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Les évacuations de civils de Marioupol ont été interrompues

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Un employé du CICR brandit un drapeau de l'organisation à l'approche de l'usine Azovstal, d'où une centaine de civils ont été évacués dimanche. (© KEYSTONE/AP/International Committee of the Red Cross)

L'Ukraine a dû interrompre lundi l'évacuation des civils depuis Marioupol, alors que les forces russes poursuivent leur offensive sur le Donbass et que les Européens finalisent un projet d'embargo progressif sur le pétrole russe.

Aucun convoi n'est arrivé à Zaporijjia lundi. Lundi soir, un communiqué sur Telegram du régiment Azov, qui participe à la défense de l'aciérie, a affirmé "qu'après l'évacuation partielle des civils du territoire d'Azovstal, l'ennemi continue de tirer sur le territoire de l'usine, y compris des bâtiments où se cachent des civils".

Toute la journée de lundi, les autorités ukrainiennes ont espéré pouvoir reprendre les évacuations de civils depuis Marioupol, entamées ce weekend avec la sortie d'une centaine de personnes de l'immense aciérie Azovstal, dernière poche de résistance ukrainienne de ce port stratégique du sud du Donbass presque entièrement sous contrôle russe.

La logistique pour les accueillir avait été mise en place à Zaporijjia, ville située à quelque 200 km au nord-ouest, avec des véhicules de l'Unicef et d'ONG internationales qui les attendaient sur un parking transformé en point d'accueil pour les réfugiés, a constaté l'AFP.

Dans une vidéo publiée sur la chaîne du régiment Azov de Marioupol, le commandant-adjoint du régiment, Sviatoslav Palamar, a expliqué que la fin cessez-le-feu avait été retardée dans la journée de lundi, et que les véhicules chargés d'évacuer les civils n'étaient arrivés qu'en toute fin d'après-midi.

Les évacuations, qui avaient commencé samedi en coordination entre l'Ukraine, la Russie, l'ONU et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), avaient permis, pour la première fois en deux mois de siège et de bombardements de la ville, d'évacuer "plus de 100 civils" terrés dans les caves de l'aciérie, selon le président Volodymyr Zelensky.

Selon l'armée russe, 57 personnes sont parties vers le nord, vers des territoires occupés par les Russes, et 69 vers des territoires contrôlés par les Ukrainiens. La vice-première ministre ukrainienne, Iryna Verechtchouk, avait cependant rappelé que "des centaines de civils" restaient "bloqués à Azovstal".

9 mai

Depuis le début de l'invasion russe le 24 février, des milliers de civils ont quitté cette grande ville portuaire transformée en champ de ruines, peuplée d'un demi-million d'habitants avant la guerre et où resteraient encore entre 100'000 et 120'000 personnes selon les autorités ukrainiennes.

Les Ukrainiens estiment qu'au moins 20'000 personnes y ont trouvé la mort depuis le début du siège russe début mars.

Dans le reste du Donbass, les forces russes poursuivent leur offensive, avec des combats particulièrement intenses autour d'Izioum, de Lyman et de Roubijné, dont les Russes tentent de "prendre le contrôle pour préparer leur attaque sur Severodonetsk", l'une des grandes villes du Donbass encore contrôlées par Kiev, a indiqué lundi l'état-major ukrainien.

Odessa a subi de nouveaux bombardements. Un adolescent de 15 ans a été tué et une mineure blessée dans une frappe d'un missile russe qui a endommagé un immeuble dans lequel se trouvaient cinq personnes.

La situation "est difficile actuellement", a reconnu le ministère ukrainien de la Défense, tout en se disant "convaincu que nous allons réussir à arrêter et repousser l'ennemi jusqu'au territoire russe", a-t-il affirmé.

A l'approche du 9 mai, date où la Russie commémore en grande pompe la victoire sur l'Allemagne nazie en 1945, le gouverneur de la région de Lougansk a dit s'attendre à "une intensification des bombardements".

Mais à ceux qui pronostiquaient une action militaire russe particulière à cette occasion, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a opposé un démenti. Les militaires russes "n'ajusteront pas artificiellement leurs actions à une quelconque date, y compris le jour de la Victoire", a-t-il déclaré dans un entretien à la chaîne de télévision italienne Mediaset diffusée dimanche.

Référendum sur la région de Kherson

Le ministère ukrainien de la Défense a cependant estimé possible lundi que Moscou profite de l'occasion pour "soulever la question" de l'intégration à la Fédération de Russie des "républiques" prorusses du Donbass, dont Moscou a reconnu l'indépendance juste avant d'envahir l'Ukraine. Ou pour annoncer "la préparation d'un référendum" sur l'indépendance de la région de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, dont les forces russes ont pris le contrôle début mars.

