Rejoignez-nous

Culture

Fréquentation en hausse pour le Musée Jenisch à Vevey

Publié

,

le

Le Musée Jenisch de Vevey a enregistré une forte hausse de fréquentation l'an dernier. (© Keystone/NOEMI CINELLI)

Malgré la crise sanitaire et deux mois de fermeture, le Musée Jenisch de Vevey (VD) a connu une fréquentation en forte hausse en 2021. Il a accueilli 21'792 visiteurs, en hausse de 34% par rapport à 2020 et de 58% comparé à 2019.

Il faut remonter à 2002 pour retrouver une telle fréquentation (22'300 visiteurs mais avec 12 mois d'ouverture, contre 10 en 2021).

Les expositions ont drainé un vaste public, tout comme des événements tels que la Nuit des musées, En famille aux musées ou encore les Journées des arts graphiques, indique jeudi le musée veveysan dans un communiqué.

Inauguré en 1897, le Musée Jenisch célèbre cette année ses 125 ans. Une grande fête est prévue le 8 octobre avec des concerts, spectacles et diverses animations.

Pour les mois à venir, le Musée Jenisch annonce déjà l'exposition "Art cruel", qui interrogera le rapport des artistes à la représentation de la cruauté. La Fondation Oskar Kokoschka invitera aussi à partager les nombreux voyages de l'artiste. Quant au Cabinet cantonal des estampes, il proposera de porter "un regard neuf sur l'estampe contemporaine helvétique."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

Montreux: la statue de Freddie Mercury a déménagé

Publié

le

Nouvel emplacement provisoire pour la statue de Freddie Mercury. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La statue montreusienne de Freddie Mercury a déménagé jeudi en fin de matinée. Ce déplacement temporaire est nécessaire pour permettre l'installation de la scène principale du Montreux Jazz Festival, qui doit lui-même être relocalisé en raison des travaux du centre des congrès.

La statue se trouve désormais dans les jardins de la Rouvenaz, situés à quelques mètres de son emplacement habituel. Elle retrouvera sa place originale à la fin du festival.

La statue en bronze de Freddie Mercury (1946-1991) orne la promenade des quais de Montreux depuis 1996. Elle rend hommage au chanteur du groupe Queen, qui a longtemps fréquenté la ville de la Riviera pour y vivre et enregistrer des morceaux.

Régulièrement fleurie par des fans, la statue représente Freddie Mercury lors d'un concert à Wembley en 1986, dans une posture devenue légendaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Deux créations et un classique au programme d'été du Béjart Ballet

Publié

le

Giorgio Madia (à gauche) et Valentina Turcu (au centre) entourent le directeur artistique a.i. du Béjart Ballet Lausanne (BBL) Julien Favreau. En arrière-plan, les assistants, Tamas Darai et Adriana Mortelliti et les danseurs Oscar Chacon, Jasmine Cammarota, Federico Matetich et Antoine Le Moal. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Pour son programme d'été au Théâtre de Beaulieu (14-20 juin), le Béjart Ballet Lausanne (BBL) propose "Hamlet" et "Rhapsody in Blue", deux créations en première mondiale. Il y présentera aussi le célèbre "Boléro", le ballet signature de Maurice Béjart.

"J'avais à coeur de présenter ces deux créations et le Boléro dans le studio 4 du BBL, notre espace de travail au quotidien, pour ouvrir la compagnie vers une vraie communication", a déclaré jeudi aux médias Julien Favreau, directeur artistique ad intérim après le licenciement en février dernier de Gil Roman. Il était pour l'occasion entouré des chorégraphes, de leurs assistants et de quatre danseuses et danseurs.

Ancienne du BBL, la Slovène Valentina Turcu signe le ballet "Hamlet", inspiré de la célébrissime pièce de William Shakespeare, portant sur la folie humaine, la passion et "la famille qui vit un enfer". "Ces thèmes nous obsèdent depuis 400 ans déjà, j'ai voulu en faire une version actualisée", explique-t-elle, tout en observant que l'oeuvre "va comme un gant aux danseuses et danseurs du BBL".

