International
Prix des nations: La Suisse évite la relégation
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/10/steve-guerdat-ici-aux-jo-et-la-suisse-ont-evite-de-peu-la-relegation-dans-le-prix-des-nations-1000x600.jpg&description=Prix des nations: La Suisse évite la relégation', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'équipe de Suisse de saut d'obstacles a évité le pire dans la finale du Prix des nations à Barcelone.
Elle a conservé sa place dans l'élite en prenant la 4e place de la "finale B" samedi soir, en l'absence de Bryan Balsiger.
Sacrée championne d'Europe un mois plus tôt à Riesenbeck, l'équipe de Michel Sorg est passée à une perche de la relégation en 2e division dans une épreuve regroupant cinq nations européennes. Une relégation qui l'aurait privée de la plupart des principaux CSIO.
Derniers partants, Martin Fuchs et Chaplin pouvaient se permettre de commettre deux fautes sur leur parcours. Le Zurichois et sa monture ont écopé exactement de 8 points de pénalité pour permettre à la Suisse de devancer l'Italie, 5e et seule reléguée.
La formation helvétique a, il est vrai, dû composer avec le forfait du Neuchâtelois Bryan Balsiger, dont le cheval Twentytwo des Biches n'était pas suffisamment en forme. Martin Fuchs (8 points), Steve Guerdat (8 points avec Victorio) et Edwin Smits (9 points sur Farezzo) n'ont guère brillé en son absence.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'UE enquête sur l'alimentation en contenus de l'IA de Google
L'Union européenne a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur l'utilisation par Google de contenus en ligne pour ses services d'intelligence artificielle (IA), afin de vérifier si le groupe ne commet pas des infractions aux règles de la concurrence.
La démarche vise à vérifier si Google ne lèse pas les éditeurs en ligne et les Youtubers, lorsque le géant américain utilise leurs contenus pour générer des résultats de recherche faisant appel à l'IA.
La Commission européenne s'inquiète également du fait que Google utilise les vidéos publiées sur sa plateforme YouTube pour entraîner des modèles d'IA, sans donner la possibilité à ceux qui les ont créées de s'y opposer ni leur offrir de compensation.
Ces pratiques pourraient constituer des abus de position dominante, prévient l'exécutif européen.
En outre, Google interdit spécifiquement à ses concurrents de se servir des vidéos diffusées sur YouTube pour des usages similaires, ce qui pourrait là encore constituer une infraction aux règles de la concurrence, estime la Commission.
Enquête sur de prétendues "conditions abusives"
"L'IA apporte des innovations remarquables et de nombreux avantages aux citoyens et aux entreprises partout en Europe, mais ce progrès ne saurait se faire au détriment des principes fondamentaux de nos sociétés", a déclaré la vice-présidente de la Commission européenne chargée de la concurrence, Teresa Ribera.
"C'est pourquoi nous enquêtons afin de déterminer si Google a pu imposer des conditions abusives aux éditeurs et aux créateurs de contenu, tout en désavantageant les développeurs de modèles d'IA concurrents, en violation des règles de concurrence de l'UE", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Google n'est pas le seul groupe dans le collimateur de Bruxelles pour ses activités dans l'intelligence artificielle. La semaine dernière, la Commission européenne a ouvert une autre enquête à propos des fonctions d'IA dans WhatsApp, filiale de Meta.
La Commission soupçonne que de nouvelles règles d'intégration des "chatbots" (robots conversationnels) faisant appel à l'IA dans WhatsApp, annoncées par Meta, puissent priver d'accès les fournisseurs tiers de services d'intelligence artificielle, au bénéfice de son propre service, baptisé Meta AI.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le milliardaire tchèque Andrej Babis nommé Premier ministre
Le milliardaire trumpiste Andrej Babis a été nommé mardi Premier ministre de la République tchèque, deux mois après des élections législatives remportées par son parti ANO et quatre ans après avoir perdu le pouvoir.
M. Babis, 71 ans, qui avait déjà dirigé le pays de 2017 à 2021, a été officiellement nommé par le président Petr Pavel.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
NHL: Los Angeles s'impose grâce aux assists de Kevin Fiala
Kevin Fiala a largement contribué à la victoire 4-2 de Los Angeles sur la glace de l'Utah Mammoth, lundi en NHL. L'attaquant suisse a délivré deux assists sur les deux premiers buts des Kings.
A Salt Lake City, sa longue passe à destination du Finlandais Joel Armia sur le 2-0 (11e) a été un régal pour les yeux. Deux minutes plus tôt, il avait déjà mis sur orbite le Suédois Adrian Kempe pour l'ouverture du score de LA.
Ce n'est que la deuxième fois de la saison que Fiala marque deux points en un seul match. Très régulier, le Saint-Gallois affiche toutefois un excellent bilan personnel avec 10 buts et 11 assists en 28 matches, ce qui le place au deuxième rang des compteurs de LA, juste derrière Kempe (10 buts, 16 assists).
Moser battu
Janis Moser a quant à lui connu moins de succès avec Tampa Bay. Le Lightning a encaissé une quatrième défaite consécutive à Toronto (2-0) avec le défenseur seelandais sur la glace. Avant cette série, les Floridiens avaient gagné sept fois de suite.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Renault va construire des véhicules électriques pour Ford en France
Les constructeurs Renault et Ford ont noué un partenariat pour le développement et la production, sur un site du groupe français dans le nord de la France, de deux voitures électriques Ford destinées au marché européen.