Kiev accuse depuis plusieurs semaines Moscou de vouloir organiser un tel référendum dans la région de Kherson, toute proche de la Crimée, comme cela a été fait par les séparatistes prorusses du Donbass en 2014.

Un responsable russe de Kherson avait annoncé la semaine dernière que le rouble allait être introduit comme monnaie officielle dans la région le 1er mai, afin d'éliminer progressivement l'usage de la monnaie ukrainienne, la hryvnia, un acte d'"annexion" pour Kiev.

Propos "scandaleux" de Lavrov

Interrogé par Mediaset sur les affirmations russes selon lesquelles la guerre vise à "dénazifier" l'Ukraine alors que le président Zelensky est juif, le chef de la diplomatie russe a suscité un tollé en affirmant: "Je peux me tromper, mais Hitler avait aussi du sang juif".

Son homologue israélien Yaïr Lapid a jugé ces propos "scandaleux, impardonnables et une horrible erreur historique", et convoqué l'ambassadeur russe pour "clarifications". Kiev les a qualifiés d'"odieux", et Berlin dénoncé une déclaration "absurde."

L'armée ukrainienne a affirmé par ailleurs avoir détruit avec des drones Bayraktar deux bateaux patrouilleurs russes de type Raptor près de l'île aux Serpents, en mer Noire, devenue symbole de la résistance ukrainienne.

Suédois et Danois de retour à Kiev

Les pays occidentaux, qui ont accéléré leurs livraisons d'armes lourdes pour aider l'Ukraine à résister à l'offensive russe, rouvrent peu à peu leurs ambassades à Kiev, fermées ou déplacées à Lviv, dans l'ouest, au début de l'invasion russe.

Le Danemark et la Suède ont annoncé lundi la réouverture de leurs ambassades à Kiev, en signe de soutien à l'Ukraine contre l'invasion russe.

"Mercredi, l'ambassade de Suède rouvrira à Kiev", a écrit la ministre suédoise des Affaires étrangères Ann Linde sur Twitter. Son homologue danois Jeppe Kofod a, lui, rouvert lundi l'ambassade de son pays dans la capitale ukrainienne lors d'une visite surprise.

Après plusieurs pays européens, les Etats-Unis espèrent "revenir à Kiev d'ici la fin du mois" de mai, a indiqué depuis Lviv la chargée d'affaires américaine Kristina Kvien.

Un calendrier pour se passer du pétrole

Les Européens travaillent de leur côté à durcir leurs sanctions économiques contre Moscou. Les ministres de l'Energie des 27 ont évoqué lundi à Bruxelles un calendrier d'arrêt progressif de leurs importations de pétrole russe, qui représentent 30% de leurs importations de pétrole.

L'UE a à cette occasion réitéré sont refus de payer en roubles ses achats de gaz russe.

Foot: clubs et équipe russes exclus

Le théâtre du Bolchoï à Moscou a annoncé lundi soir le retrait de son affiche des spectacles prévus en mai de deux metteurs en scène ayant quitté la Russie et communiqué publiquement leur opposition à son offensive en Ukraine.

A l'inverse, les clubs russes ne disputeront pas les compétitions européennes de football en 2022-2023, dont la lucrative Ligue des champions, a annoncé lundi l'UEFA, qui a par ailleurs décidé de remplacer la Russie par le Portugal pour l'Euro-2022 féminin cet été (6-31 juillet) en Angleterre.

En bientôt 10 semaines de guerre, plus de 5,4 millions d'Ukrainiens ont quitté leur pays, selon l'ONU, et plus de 7,7 millions ont quitté leur foyer, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Aucun bilan fiable n'est disponible, mais le conflit a déjà fait des milliers de morts, civils et militaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Musk, "déçu" par Trump, quitte son rôle gouvernemental

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Elon Musk et Donald Trump ont été inséparables pendant des semaines après l'investiture du 20 janvier, que ce soit dans le bureau ovale, dans l'avion présidentiel, au conseil des ministres ou sur la pelouse de la Maison-Blanche (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le multimilliardaire Elon Musk a confirmé mercredi qu'il mettait fin à sa mission de réduction de la dépense publique, après quatre mois d'une expérimentation sans précédent. Il avait critiqué peu avant pour la première fois le président américain Donald Trump.

"Alors que ma période prévue en tant qu'employé spécial du gouvernement touche à sa fin, je voudrais remercier le président Donald Trump de m'avoir donné l'occasion de réduire les dépenses inutiles", a écrit l'homme d'affaires sur son réseau social X.

"La mission 'DOGE' [le nom de sa commission à l'efficacité gouvernementale, ndlr] va se renforcer encore à l'avenir pour devenir un mode de vie dans le gouvernement", a affirmé le patron de Tesla, SpaceX et X.