"L'art de la danse permet d'atteindre un niveau métaphysique inaccessible au théâtre classique", ajoute la chorégraphe, également active dans le théâtre. Ancienne élève de l'Ecole-atelier Rudra Béjart, elle se réjouit de ce "retour aux sources" et dédie sa création à son "père artistique Maurice Béjart", encore "tellement présent".

Liberté et plaisir de danser

Comme Valentina Turcu, l'Italien Giorgio Madia a également dansé au BBL avant de passer à la chorégraphie. Pour le programme d'été, il a imaginé le ballet "Rhapsody in Blue" sur la musique de George Gershwin. Selon ses termes, il s'agit d'un ballet abstrait, "même si Maurice dirait que ce n'est pas possible, vu qu'il y a des corps sur scène".

"Comme Gershwin, qui a décidé il y a 100 ans qu'il ne voulait pas suivre de règles pour composer son oeuvre, j'ai eu envie de créer une chorégraphie sans règles. Je voulais voir la compagnie danser et se défoncer avec le plaisir de danser", commente-t-il.

Ambiance améliorée

Interrogés sur l'atmosphère au sein du BBL depuis le licenciement de Gil Roman, les danseurs présents font état d'une "très bonne ambiance générale". "Les choses sont plus claires, on se sent mieux, plus soutenus", témoigne Jasmine Cammarota. "On a vécu une forme de choc qui nous menés à plus nous responsabiliser dans notre rôle de danseurs. Pendant les tournées, on se regarde et on se corrige les uns les autres", renchérit Antoine Le Moal.

De son côté, Julien Favreau tire un bilan "plutôt positif" de ses débuts à la direction artistique ad intérim qu'il occupe depuis le 28 février. Les spectacles et les tournées se sont poursuivis avec succès, note-t-il. "Depuis deux mois, je suis sur scène mais aussi beaucoup dans la salle. Quand je fais une correction et que je vois que les danseurs l'appliquent, je suis très touché", sourit-il.

Défi qui tombe à pic

Le Français, danseur depuis 30 ans au sein du BBL, se dit "ravi, enchanté et motivé par ce challenge" qui lui donne envie de s'"investir encore plus". Qui plus est "cette mission tombe à pic" à ce stade de sa carrière. Il ne cache pas sa volonté de poursuivre à la direction artistique. "Je danse encore le Boléro, mais ce sera bientôt mon dernier, il faut laisser la place aux jeunes."

Julien Favreau précise que si le BBL ne collabore plus avec Gil Roman, la collaboration avec la Fondation Maurice Béjart, détentrice des droits de l'oeuvre du chorégraphe et présidée par Gil Roman, est "très bonne". Il souligne encore que la mise sur pied des soirées de juin, initiées par l'ancien directeur artistique, est sa façon et celle du BBL de lui "rendre hommage" en tant qu'artiste.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Memphis : la vente de la propriété du "King" est suspendue

Publié

le

Graceland, la maison d'Elvis Presley, reçoit des milliers de visiteurs chaque année. Sa vente vient d'être bloquée par la petite-fille du King. (© KEYSTONE/EPA/TANNEN MAURY)

L'héritage du "King" continue de défrayer la chronique. La petite-fille d'Elvis Presley est parvenue mercredi à bloquer temporairement la vente de "Graceland", la propriété mondialement célèbre du chanteur à Memphis.

Un juge du Tennessee, dans le sud des Etats-Unis, a ordonné la suspension de la mise aux enchères de Graceland, à la demande des représentants de l'actrice Riley Keough, petite-fille d'Elvis et Priscilla Presley et fille de feu Lisa Marie Presley.

La vente devait avoir lieu jeudi, mais Riley Keough avait déposé plainte pour l'empêcher. Ce rebondissement survient un an après des polémiques autour du testament de la fille de l'icône du rock'n'roll.

La mise en vente de la propriété, devenue musée et important lieu de pèlerinage pour les inconditionnels de la légende du rock'n'roll, était demandée par la société Naussany Investments & Private Lending. Celle-ci assure que Lisa Marie Presley l'avait mise en garantie d'un prêt de 3,8 millions de dollars contracté auprès d'elle en 2018.

