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Culture

Adele sort son nouveau single, "Easy on me", un titre très "moi"

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La chanteuse Adele sort vendredi son single "Easy on me" (archives). (© KEYSTONE/AP Invision/JORDAN STRAUSS)

Adele sort vendredi son single "Easy on me". C'est un titre qui porte la marque de la diva de la pop, avant la sortie le 19 novembre de son très attendu album "30", le premier en six ans.

Le choix du single s'est fait entre trois titres, "très différents", a raconté Adele vendredi sur les ondes de la BBC, "Finalement, on a choisi 'Easy on me' parce qu'il a cette envolée de choeurs", que "tout le monde va entendre". C'est une chanson "très 'moi'", a-t-elle poursuivi, "après une si longue absence, c'est probablement ce que les gens attendaient le plus de mes chansons".

"C'est la première chanson que j'ai écrite de l'album, c'est magnifique qu'elle devienne le premier single", a-t-elle ajouté. Quid d'une éventuelle tournée? A ce stade, l'artiste répond qu'elle n'a pas de tels projets, à cause de la pandémie.

Disque-thérapie

Traumatisée par l'annulation en 2017 de ses deux derniers concerts au stade londonien de Wembley, en raison d'un problème aux cordes vocales, la chanteuse ne "veut plus rien annuler". La Londonienne exilée à Los Angeles s'est récemment livrée longuement dans le magazine Vogue pour dire à quel point ce disque fut cathartique.

"A 30 ans, ma vie s'est effondrée sans prévenir", a ainsi confié Adele. "J'ai l'impression que cet album est celui de l'auto-destruction, puis de l'auto-réflexion et de l'auto-rédemption". C'est pour répondre aux nombreuses questions de son fils Angelo, bientôt neuf ans, sur son récent divorce, et la blessure résultante, qu'est notamment né ce disque-thérapie.

La chanteuse aux 15 grammies, également oscarisée pour la B.O. du James Bond "Skyfall", a par ailleurs expliqué avoir perdu quelque 45 kilos en devenant accro à l'exercice. "Il ne s'est jamais agi de perdre du poids, mais de devenir forte et de me donner le plus de temps possible chaque jour loin de mon téléphone".

"Je dois me préparer à devenir célèbre à nouveau", a-t-elle encore glissé dans Vogue, "ce que, comme tout le monde le sait, je n'aime pas être".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Baukultur Festival: célébrer la transformation du bâti à Lausanne

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Un nouveau festival tout public dédié à la culture du bâti, le Baukultur Festival, va présenter différents projets de transformation du 12 au 16 novembre à Plateforme 10. (© Baukultur)

A l'occasion de ses 150 ans, la revue Tracés - espazium lance un nouveau festival tout public dédié à la culture du bâti. Intitulé Baukultur Festival - "Tout se transforme!", l'événement investira Plateforme 10 à Lausanne du 12 au 16 novembre. Sept installations et sept expositions y exploreront la transformation de la matière et du patrimoine avec des techniques innovantes ou traditionnelles.

En Suisse, environ 5000 bâtiments sont démolis chaque année et 80% des déchets proviennent du secteur de la construction. Face à ce constat et en partenariat avec le Mudac, le Baukultur Festival met en lumière des pistes concrètes pour construire autrement et transformer l'existant au lieu de démolir et reconstruire.

Le 12 novembre, le public pourra assister à des démonstrations de construction utilisant des techniques anciennes (pisé, chaux) et innovantes (terre compactée, mycélium). Il pourra observer et participer à certaines étapes, telles qu'extinction de la chaux vive, pisé, pressage de blocs de terre crue.

Un pavillon en dalles de béton recomposées, conçu par le laboratoire SXL de l’EPFL, sera monté en direct. Le 15 novembre dans l'après-midi, place sera faite aux visites guidées et démonstrations.

Transformations et reconversions

Dans la galerie Signal-L, sept expositions présenteront des projets de transformation développés par des architectes, chercheurs et étudiants de la HES Fribourg et de l'EPFL: rivières remises à ciel ouvert, bureaux convertis en logements, infrastructures routières devenues parcs urbains.

La revue Tracés elle présentera une dizaine de reconversions exemplaires récemment réalisées en Suisse: une usine transformée en crèche, un silo en hôtel ou encore un entrepôt de vin en logements. "La preuve que rien ne se perd, tout se transforme", concluent les organisateurs.