C'est un tout autre ton, beaucoup plus amer, qu'il a adopté sur la chaîne télévisée CBS. "J'ai été déçu de voir ce projet de loi de dépenses massives, franchement, qui augmente le déficit budgétaire", a déclaré Elon Musk dans un entretien dont un extrait a été diffusé mardi soir, en référence à une grande loi économique du président républicain.

Le patron de Tesla et SpaceX a aussi déploré auprès du Washington Post que la commission DOGE soit "en passe de devenir le bouc émissaire pour tout".

Fissure

La "grande et belle loi", telle que l'a baptisée Donald Trump, est en cours d'examen au congrès et a pour objectif de mettre en application certaines promesses de campagne emblématiques, comme la prolongation de gigantesques crédits d'impôt .

Selon une analyse d'une agence parlementaire sans affiliation politique, le texte en l'état entraînerait une hausse du déficit fédéral de 3800 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie.

"Je pense qu'une loi peut être grande ou qu'elle peut être belle. Mais je ne sais pas si elle peut être les deux", a déclaré Elon Musk dans son entretien à CBS News.

Ce commentaire marque la première fissure publique dans une alliance politique proprement extraordinaire, née pendant la campagne électorale de Donald Trump, qu'Elon Musk a généreusement financée, et renforcée pendant les débuts fracassants du second mandat du républicain.

La mission de M. Musk était conçue comme temporaire, son statut d'"employé spécial du gouvernement" étant limité à 130 jours. Il avait annoncé à la fin avril se mettre en retrait pour s'occuper davantage de ses entreprises, notamment Tesla, dont les ventes ont chuté au fur et à mesure que son patron devenait l'une des personnalités les plus clivantes au monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Feux de forêt au Canada: évacuation de 17'000 personnes

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Le Canada est ravagé chaque année par de vastes feux de forêt, comme sur le cliché en Colombie-Britannique en 2023 (archives). (© KEYSTONE/AP The Canadian Press/JOE O'CONNAL)

Plus de 17'000 personnes étaient en cours d'évacuation mercredi dans le Manitoba en raison de feux de forêt, selon les autorités. Cette province du centre du Canada connaît l'un de ses pires débuts de la saison des incendies.

Avec le réchauffement climatique, le Canada est de plus en plus souvent touché par des événements météorologiques extrêmes, notamment des gigantesques incendies ces dernières années. Le pays a connu en 2023 la pire saison des feux de son histoire.

"C'est la plus importante opération d'évacuation au Manitoba de mémoire récente", a annoncé le premier ministre de la province Wab Kinew, évoquant un état d'urgence à l'échelle de la région.

Un avion militaire doit être déployé de manière "imminente" pour aider les habitants des zones les plus reculées à évacuer.

134 feux actifs

Près de 200'000 hectares de forêts ont été touchés au cours du dernier mois, soit le triple de la moyenne totale annuelle dans cette région.

Le Canada enregistre actuellement 134 feux actifs dans plusieurs provinces dont l'Ontario, la Colombie-Britannique, l'Alberta et la Saskatchewan.

Selon les prévisions des autorités, la saison des feux de forêt pourrait être "au-dessus de la normale" dans le centre et l'ouest du Canada en juin et juillet et "bien au-dessus de la moyenne" en août notamment en raison de la sécheresse grave ou extrême qui continue à sévir dans plusieurs endroits.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un tribunal bloque les droits de douane réciproques de Trump

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Depuis son arrivée à la Maison-Blanche en janvier, le président américain Donald Trump a multiplié les annonces de droits de douane sur les produits étrangers (archives). (© KEYSTONE/AP)

Le président américain Donald Trump a subi mercredi un camouflet judiciaire, après qu'un tribunal a bloqué les droits de douane dits "réciproques" imposés depuis avril sur l'ensemble des produits entrant aux Etats-Unis. Selon les juges, il a outrepassé ses pouvoirs.

Les trois magistrats du tribunal de commerce international des Etats-Unis (ITC) ne contestent pas dans leur décision la possibilité pour les Etats-Unis d'augmenter les surtaxes que le pays impose sur ses importations, mais ils estiment que ces dernières relèvent d'une prérogative du congrès.

Ils considèrent que le président ne peut pas invoquer la loi d'urgence économique de 1977, utilisée pour justifier l'usage de décrets présidentiels afin d'instituer ces droits de douane, pour "imposer une surtaxe illimitée sur les produits provenant de quasiment tous les pays", selon le jugement que l'AFP a pu consulter.

Anticonstitutionnel

Pour les juges, les décrets pris depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche "outrepassent les pouvoirs accordés au président dans le cadre de la loi IEEPA [permettant d'agir en cas d'urgence économique, ndlr] pour réguler les importations via l'usage de droits de douane".

Cela concerne à la fois les droits de douane imposés au Canada, au Mexique et à la Chine, accusés de ne pas lutter assez efficacement contre le trafic de fentanyl, et la surtaxe d'au moins 10% imposée le 2 avril sur l'ensemble des produits entrant aux Etats-Unis, et jusqu'à 50% selon les pays d'origine.

