Économie
PSP récompense ses actionnaires
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Le groupe immobilier PSP a bouclé l'année 2021 sur un résultat net plus que doublé, largement supérieur aux expectatives de la communauté financière. Les actionnaires se verront proposer un dividende légèrement relevé.
Le produit des immeubles s'est étoffé de 4,5% à 309,6 millions de francs, indique mardi la société zougoise dans un communiqué. L'excédent brut d'exploitation (Ebitda), corrigé des effets des placements immobiliers, est quant à lui ressorti à 278,8 millions, en hausse de 2,8% par rapport à 2020.
Dopé par un effet de revalorisation de 464,9 millions de francs, contre 101,6 millions en 2020, le bénéfice net a plus que doublé (+103,7%) pour s'établir à 595,0 millions.
Au bouclement de l'exercice, la valeur du parc immobilier s'établissait à 9,13 milliards de francs, contre 8,58 milliards un an plus tôt. Le taux de vacance en revanche s'est légèrement détérioré à 3,8%, contre 3,0% au bouclement précédent.
Forte de ces résultats, l'entreprise proposera à ses actionnaires lors de la prochaine assemblée le versement d'un dividende de 3,75 francs par action au titre de l'exercice écoulé, contre 3,65 francs pour 2020.
Les chiffres publiés s'inscrivent dans le cadre des projections formulées par les analystes du consensus AWP. Le bénéfice net et le dividende relevé ont cependant dépassé les projections les plus optimistes.
Pour 2022, la direction de PSP table sur un Ebitda hors revalorisation autour de 285 millions de francs, et un taux de vacance "inférieur à 4%".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Italie: la production industrielle repart à la baisse en mai
La production industrielle en Italie, deuxième puissance manufacturière d'Europe, est repartie à la baisse en mai, -0,7% sur un mois, après une hausse surprise en avril de 1%, a indiqué jeudi l'Institut national des statistiques (Istat).
Sur un an la baisse est de 0,9% "et elle concerne tous les principaux secteurs industriels, à part l'énergie", ajoute l'Istat dans son commentaire.
Le secteur des produits pétroliers raffinés augmente de 6,1%, de même que la fourniture d'énergie électrique et de gaz, +4,7%, tandis que la production de moyens de transport baisse (-5,6%) ainsi que celle de produits pharmaceutiques (-5,2%) et de produits chimiques (-4,0%).
Sur l'ensemble de l'année 2024, la production industrielle en Italie avait chuté de 3,5%.
L'Italie a connu une croissance du PIB de 0,7% en 2024, nettement inférieure aux prévisions du gouvernement de Giorgia Meloni, qui avait tablé sur une hausse de 1%.
L'Istat, comme le gouvernement, s'attend à une croissance du PIB encore plus faible en 2025, de 0,6%, l'activité économique étant fortement touchée par la guerre commerciale entamée par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Nouveau sommet pour la Bourse de Londres, malgré le cuivre
Le FTSE 100, principal indice de la Bourse de Londres, s'est hissé jeudi matin peu après l'ouverture à un nouveau record, porté par l'optimisme global des marchés sur les négociations commerciales UE-USA et les inquiétudes sur le cuivre dopant ses valeurs minières.
Vers 10h10, le FTSE 100 grimpait de 0,95% à 8950,88 points, dépassant son précédent record de 8908,82 points atteint le 3 mars. Il progressait plus vite que le CAC 40 de Paris ou le Dax de Francfort.
Les marchés ont globalement décidé "d'ignorer l'incertitude liée aux droits de douane", ce qui a porté mercredi le géant des puces électroniques Nvidia et le bitcoin a des sommets lors de la séance américaine, remarque Matt Britzman, analyste chez Hargreaves Lansdown.
"Les marchés européens ont suivi le mouvement ce matin", dont la place britannique.
Pour autant, si la place de Londres profite de ce mouvement elle est paradoxalement aussi "portée par des sociétés minières comme Anglo American, Rio Tinto et Glencore", les inquiétudes sur de futurs droits de douane sur le cuivre faisant monter les prix du métal rouge, ajoute Victoria Scholar, analyste chez interactive investor.