Issu de la Déclaration de Davos (2018), le concept de Baukultur/Culture du bâti réunit l'ensemble des acteurs de l'environnement construit: architectes, ingénieurs, urbanistes, paysagistes, entreprises, chercheurs et spécialistes du patrimoine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Première mondiale à Genève de la série suisse La linea della palma

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Une scène de la série "La linea della palma" du réalisateur tessinois Fulvio Bernasconi. (© ©hugofilm features/RSI)

La série suisse "La Linea della palma" de Fulvio Bernasconi a été présentée en première mondiale jeudi soir au Festival international du film de Genève (GIFF). Keystone-ATS s'est entretenu avec le réalisateur tessinois.

La série raconte l'histoire d'une journaliste, Anna, qui mène l'enquête après avoir découvert les liens de son père avec un tableau volé en 1969. Il s'agit du tableau de la "Nativité", du Caravage, qui a réellement été dérobé dans l'oratoire San Lorenzo de Palerme en Sicile.

Anna, dont le rôle est campé par l'actrice italienne Gaia Messerklinger, va au long des épisodes tenter de résoudre la disparition de cette oeuvre ainsi que celle de son père. Une entreprise non sans risque, la mafia sicilienne étant liée à l'affaire.

Scènes de tournage à Lugano

Le fameux tableau serait passé par Lugano dans la série. "Il s'agit bien sûr d'une hypothèse", explique Fulvio Bernasconi. Le Tessinois a réalisé les six épisodes de la série écrite par Thomas Ritter, Maria Roselli et Mattia Lento.

La ville tessinoise - dont M. Bernasconi, aujourd'hui basé à Genève, est originaire - a été le théâtre d'une grande partie du tournage. Une expérience que le réalisateur décrit comme "agréable et amusante". Sur les 66 jours de tournage, 55 ont eu lieu au Tessin. La série se déroule également en Sicile, à Milan et à Côme.

Profondeur des personnages

M. Bernasconi, qui a réalisé de nombreux documentaires et films de fiction, est très attaché au développement des personnages complexes et réalistes. Le format de la série a permis "plus de profondeur dans l'étude et le dévoilement des personnages".

Anna en particulier présente une certaine dualité de par son rôle de journaliste et son histoire personnelle. "Ce conflit psychologique, voire éthique, traverse et, à mon avis, structure sémantiquement toute la série", souligne le réalisateur.

Cette tension se traduit à l'écran par des astuces techniques comme un retournement de la caméra lorsque dès le premier épisode Anna apprend que son père disparu depuis plus de 30 ans a été retrouvé mort.

Recherche de la vérité

Pour le Tessinois, la recherche de la vérité constitue le thème profond de la série. Cette vérité a un "pouvoir, disons salvateur, thaumaturgique", déclare-t-il. Avec son passé de documentariste, M. Bernasconi cherche constamment à "mettre en scène une image du monde réaliste".

Ces dernières années, il s'est surtout consacré aux séries, parmi lesquelles "Quartier des Banques", qui a connu un grand succès. "C'est peut-être un peu triste à dire, mais les séries aujourd'hui sont peut-être plus importantes que le cinéma, car elles touchent plus de monde".

Des acteurs tessinois dans la distribution

Côté distribution, on trouve outre l'italienne Gaia Messerklinger, la germano-suisse Esther Gemsch ainsi que sept acteurs tessinois dans les rôles secondaires.

La série est produite par Hugofilm Features, basée à Zurich. RSI, Arte, Indiana Production, basée à Milan et Central Productions, basée à Lugano sont coproducteurs. Le but est de faire voyager la série hors des frontières, en tout cas en France et en Allemagne grâce à Arte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Mudac à Lausanne: la tapisserie comme manifeste politique et social

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L'artiste Goshka Macuga participe à la nouvelle exposition du mudac à Lausanne, "Tisser son temps", qui confronte tapisseries anciennes et contemporaines. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le mudac et la Fondation Toms Pauli présentent "Tisser son temps". Cette exposition, consacrée à la tapisserie comme "vecteur de discours sociaux et politiques", confronte oeuvres anciennes et contemporaines. A découvrir dès vendredi et jusqu'au 8 mars.

La tapisserie a toujours été un puissant outil de narration et de témoignage. De l'époque médiévale aux créations contemporaines, elle incarne un espace de dialogue entre les aspirations collectives, les récits historiques et les enjeux actuels.

"Tisser son temps" réunit 23 oeuvres monumentales. Elle confronte trois corpus, deux contemporains et un historique, ce dernier issu de l'importante collection Toms Pauli, a relaté Marco Costantini, directeur du mudac.