La loi IEEPA "permet au président de prendre les sanctions économiques nécessaires en cas d'urgence pour combattre une menace 'extraordinaire et inhabituelle'", a rappelé le tribunal. Mais toute interprétation qui lui délègue "une autorité illimitée sur les droits de douane est anticonstitutionnelle", ont insisté les juges.

Dans une opinion écrite accompagnant la décision, l'un des juges, qui n'est pas nommé, a estimé en effet que cela "constituerait un renoncement du pouvoir législatif au bénéfice d'une autre branche du gouvernement", ce qui est contraire à la constitution américaine.

Décision dénoncée

Dans un communiqué, un porte-parole de la Maison-Blanche a dénoncé une décision de "juges non élus", qui n'ont "pas le pouvoir de décider comment gérer convenablement une urgence nationale".

"Le président Trump a juré de placer les Etats-Unis en premier et le gouvernement est décidé à utiliser tous les leviers du pouvoir exécutif pour répondre à cette crise et restaurer la grandeur américaine", a ajouté ce porte-parole, Kush Desai.

Selon la presse américaine, le gouvernement prévoit de faire appel.

De son côté, le chef de file de la minorité démocrate à la commission des affaires étrangères de la chambre des représentants, Gregory Meeks, a estimé dans un communiqué que la décision venait confirmer que "ces droits de douane sont un abus illégal du pouvoir exécutif".

Le tribunal se prononçait à la suite de deux plaintes déposées ces dernières semaines, l'une par une alliance de douze Etats américains, notamment l'Arizona, l'Oregon, New York et le Minnesota, l'autre par un groupe d'entreprises américaines.

Principale arme commerciale

Ils reprochaient précisément à Donald Trump d'utiliser une loi qui ne lui permettait pas d'utiliser des mesures d'urgence pour imposer des droits de douane, un pouvoir que la constitution américaine attribue au congrès, un argument repris donc par le tribunal.

Depuis son retour à la Maison-Blanche, le milliardaire républicain a utilisé les droits de douane comme principale arme de politique commerciale mais également d'incitation à la réindustrialisation du pays et de moyen de pression sur d'autres pays.

Le 2 avril, il a notamment présenté ses droits de douane dits "réciproques", censés concerner l'ensemble des pays dans le monde, avant de reculer face à la chute des marchés financiers, accordant une pause de 90 jours au-delà de 10% de droits de douane, afin d'ouvrir la porte à des négociations commerciales.

Après une réplique de Pékin, qui a augmenté ses droits de douane en réponse à ceux imposés par Washington, les deux premières puissances économiques mondiales se sont répondues coup pour coup jusqu'à les porter à respectivement 125% et 145%, au-delà de la surtaxe existante avant le 2 avril.

Les deux pays se sont finalement entendus à la mi-mai sur un retour à 10% sur les produits américains et 30% sur les produits chinois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Rubio demande à Moscou de négocier "de bonne foi" avec l'Ukraine

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Marco Rubio s'est entretenu avec Sergueï Lavrov par téléphone (archives). (© KEYSTONE/AP/Mark Schiefelbein)

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a appelé mercredi Moscou à s'engager dans des négociations "de bonne foi" avec l'Ukraine, lors d'un appel avec son homologue russe Sergueï Lavrov. C'est le "seul moyen de mettre fin à cette guerre", a-t-il ajouté.

Marco Rubio s'est entretenu par téléphone avec le ministre russe des affaires étrangères Sergueï Lavrov. Il a réitéré auprès du ministre russe des affaires étrangères l'appel de Donald Trump à "un dialogue constructif et de bonne foi avec l'Ukraine", a affirmé Tammy Bruce la porte-parole du département d'Etat, dans un communiqué.

L'Ukraine s'est déclarée mercredi prête à des pourparlers à Istanbul avec la Russie lundi, si Moscou, à qui revient cette initiative, fournit à l'avance ses conditions en vue d'une paix pour que la rencontre donne des résultats.

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait expliqué au téléphone à son homologue américain Marco Rubio, comment son pays entendait entamer des discussions avec les Ukrainiens en Turquie, selon le ministère russe des affaires étrangères.

Lors de cette deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul entre UKraine et Russie, Moscou entend transmettre à Kiev un "mémorandum" censé exposer ses conditions afin de parvenir à un accord de paix durable, selon M. Lavrov.

Les premiers échanges le 16 mai en Turquie n'avaient pas abouti à une percée pour trouver une issue diplomatique au conflit, mais les deux camps s'étaient engagés à procéder à un échange de prisonniers d'une ampleur inédite, 1000 personnes contre 1000 personnes, qui s'est achevé le week-end dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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