Les documents seraient des faux

Mais Riley Keough, 34 ans, affirme dans sa plainte déposée mi-mai que ces documents de prêt sont des faux.

Le juge a indiqué qu'il suspendait la mise en vente jusqu'à ce qu'un procès statue sur l'authenticité des documents.

Ce "bien est considéré comme unique par la loi du Tennessee et, de ce fait, sa perte serait considérée comme un dommage irréparable", a dit le juge.

La décision a été saluée par l'entreprise Elvis Presley Enterprises Inc., qui gère Graceland.

"Le tribunal a clairement fait apparaître que les documents ne sont pas valides", a dit la société dans un communiqué. "Il n'y aura pas de vente".

"Graceland continuera, comme depuis 42 ans, à faire en sorte que les fans d'Elvis du monde entier profitent d'une expérience de première classe lorsqu'il visitent cette demeure emblématique", a-t-elle ajouté.

C'est dans cette maison que le célèbre chanteur avait été retrouvé inconscient en août 1977, avant que sa mort, à 42 ans, ne soit constatée à l'hôpital peu après.

Lisa Marie Presley, qui était l'héritière du "King", est décédée en janvier 2023.

Son testament avait été contesté par sa mère Priscilla Presley, qui disait en avoir été évincé au bénéfice de sa petite-fille Riley Keough sans que ce changement ne lui ait été présenté du vivant de sa fille.

Un compromis avait été trouvé entre les parties familiales en mai 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Une guitare du bassiste des Who mise aux enchères à Lyon

Publié

le

Le rockeur britannique des Who, John Entwistle (1944-2002), chez lui avec sa mère Maud, dans les années 1960. Une basse spécialement dessinée par et pour lui est vendue aux enchères à Lyon. (© Keystone/EPA PA/GENESIS PUBLICATIONS)

Les Who n'ont pas fracassé toutes leurs guitares : une basse spécialement dessinée par et pour le rockeur britannique John Entwistle sera vendue aux enchères jeudi à Lyon. La valeur de l'instrument est estimée entre 12'000 et 15'000 francs.

Il s'agit d'"un prototype" conçu en 1986 par le luthier allemand Warwick "à la demande de John Entwistle qui l'a dessiné", explique le commissaire-priseur Etienne de Baecque. Ce modèle Buzzard, dont la forme rappelle celle d'une buse, a ensuite été produit en série limitée.

Le premier exemplaire avait été présenté par le bassiste lors de l'inauguration en 1988 à Lyon d'un magasin spécialisé "Guitar Center", qui a disparu depuis. Le bassiste des Who avait fait une démonstration avant d'offrir la guitare, signée, à un collectionneur lyonnais très impliqué dans l'univers de la musique.

Celui-ci l'avait conservée jusqu'ici mais a décidé de la vendre avec d'autres pièces de sa collection.

"Les collectionneurs sont un peu fétichistes"

Depuis l'annonce de la vente, cette guitare à quatre cordes suscite "beaucoup d'intérêt du monde entier", selon Me de Baecque. "Les collectionneurs sont un peu fétichistes, qu'elle soit datée et signée les attire", dit-il. "On rêve toujours un peu avec ces objets-là..."

"Les Who c'est quand même un groupe mythique", abonde Antoine Stacchetti, venu mercredi admirer les objets exposés au public en prévision de la vente. Longtemps gestionnaire du magasin "Guitar Center", il a assisté à la "démo" de John Entwistle en 1988, "une personnalité marquante".

Quant à sa guitare, "c'est un modèle très spécifique", note-t-il: "elle est immense, ce qui correspondait au gabarit" du rockeur mort en 2002, surnommé "the Ox" (le boeuf) pour sa solide présence sur scène.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Poissons

Humeur fluctuante tout au long de la journée, ce qui pourrait compromettre votre capacité de réflexion, mais cela s'avérera être un atout sur le terrain.

Les Sujets à la Une

X