Propagande d'alors

Ces tapisseries flamandes, tissées entre 1660 et 1725 dans les principaux ateliers bruxellois, illustrent les grands thèmes de l'histoire de la tapisserie: Histoire de Scipion l'Africain, celle des empereurs Titus et Vespasien et L'art de la guerre, a poursuivi Magali Junet, directrice de la Fondations Toms Pauli.

Ces batailles légendaires et mythiques de l'Antiquité romaine et du siècle de Louis XIV constituaient "la propagande d'alors". Elles sont exceptionnelles par leur composition, la finesse de leur tissage et leur taille monumentale. Deux d'entre elles sont montrées pour la première fois au public, a souligné M. Costantini.

Critiques acerbes

Les créations contemporaines signées Goshka Macuga et Grayson Perry répondent avec force et intérêt à ces tapisseries historiques. Leurs séries telles "Of what is, that it is, of what is not, that it is not" de l'artiste polonaise et "The Vanity of Small Differences" de l'artiste britannique, sont des critiques acerbes de la société de consommation, de la globalisation, des représentations des enjeux de pouvoirs politiques, sociétaux, mais aussi culturels.

Pour l'exposition, Goshka Macuga a notamment créé une tapisserie répondant à l'historique Arche de Noé également présentée dans l'exposition. Elle a imaginé une scène tissée de proche fin du monde, un temps suspendu entre menace nucléaire et tsunami vengeur. Intitulée "Ark of No", cette tapisserie a valeur de constat, de mise en garde et de déclaration universelle, en référence aux actuels cataclysmes socio-politiques internationaux.

Drames banals

Les tapisseries de Grayson Perry s'inspirent, elles, d'une forme d'art traditionnellement associée aux hautes sphères de la société - représentations de mythes classiques, scènes historiques et religieuses, batailles épiques. Elles jouent avec l'idée d'utiliser cet art allégorique ancien pour rehausser les drames banals de la vie britannique moderne. La politique, le consumérisme, l'histoire et l'histoire de l’art sont liés à l'oeuvre (sujet et support).

Cette confrontation d'oeuvres anciennes et contemporaines met en lumière la force intemporelle de la tapisserie: un langage visuel capable de transmettre des messages complexes et de favoriser la réflexion sur des questions universelles.

www.mudac.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Au cimetière près de Jim Morrison: Paris lance un tirage au sort

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Des milliers de visiteurs viennent chaque année sur la tombe de Jim Morrison au Père-Lachaise à Paris. Désormais, on pourra reposer pour l'Eternité à ses côtés, sur tirage au sort (Archives).. (© KEYSTONE/AP/MICHEL EULER)

La ville de Paris a lancé cette semaine un tirage au sort inédit qui offrira aux heureux gagnants un repos éternel dans des tombes patrimoniales à l'abandon, en échange de leur restauration.

Le patrimoine des cimetières parisiens compte 634'000 concessions, mais reposer près de Jim Morrison au Père-Lachaise ou de la célèbre écrivaine Simone de Beauvoir à Montparnasse restait jusqu'ici un voeu pieux, les cimetières historiques étant saturés depuis le début du XXe siècle.

Et pourtant, ces lieux regorgent de sépultures à l'abandon que leur valeur patrimoniale empêche de détruire.

Depuis lundi, la mairie propose trente monuments à la vente sur tirage au sort: 10 au Père-Lachaise, 10 à Montparnasse et 10 à Montmartre.

Signe de l'intérêt, "dès les 24 premières heures on a eu 1000 clics sur les dossiers de candidature", a indiqué à l'AFP Paul Simondon, adjoint à la maire de Paris Anne Hidalgo chargé des affaires funéraires.

Les candidats doivent "fournir des devis d'entreprises de marbrerie spécialisées pour montrer qu'ils connaissent le coût de la rénovation, afin qu'il n'y ait pas de surprise", a expliqué l'élu.

Réflexion pour étendre le dispositif

Si les conditions de restauration et d'achat ne sont pas remplies, "la vente du monument est annulée et l'acquéreur perd son investissement", prévient la Ville.

Ce mécanisme de restauration permet "pour la première fois aux familles d'anticiper l'achat d'une concession intramuros", fait valoir Paul Simondon.

Le dispositif a été selon l'adjoint "validé par les services de l'Etat, permettant de lier l'achat du monument, relevant du domaine privé, à l'obtention de la concession publique".

Ce premier tirage au sort constitue un test et la mairie réfléchit à étendre le dispositif, a ajouté Paul Simondon, soulignant l'"intérêt écologique" du réemploi des monuments funéraires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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