International
Avortement: le gouverneur de l'Oklahoma signe une loi restrictive
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Le gouverneur républicain de l'Oklahoma a signé mardi une loi interdisant l'avortement après six semaines de grossesse, alors que la cour suprême américaine s'apprêterait à revenir sur ce droit au niveau fédéral. Il s'agit de l'une des plus restrictives du pays.
"Je représente la totalité des quatre millions d'habitants de l'Oklahoma qui, de manière écrasante, veulent protéger les enfants à naître", a écrit sur Twitter Kevin Stitt en promulguant le texte voté par le parlement de l'Etat jeudi dernier. "Je veux que l'Oklahoma devienne l'Etat le plus pro-vie dans le pays".
Le texte prévoit des exceptions médicales pour l'accès à l'avortement, mais pas en cas de viol ou d'inceste. Cet Etat conservateur accueillait depuis quelques mois des milliers de Texanes cherchant à avorter, après le passage d'un texte similaire dans cet Etat voisin.
Depuis septembre 2021 déjà, le Texas a mis en place une loi interdisant toute interruption volontaire de grossesse (IVG) à partir du moment où un battement de coeur de l'embryon est perceptible à l'échographie, soit quatre semaines environ après la fécondation.
Bombe à Washington
La légalité de textes similaires dans d'autres Etats est étudiée par la cour suprême des Etats-Unis depuis plusieurs mois. Mais, lundi soir, la publication par le journal Politico d'un projet de décision de la haute cour à ce sujet indique que l'institution fédérale serait sur le point de remettre aux Etats le pouvoir d'autoriser, ou non, les IVG, près de 50 ans après les avoir rendues légales dans tout le pays.
La fuite de ce document, dont l'authenticité a été confirmée par la cour, qui a rappelé qu'il ne s'agissait pas de la décision définitive, a fait l'effet d'une bombe à Washington et poussé le président démocrate Joe Biden à rappeler son soutien au droit à l'IVG.
Si la plus haute juridiction venait à annuler la jurisprudence "Roe v. Wade", le pays reviendra à la situation précédant 1973, quand chaque Etat était libre d'interdire ou d'autoriser l'avortement.
En tout 26 Etats conservateurs, pour la plupart dans le centre et le sud du pays comme le Wyoming, le Tennessee ou la Caroline du Sud sont prêts à interdire l'avortement purement et simplement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: trois soldats tués, 18 blessés par une frappe russe
Au moins trois soldats ukrainiens ont été tués et 18 blessés par une frappe russe mardi contre un camp d'entraînement militaire, a annoncé l'armée ukrainienne.
"L'ennemi a lancé une frappe de missile sur le territoire d'une des unités à l'entraînement des forces terrestres", a indiqué l'armée de terre sur Facebook. "Trois militaires sont morts et 18 sont blessés", a-t-elle ajouté, sans préciser où l'attaque s'est produite.
Au cours de la nuit précédente, au moins 25 civils avaient été tués et plus de 70 personnes blessées par une série de frappes russes, selon les autorités. Parmi les morts figurent une quinzaine de détenus d'une colonie pénitentiaire de la région de Zaporijjia (sud).
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé sur les réseaux sociaux cette attaque contre une prison, estimant qu'"il s'agissait d'une frappe délibérée, intentionnelle" et que "les Russes ne pouvaient ignorer qu'ils y visaient des civils".
Le Kremlin a démenti, par la voix de son porte-parole Dmitri Peskov, s'en prendre à "des cibles civiles", affirmant que l'armée russe n'effectuait des bombardements que "sur des infrastructures militaires ou liées à l'armée".
Le président américain Donald Trump a lancé un ultimatum de dix jours à son homologue russe Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre, sous peine de nouvelles sanctions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Vatican: le pape s'offre un bain de foule auprès de 120'000 jeunes
Le pape Léon XIV s'est offert mardi soir à Rome un bain de foule surprise auprès de quelque 120'000 jeunes catholiques de tous les continents réunis pour une semaine de pèlerinage dans le cadre du Jubilé, "Année sainte" de l'Eglise.
Le Vatican a annoncé la participation de quelque 500'000 personnes de 146 pays pour cette semaine d'évènements culturels, religieux et festifs consacrée aux étudiants et jeunes professionnels, et jusqu'à un million pour le week-end de clôture avec le pape Léon XIV.