Donald Trump a dévoilé mercredi une surtaxe de 50% sur le cuivre importé aux États-Unis à partir du 1er août.
Le marché attend aussi d'être fixé sur le sort de l'Union européenne en matière de droits de douane, et "le fait que les États-Unis continuent de négocier avec l'UE est perçu en Bourse comme un signe de force", selon Jochen Stanzl, analyste chez CMC Markets.
L'objectif de l'UE est dans l'immédiat d'obtenir le maintien des droits de douane appliqués aux produits européens à 10%, au lieu des 20% annoncés début avril, avec des exemptions pour des secteurs clés tels que l'aéronautique, les cosmétiques et les boissons alcoolisées.
Les investisseurs digèrent aussi des nouvelles annonces du président américain sur des droits de douane réciproques pour une nouvelle série de pays, dont le Brésil, surtaxé à 50%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Allemagne : baisse de l'inflation annuelle en juin confirmée à 2,0%
L'inflation en Allemagne a bien reculé en juin, alimentant l'espoir d'un retour durable à la stabilité des prix, selon des chiffres définitifs publiés jeudi.
L'indice des prix à la consommation a progressé de 2,0% sur un an, retrouvant pour la première fois de l'année l'objectif fixé par la Banque centrale européenne pour l'ensemble de la zone euro, a indiqué l'institut de statistiques officielles allemand Destatis.
Le mouvement de désinflation global se poursuit, depuis le pic d'octobre 2022 à 8%, provoqué par la hausse historique des coûts de l'énergie dans le sillage de la guerre en Ukraine.
"Outre la baisse continue des prix de l'énergie (-3,5%), c'est surtout le ralentissement de la hausse des prix alimentaires (+2,0%) qui a contribué à cette évolution", a déclaré Ruth Brand, présidente de Destatis, dans un communiqué.
Les prix des aliments présentent toutefois de fortes disparités : le sucre a vu son prix baisser de près de 29% sur un an, tandis que celui du chocolat a augmenté de 17%, détaille l'Office.
En revanche, la hausse des prix des services, à 3,3% en juin, demeure bien-dessus de l'indice global et reste "un facteur inflationniste", selon Mme Brand.
Sur un mois, l'indice de prix est resté stable (0,0%).
Les prix de l'énergie, réputés parmi les plus élevés en Europe, pourraient encore baisser en Allemagne, mais pas pour tous : début juillet, la coalition du chancelier conservateur Friedrich Merz n'a pas réussi à s'accorder sur une baisse du prix de l'électricité pour les ménages, qui bénéficiera toutefois à l'industrie et à l'agriculture.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Le marché hypothécaire a poursuivi sa croissance en 2024
Le marché hypothécaire a continué d'avancer l'année dernière en Suisse, même si la croissance a été quelque peu plus faible. Les banques cantonales se sont encore taillées la part du lion, alors qu'UBS a enregistré un recul dans ce secteur.
En 2024, le volume total des crédits immobiliers a affiché une hausse de 2,6% à 1271 milliards de francs, selon les chiffres publiés jeudi par le portail Moneypark. Cette progression se situe toutefois quelque peu en dessous des 3% de croissance annuelle moyenne des dix dernières années.
Les banques cantonales ont encore renforcé leur position dominante sur ce marché, enregistrant une croissance des hypothèques de 5% ou de 23,3 milliards de francs, et totalisant une part de marché de 38%, à comparer à +4,6% ou +9,7 milliards pour les établissements Raiffeisen (17% de part de marché). Les banques régionales (+3,7%) et les caisses de pension (+8%) ont également accéléré, alors qu'UBS a enregistré une décrue de 3,4% pour une part de marché de 22%.
Les experts de Moneypark expliquent le recul de la banque aux trois clés par l'effort de consolidation suite au rachat de sa concurrente Credit Suisse en mars 2023 et d'un ajustement des risques.
Cette année, la croissance des volumes hypothécaires devrait accélérer quelque peu sous la barre des 3%, soutenue par la baisse du taux directeur de la Banque nationale suisse (BNS). Cette dernière a en effet raboté en juin son principal taux à 0%, entraînant les taux hypothécaires à la baisse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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