International
La Corée du Nord tire un "missile balistique"
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/03/pyongyang-a-deja-procede-a-plusieurs-essais-darmes-depuis-le-debut-de-lannee-archives-1000x600.jpg&description=La Corée du Nord tire un "missile balistique"', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La Corée du Nord a lancé samedi un projectile, présenté comme un "missile balistique" par Séoul. Elle poursuit ainsi sa série d'essais d'armement à quatre jours de la présidentielle en Corée du Sud.
Pyongyang a procédé à sept essais d'armes en janvier, y compris de son missile le plus puissant depuis 2017, avant de suspendre ses tirs pendant les Jeux olympiques d'hiver de Pékin.
Le 28 février, la Corée du Nord a annoncé avoir procédé à un essai de "grande importance" pour le développement d'un satellite de reconnaissance, Séoul parlant de son côté d'un missile balistique.
En dépit de sanctions internationales draconiennes, Pyongyang a jusqu'à présent rejeté toutes les offres de dialogue depuis l'échec en 2019 des négociations entre le dirigeant Kim Yong Un et le président américain de l'époque Donald Trump. Le pays a depuis redoublé d'efforts pour moderniser son armée, menaçant en janvier de rompre le moratoire qu'il s'est auto-imposé sur les essais nucléaires et de missiles balistiques intercontinentaux.
"Mécontentement"
L'armée sud-coréenne a déclaré samedi avoir détecté "un missile balistique lancé en direction de l'est depuis la région de Sunan vers 08h48 (00h48 en Suisse)".
Le ministre japonais de la Défense, Nobuo Kishi a affirmé que le missile a volé "à une altitude maximale d'environ 550 kilomètres et à une distance d'environ 300 kilomètres". Il a déploré "l'extrême fréquence" des essais d'armes par Pyongyang depuis le début de l'année, estimant qu'ils constituent "une menace pour la région... et sont absolument inacceptables."
Cet essai intervient quatre jours avant l'élection présidentielle en Corée du Sud, Pyongyang semblant ainsi vouloir faire part de son "mécontentement" à l'égard du président sortant Moon Jae-in, selon les analystes.
"On dirait que Kim Jong Un a le sentiment que Moon Jae-in n'a pas fait grand-chose après l'échec du sommet de Hanoi" entre Kim Jong Un et Donald Trump en 2019, selon Ahn Chan-il, spécialiste des études nord-coréennes. Pyongyang a clairement "décidé de donner la priorité à son propre programme militaire, indépendamment de ce que pense la Corée du Sud", a-t-il ajouté.
Autres tests attendus
Les analystes estiment que Pyongyang pourrait utiliser la date la plus importante de son calendrier politique, le 15 avril, pour procéder à un test d'armement de grande importance. Cette date marque l'anniversaire (110 ans cette année) de la naissance de Kim Il Sung, fondateur de la Corée du Nord et grand-père de l'actuel dirigeant Kim Jong Un.
Des images satellites récentes suggèrent que le régime nord-coréen prépare un grand défilé militaire pour exhiber ses armes à cette occasion.
"Pyongyang va probablement se concentrer sur les tests de ses satellites de reconnaissance et de ses missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) jusqu'en avril", a déclaré Cheong Seong-chang du Centre d'études sur la Corée du Nord de l'Institut Sejong.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Soudan: l'ONU alerte contre les effets de la détérioration
L'ONU alerte sur les "conséquences désastreuses" de la détérioration des affrontements dans le Darfour Nord et le Kordofan au Soudan. Vendredi à Genève, le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk a demandé aux parties au conflit de protéger les civils.
Les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont lancé dimanche une offensive sur El-Fasher après un long siège. Cette attaque rappelle celle en avril contre un camp de déplacés qui avait fait des centaines de victimes civiles et avait abouti à des violences sexuelles.
Dans l'Etat du Kordofan du Sud, les civils restent piégés au milieu des affrontements entre l'armée et les FSR pour le contrôle de la ville d'al-Debibat. Une attaque imminente est attendue dans une ville du Kordofan du Nord. Des victimes civiles, des enlèvements ou encore des pillages ont été observés, affirme également le Haut-Commissariat.
"Nous savons où va nous mener" une détérioration supplémentaire du conflit, dit le Haut commissaire. Il demande de protéger les civils à "n'importe quel coût", notamment en les laissant quitter les villes où ont lieu les affrontements.
Il a à nouveau appelé les Etats influents à pousser les parties au conflit à honorer le droit international humanitaire (DIH) et à atteindre une solution politique. De même qu'à insister pour que les différents pays n'acheminent plus d'armes au Soudan.
En plus de deux ans de conflit, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées, dont au moins 4300 civils l'année dernière, selon l'ONU. Des régions sont exposées à la famine. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont plus de quatre millions de réfugiés. Au total, 25 millions de personnes sont gravement affamées et 40% de la population a besoin urgemment d'une assistance sanitaire. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Des ministres européens arrivés à Genève pour dialoguer avec l'Iran
Trois ministres européens des Affaires étrangères sont arrivés à Genève pour tenter d'obtenir des garanties de Téhéran sur son programme nucléaire. La rencontre avec leur homologue Abbas Araghchi doit démarrer vendredi après-midi.
Ce format entre la France de Jean-Noël Barrot, l'Allemagne de Johann Wadephul et les Britanniques de David Lammy est fréquent depuis plusieurs années à New York et Genève. Les dernières rencontres, à un niveau souvent inférieur, avaient eu lieu en novembre puis en janvier.