Mardi soir, environ 120'000 personnes selon le Vatican ont participé à la messe d'ouverture sur la place Saint-Pierre, où le responsable de l'organisation du Jubilé a souhaité la bienvenue aux jeunes "du monde entier", notamment de régions touchées par la guerre, comme "l'Ukraine et la Palestine".
A l'issue de la messe, le pape Léon XIV a fait une apparition surprise avant de bénir les fidèles à bord de sa "Papamobile", sous les vivats de la foule. Dans une ambiance survoltée, il a parcouru au crépuscule les allées de la célèbre place et descendu la Via della Conciliazione, l'artère principale menant au Vatican, noyée sous les drapeaux de différents pays.
Il s'agit de la première rencontre majeure entre les jeunes catholiques et Robert Francis Prevost, qui a succédé le 8 mai au pape François, très populaire auprès de la jeune génération.
Depuis lundi, les groupes de fidèles, laïcs et religieux, inondent les rues de la capitale italienne pour cet évènement surnommé les "Petites journées mondiales de la Jeunesse" (JMJ), fondées par le pape Jean-Paul II.
Influenceurs
Pour la première fois, le Vatican a choisi de consacrer une série d'évènements aux influenceurs catholiques, signe de l'importance croissante des réseaux sociaux pour l'Eglise catholique, dont une messe mardi matin avec le pape.
Accueilli par une nuée de smartphones dans une ambiance chaleureuse, Léon XIV les a mis en garde contre le danger de porter atteinte à la "dignité humaine" dans un contexte croissant d'utilisation de l'IA et la propagation de fausses informations.
Francesca Parisi, influenceuse de 31 ans qui se présente comme "missionnaire numérique" sur Tiktok et Instagram, a expliqué à l'AFP considérer son activité en ligne comme "une forme d'apostolat plutôt qu'un travail". "J'aime parler de manière légère, surtout parce que nous sommes de toute façon sur les réseaux sociaux, qui ont leur propre registre linguistique", a-t-elle déclaré.
Conflits, réchauffement climatique, IA
Parmi les sujets de préoccupation les plus cités par les participants figurent les conflits dans le monde, les dangers liés à l'IA ou le réchauffement climatique.
"Le sujet le plus important pour moi c'est la guerre, tout le monde ici en parle, y pense, nous voulons vraiment savoir ce que le pape pense et ce qu'il attend de nous", a expliqué à l'AFP Tiago Santos, jeune Portugais de 25 ans.
Malgré la guerre au Proche-Orient et les récentes attaques meurtrières contre des églises, "voir autant de jeunes venir pour ce même but me donne foi en l'humanité", a pour sa part confié Theophanie Nasta, 26 ans, une Libanaise qui voyage pour la première fois à l'étranger.
Plus tôt mardi, quelque 600 catéchumènes (futurs baptisés) et néophytes français ont été reçus au Vatican par le pape américain, qui les a invités à "renoncer à une culture de la mort très présente dans notre société".
Ce rassemblement international est présenté comme le point d'orgue du Jubilé lors duquel les pèlerins peuvent recevoir l'"indulgence plénière", le pardon des péchés selon la tradition.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump veut une dérégulation des émissions de gaz à effet de serre
Le gouvernement de Donald Trump a annoncé mardi revenir sur une décision clé pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre, des pots d'échappement aux centrales à gaz. Cela met à mal la lutte contre le changement climatique aux Etats-Unis.
"Si elle est finalisée, l'annonce d'aujourd'hui serait la plus grande mesure de dérégulation de l'histoire des Etats-Unis", a déclaré Lee Zeldin, le patron de l'Agence fédérale de protection de l'environnement (EPA), depuis une concession automobile d'Indianapolis, dans le nord du pays.
Soutenu par les industries fossiles, le président américain a depuis son retour en janvier multiplié les mesures hostiles à la lutte contre le réchauffement climatique. Les Etats-Unis sont le deuxième plus gros émetteur mondial et le plus important de l'histoire.
