entier, une publicité indirecte pour le tourisme, dont l'économie locale profite largement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Un audit externe sur les procédures de recrutement aux SIG
Un audit externe sera mené sur les procédures de recrutement aux SIG. Robert Cramer, président du Conseil d'administration de la régie publique a indiqué "prendre au sérieux" les accusations de favoritisme.
La Tribune de Genève et la télévision Léman Bleu ont révélé que deux beaux-fils du directeur général des SIG, Christian Brunier, travaillent dans l'entreprise. Selon la RTS, ce serait aussi le cas d'un de ses neveux. Des attaques qui ont poussé M. Brunier à quitter son poste avec effet immédiat mardi, avec onze mois d'avance sur la date annoncée de son départ à la retraite anticipée.
"Je n'emploie pas le terme de népotisme. Si c'est avéré, c'est très problématique comme comportement et pour l'entreprise", a déclaré mardi devant les médias M. Cramer. L'auditeur externe aura pour mission de chercher à savoir si les procédures de recrutement sont adéquates, si le règlement est perfectible et si, dans les cas en question, les procédures ont été appliquées ou s'il y a eu des dérives.
"Ligne rouge"
L'auditeur sera trouvé d'ici à la fin de la semaine, selon M. Cramer, qui refuse de se prononcer sur ces cas avant d'avoir reçu l'audit "dans deux mois ou à la fin de l'été". A ses yeux, toute intervention active dans le processus de recrutement est "la ligne rouge absolue" à ne pas franchir. Or la proximité ne se limite pas aux liens familiaux dans une entreprise qui compte 1700 collaborateurs.
De son côté, Robert Monin, directeur des ressources humaines des SIG, a expliqué qu'un candidat qui n'a pas de réelles compétences est balayé lors des différentes étapes de recrutement. "Les recommandations de l'audit externe seront mises en oeuvre par les SIG", a assuré le président, qui souhaite que les établissements publics autonomes s'alignent sur les mêmes pratiques.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Lazzarini: la Suisse doit poursuivre sa tradition humanitaire
Le commissaire général de l'UNRWA Philippe Lazzarini se réjouit de la recommandation de la commission de politique extérieure du National de maintenir une aide partielle à l'agence. Il juge important que la Suisse poursuive sa tradition humanitaire dans la région.
Il est important que la Confédération continue d'être un partenaire de la plus importante agence d'aide aux réfugiés palestiniens, au moment où ceux-ci ont le plus besoin de soutien, a ajouté le Genevois lors d'une conférence de presse.
Interrogé sur la volonté de la commission de ne plus financer directement l'UNRWA à terme, M. Lazzarini a dit espérer qu'elle ne se concrétise pas "avant que la Suisse et les autres Etats membres (aient) oeuvré à la création d'un Etat palestinien", c'est-à-dire avant que l'agence puisse se retirer de la région.
D'ici là, "tout affaiblissement de l'agence sera perçu par les Palestiniens comme une atteint à leurs aspirations à l'autodétermination", a-t-il averti.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La Suisse devrait maintenir une aide partielle à l'UNRWA
La Suisse doit maintenir, pour l'instant, une aide humanitaire partielle à l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). C'est ce que recommande la commission compétente du Conseil national. Le Conseil fédéral n'a pas encore tranché.
La commission de politique extérieure du National a siégé à plusieurs reprises sur ce sujet ces dernières semaines. Au vu de la situation humanitaire catastrophique qui règne à Gaza actuellement, elle a décidé par 13 voix contre 11 de maintenir partiellement le soutien actuel de la Suisse à l'UNRWA, a dit le président de la commission Laurent Wehrli (PLR/VD).
Il faut passer par les canaux qui fonctionnent encore sur place, a ajouté le Vaudois. Le montant de cette contribution partielle à l'UNRWA n'est pas chiffré par la commission. Le Conseil fédéral devra en décider. Initialement, la Suisse devait verser 20 millions de francs pour 2024.
A moyen terme, la Suisse ne devrait par contre plus financer directement l'UNRWA, estime la commission. Elle a déposé une motion en ce sens.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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