Mais cette réunion, alors que la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas est aussi à Genève, a été précipitée par la guerre entre Israël et l'Iran. Derrière le soutien américain à l'Etat hébreu, les Européens veulent des preuves du caractère civil du dispositif nucléaire iranien.
Et pour Téhéran, derrière les imprécations guerrières de l'ayatollah Ali Khamenei, il faut montrer qu'une porte reste ouverte pour un dialogue. Même si la République islamique veut répondre coup pour coup à l'offensive israélienne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Pétrole: le Brent baisse avec la temporisation de Trump sur l'Iran
Le baril de Brent, principale référence du pétrole, repartait à la baisse vendredi après que Donald Trump a temporisé sur une éventuelle frappe contre l'Iran. Vers 12h15, le prix du baril de Brent, pour livraison en août, perdait 0,4% à 76,87 dollars.
Le président américain a indiqué jeudi qu'il déciderait "au cours des deux prochaines semaines" d'une intervention de son pays aux côtés d'Israël, estimant "substantielle" la possibilité de négociations avec Téhéran. "Cela apaise les craintes d'une attaque imminente et laisse la porte ouverte à une solution diplomatique au conflit", estiment les analystes de DNB Carnegie.
"La hausse des cours du pétrole et de l'essence", qui est "profondément impopulaire auprès des électeurs", est un des facteurs essentiels de l'hésitation du président américain, selon Arne Lohmann Rasmussen de Global Risk Management. Les investisseurs minimisent ainsi la probabilité d'une escalade menant au "cauchemar absolu" du marché pétrolier: la fermeture du détroit d'Ormuz, au large des côtes iraniennes, par lequel transite près de 20% du pétrole mondial, estime l'analyste.
La rencontre entre trois ministres européens et leur homologue iranien vendredi pour tenter d'avancer vers une issue diplomatique à la guerre qui oppose Téhéran à Israël, réduit aussi cette probabilité.
Hausse des exportations iraniennes
L'équivalent américain du Brent, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en juillet, dont c'est le dernier jour de cotation, s'affichait en revanche en hausse de 0,32% à 73,73 dollars. Cette dynamique opposée s'explique par "les baisses les plus importantes des stocks américains depuis près d'un an", estime Han Tan de Nemo.Money.
L'analyste l'explique aussi par la forte hausse du Brent jeudi et par un rattrapage après le jour férié du 19 juin aux Etats-Unis. Par ailleurs, l'or noir iranien ne semble pas amoindri par le conflit, les exportations de pétrole de l'Iran ayant même augmenté, soulignent les analystes de DNB Carnegie.
Citant le site Tanker Tracker, qui suit les expéditions de pétrole brut, les analystes expliquent que le pays a exporté en moyenne 2,33 millions de barils par jour au cours des cinq jours qui ont suivi le début de l'attaque, "une augmentation de 44% par rapport à avant la guerre", ce qui signifie que l'Iran exporte autant de pétrole que possible sur le marché.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
"Une petite pause va me faire du bien", glisse Sinner
Jannik Sinner a jugé qu'une "petite pause" lui ferait "du bien" dans la perspective de Wimbledon. Le no 1 mondial s'est incliné dès le 2e tour du tournoi de Halle jeudi soir face à Alexander Bublik.
"Ce qu'il s'est passé aujourd'hui (jeudi, NDLR), il faut l'accepter", a commenté l'Italien de 23 ans au micro de Sky Sports Italia après sa défaite 3-6 6-3 6-4 contre le Kazakh, 45e joueur mondial. "Je vais avoir quelques jours de pause avant Wimbledon (30 juin-13 juillet) qui vont bien me servir."
Battu en cinq sets en finale de Roland-Garros par son grand rival Carlos Alcaraz (ATP 2) le 8 juin, le triple lauréat en Grand Chelem n'avait eu le temps de passer que quelques jours en famille avant de se soumettre à ses obligations médiatiques à Halle le 15 juin, puis de remporter son premier tour le 17.
Sinner disposera cette fois de plus de dix jours entre sa défaite à Halle, où il était tenant du titre, et son entrée en lice à Wimbledon. "Honnêtement, une petite pause va me faire du bien", a insisté l'Italien aux boucles rousses, qui n'a disputé que quatre tournois cette saison en raison d'une suspension de trois mois négociée avec l'Agence mondiale antidopage après des contrôles positifs à un anabolisant.
Avant sa défaite contre Bublik, Sinner n'avait plus perdu contre un autre joueur qu'Alcaraz depuis août 2024, et ne s'était plus incliné contre un joueur classé hors du top 20 depuis l'été 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 24 heures
Les chauffeurs de bus du VMCV indignés par leur condition de travail
-
SuisseIl y a 2 jours
Vers une fusion entre protection et service civils
-
LausanneIl y a 2 jours
Classes vaudoises 1-2P: des négociations avec le Canton
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Accord significatif entre la Norvège et la Suisse sur le CO2
-
VaudIl y a 3 jours
Le municipal morgien Laurent Pellegrino quitte le PLR
-
CultureIl y a 2 jours
Tom Cruise va recevoir un Oscar d'honneur
-
ÉconomieIl y a 2 jours
La cathédrale de Lausanne bientôt sous une lumière nouvelle
-
InternationalIl y a 3 jours
La compagnie vietnamienne Vietjet Air commande 100 avions Airbus