L'annonce de mardi, qui doit encore passer par une phase de consultation publique de 45 jours, s'attaque à une décision prise pendant le premier mandat de l'ex-président Barack Obama. Cet "Endangerment Finding" de 2009 constitue la base légale de très nombreuses régulations fédérales visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Poussée par un jugement de la Cour suprême, l'EPA y a estimé que les gaz à effet de serre étaient dangereux pour la santé publique et que, en conséquence, elle était compétente pour réguler leurs émissions en vertu d'une loi de 1970, le Clean Air Act.
"Raccourcis intellectuels"
Selon l'actuel patron de l'EPA, l'agence avait fait à l'époque des "raccourcis intellectuels" lors de l'élaboration de cette décision, qui s'appuie pourtant sur un large consensus scientifique.
"Les conservateurs aiment l'environnement, veulent être des bons gardiens de l'environnement", a assuré mardi Lee Zeldin sur le podcast "Ruthless Podcast", marqué à droite. Mais "il y a des personnes qui (...) sont prêtes à ruiner le pays au nom de la justice environnementale."
Cette réforme devrait notamment permettre une vaste dérégulation pour le secteur automobile en assouplissant les règles sur les émissions des véhicules.
Le secteur des transports constitue aux Etats-Unis la première source d'émissions de gaz à effet de serre, l'essentiel des Américains utilisant la voiture pour leurs trajets quotidiens.
Si le secteur américain des transports était un pays, il serait le quatrième plus gros émetteur de gaz à effet de serre du monde, selon l'ONG Natural Resources Defense Council.
La décision de mardi devrait aussi toucher les règles concernant les émissions des centrales à gaz ou à charbon. Environ 60% de l'électricité américaine est tirée des combustibles fossiles.
"Très politisée"
Dan Becker, de l'association environnementale Center for Biological Diversity, a assuré à l'AFP que la décision de 2009 avait résisté à plusieurs assauts juridiques. "Mais cette fois-ci, c'est le gouvernement lui-même qui mène l'attaque", a-t-il déploré.
Ce retour en arrière de l'exécutif américain sera, selon toute vraisemblance, contesté devant la justice, probablement jusqu'à la Cour suprême. Donner raison à l'administration Trump reviendrait à un revirement de jurisprudence: c'est une décision de la Haute cour, en 2007, qui est à l'origine même de l'"Endangerment Finding".
"J'espère que (les juges) vont reconnaître qu'il s'agit là de science, et non de politique", a ajouté Dan Becker. Mais la Cour Suprême est "très politisée", dit-il. Elle est aujourd'hui constituée de six juges conservateurs contre trois progressistes.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a quitté l'Accord de Paris sur le climat et favorisé l'exploitation du gaz et du pétrole, notamment dans des régions sauvages de l'Alaska.
Cette annonce intervient en pleine vague de chaleur sur la côte est du pays, et alors que la planète a vécu en 2024 l'année la plus chaude jamais enregistrée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Lorena Wiebes récidive
Lorena Wiebes a remporté mardi à Poitiers la quatrième étape du Tour de France. Comme la veille, la Néerlandaise a devancé au sprint sa compatriote Marianne Vos, qui a conservé le maillot jaune.
Dans un scénario identique à celui de lundi, la sprinteuse de l'équipe SD Worx a une nouvelle fois devancé d'une roue la leader du classement général pour signer sa deuxième victoire d'affilée, sa cinquième lors d'un Tour de France. L'Irlandaise Lara Gillepsie a complété le podium à l'arrivée d'une étape dont le final a été beaucoup plus limpide que celui de la veille à Angers, quand plusieurs coureuses s'étaient retrouvées au sol à 3700 mètres de la ligne.
La principale victime de cette chute, la Néerlandaise Demi Vollering est apparue fébrile au départ de Saumur mardi en début d'après-midi. Mais la grande favorite de l'épreuve a terminé au sein du peloton dans le même temps que la gagnante du jour. L'étape a été animée par l'Allemande Franziska Koch et la Brésilienne Ana Vitoria Magalhaes qui ont attaqué après un peu plus d'une heure de course. Le duo a été repris à trois kilomètres de la ligne sous l'impulsion de l'équipe SD Worx qui a catapulté sa leader vers son seizième succès cette saison, le 109e de sa carrière.
Mercredi, la plus longue étape de cette édition 2025, 166 kilomètres entre Chasseneuil-du-Poitou/Futuroscope et Guéret propose un final difficile par la succession de trois côtes dans les 35 derniers kilomètres.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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