L'accord inclut aussi une lettre d'intention dans le secteur des véhicules utilitaires légers (VUL) en Europe, pour éventuellement "développer et fabriquer ensemble certains VUL Renault et Ford", selon un communiqué publié mardi.
Ce "partenariat stratégique historique" vise à "élargir l'offre de véhicules électriques de Ford destinée aux clients européens" et à renforcer "considérablement la compétitivité des deux entreprises dans un paysage automobile européen en pleine mutation", ajoutent-ils.
Ces deux véhicules Ford, dont le premier est attendu en concessions début 2028, seront "conçus par Ford et développés avec Renault Group". Ils seront "basés sur la plateforme Ampère", filiale électrique de Renault, et produits par le constructeur dans le nord de la France, bénéficiant ainsi des "atouts et de la compétitivité de Renault Group en matière de véhicules électriques", selon le communiqué.
Ils "marquent la première étape d'une nouvelle offensive produit ambitieuse de Ford en Europe", ajoute-t-il.
"Nous sommes très fiers qu'un constructeur aussi iconique nous ait choisi. Cela nous conforte dans l'idée que notre vision d'un développement à grande échelle de véhicules électriques compétitifs en Europe est sur la bonne voie", a déclaré François Provost, directeur général du constructeur français, lors d'un point avec la presse.
Ford a choisi Renault car le groupe français "a une longue expérience" en matière de compétitivité et de coûts dans le segment des véhicules de segment B (les voitures compactes), "un segment propre à l'Europe", selon Jim Farley, le PDG du groupe américain.
Aucun projet de fusion
"A la différence de nos concurrents, nous sommes engagés en Europe et nous pensons que Renault a prouvé ses capacités en termes d'échelles et de coûts", a-t-il souligné. Et "nous sommes tous deux confiants dans nos capacités à différencier nos marques".
Ces deux véhicules seront "immanquablement des Ford" et "nous allons travailler avec les équipes d'Ampère pour que cela soit compatible avec la plateforme" où ils seront produits, a précisé Jim Baumbick, à la tête de Ford Europe.
Les dirigeants de Ford et de Renault l'ont martelé: coopérer et partager les ressources est le seul moyen de réduire les coûts de cette industrie très gourmande en capital et de faire face à la concurrence chinoise.
"La menace de la concurrence chinoise en Europe est significative", elle "nous oblige à investir de manière efficace" et à savoir "les niveaux de coûts à atteindre pour produire des véhicules abordables", a souligné Jim Baumbick, de Ford Europe.
Jim Farley a évoqué les tensions qui parcourent actuellement le marché européen de l'automobile, bousculé entre les appels à sauvegarder la production sur le sol européen, les règlementations de Bruxelles en matière de décarbonation et les achats des clients. "Nous n'avons pas une configuration qui puisse continuer ainsi", selon lui.
A 10 ans de l'objectif fixé par l'Union européenne pour la fin des ventes de voitures thermiques neuves, l'électrification progresse à un rythme plus lent que prévu, dans un marché européen qui n'a pas retrouvé son niveau d'avant Covid et voit émerger la concurrence chinoise.
Ce partenariat n'est en aucun cas un préalable à une fusion, ont précisé d'une seule voix les patrons des deux constructeurs.
"Nous sommes un groupe profondément indépendant" et "il n'y a aucune discussion sur ce sujet", a déclaré le patron du groupe américain fondé en 1903 et dont le siège social se trouve dans la banlieue de Détroit (Michigan).
"On peut faire beaucoup de choses sans penser forcément à un avenir commun. Et nous n'avons pas un tel projet", a renchéri François Provost.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
-
VaudIl y a 24 heures
Cambriolage avec violence à Yverdon: trois personnes arrêtées
-
SuisseIl y a 2 jours
Un motocycliste se tue sur l'A1 dans le canton de Vaud
-
LausanneIl y a 3 jours
Inauguration officielle du nouveau garage-dépôt des MBC à Denges
-
VaudIl y a 2 jours
Fresque en Lego: Yverdon-les-Bains s'empare du record du monde
-
LausanneIl y a 2 jours
Une voiture percute la vitrine d'un tea-room à Lausanne
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Saint Nicolas attire plus de 30'000 personnes à Fribourg
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne: Quelque 500 manifestants dans un cortège antiraciste
-
LausanneIl y a 23 heures
Avec le nouvel horaire, Renens sera reliée directement à Epalinges



C'est l'Ajoie
3 octobre 2021 à 09:20
Avant de faire des commentaires acerbes sur les cavaliers et leurs montures, avez-vous pris le temps de suivre les épreuves ? De prendre du recul par rapport à toutes les épreuves sportives qui se sont déroulées depuis quelques mois ? Aux déboires que les cavaliers ont subi (perte de chevaux) ? Etre cavalier, c'est composer avec un animal, un être vivant qui a son caractère, ses craintes, ses peurs alors avant d'écrire n'importe quoi, écoutez les commentateurs en direct, à défaut de savoir monter, vous apprendrez la retenue dans vos écrits et bravo à l'équipe suisse présente à Barcelone !