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International

Le crash Richardson et l'éclair Kerley

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Sha'Carri Richardson a été éliminée dès les séries du 100 m aux Trials (© KEYSTONE/AP/ASHLEY LANDIS)

Sha'Carri Richardson, perçue comme une prétendante à l'or mondial sur 100 m, a échoué à se qualifier pour les Mondiaux jeudi à Eugene lors des trials.

Fred Kerley a quant à lui pris date avec la meilleure performance mondiale sur la même distance.

Cette première journée des Championnats des Etats-Unis, qualificatifs pour les Championnats du monde qui se dérouleront au même endroit du 15 au 24 juillet, a donc déjà produit son lot de sensations. La défaillance de Sha'Carri Richardson était pour le moins inattendue.

La sprinteuse de 22 ans avait encore couru l'épreuve reine en 10''85 il y a deux semaines à New York. Mais, lente à sortir des starting blocks, et jamais à la lutte pour les premières places dans sa série, elle a fini 5e en courant en 11''31. Soit le 23e temps toutes séries confondues. Or, seules les trois premières places de la finale permettent de décrocher une participation aux Mondiaux.

Encore une chance sur 200 m

Sha'Carri Richardson va désormais tenter de le faire sur le 200 m. Mais il s'agit d'un nouveau coup dur pour l'Américaine: elle avait fait sensation l'an passé sur cette même piste de l'Oregon, lors des sélections olympiques américaines, en courant en 10''64 (avec l'aide du vent) en demi-finale, avant de remporter la finale. Mais elle avait été privée des Jeux de Tokyo après avoir été contrôlée positive au cannabis.

Chez les hommes, c'est Fred Kerley qui a fait sensation, de manière positive cette fois, avec la meilleure performance mondiale de l'année en 9''83. Le médaillé d'argent du 100 m des JO de Tokyo s'est vite détaché jeudi, avec un vent de 1,5 m/s. Son temps efface la précédente MPM réalisée par le Kényan Ferdinand Omanyala (9''85).

Coleman assure

Le champion du monde en titre, Christian Coleman, qualifié d'office pour les prochains Mondiaux, est passé sans encombre en remportant sa série en 10''08. Il avait manqué le rendez-vous de Tokyo l'été dernier en raison de sa suspension de 18 mois pour des manquements à ses obligations de localisation.

Christian Coleman s'est dit déterminé à envoyer un message à la concurrence cette semaine. "Même si le 100 m est la course la plus courte de l'athlétisme et qu'elle semble facile, j'ai l'impression que c'est super dur", a-t-il relativisé. "Il y a tellement d'occasions de se planter".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Villas-Boas détrône le président du FC Porto

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André Villas-Boas est le nouveau président du FC Porto (© KEYSTONE/EPA/FERNANDO VELUDO)

André Villas-Boas a été élu président du FC Porto pour la période 2024-2028, a annoncé dimanche le club du nord du Portugal.

L'ex-entraîneur détrône ainsi Jorge Nuno Pinto da Costa, qui était en poste depuis 42 ans.

Lors des élections tenues samedi, Villas-Boas (46 ans), passé par Porto, Chelsea, le Zenit Saint-Pétersbourg et l'Olympique de Marseille en tant que coach, a obtenu 21'489 des voix des "socios" du club, contre 5224 pour son adversaire de 86 ans, qui a enchaîné 15 mandats consécutifs à la tête des Dragons.

"Quelle soirée historique (...). Notre club est vivant et il a aujourd'hui fait preuve de sa force", a réagi André Villas-Boas, cité dans un autre communiqué diffusé par Porto.

Pendant sa campagne électorale, "AVB" a promis d'engager au poste de directeur sportif l'ancien gardien international espagnol Andoni Zubizareta, qu'il avait croisé à l'OM, et de confier le département du football à l'ancien défenseur international portugais Jorge Costa, devenu ensuite entraîneur.

M. Pinto da Costa avait de son côté annoncé cette semaine la prolongation du contrat de l'actuel entraîneur de Porto, Sérgio Conceiçao.

Crise

Depuis sa première élection à la présidence du club, en avril 1982, cette personnalité incontournable du football portugais des dernières décennies aura été créditée de 23 trophées de champion national et deux titres de champion d'Europe, en 1987 et 2004. Mais Porto traverse actuellement une crise financière et sportive, comme en témoigne sa 3e place au classement de la ligue portugaise.

En tant qu'entraîneur, André Villas-Boas a pour sa part offert au FC Porto au cours de la saison 2010/2011 un quadruplé en remportant l'Europa League, le championnat national, la Coupe du Portugal et la Coupe de la Ligue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Dans une prison de Venise, le pape plaide pour plus de dignité

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Après Paul VI (1972), Jean-Paul II (1985) et Benoit XVI (2011), François est le quatrième pape à se rendre à Venise. (© KEYSTONE/AP/Alessandra Tarantino)

"N'écartons pas la dignité": le pape François, 87 ans, a entamé dimanche sa visite à Venise dans une prison pour femmes. Il a appelé le système pénitentiaire à "créer les conditions d'une réinsertion saine".

Il s'agit du premier déplacement du pontife argentin hors de Rome en sept mois en raison de son état de santé, quelques semaines après un accès de fatigue ayant suscité l'inquiétude au moment des fêtes de Pâques.

Arrivé en hélicoptère à 08h00 directement dans la cour de la prison de l'île de la Giudecca, qui abrite le pavillon du Saint-Siège à la 60e Biennale d'art contemporain de Venise, François a longuement salué une par une les quelque 80 détenues, le personnel administratif et pénitentiaire et les bénévoles.

Dans cet ancien couvent accueillant des femmes condamnées à de longues peines, l'évêque de Rome, sensible à la place des marginalisés et à l'univers carcéral, a appelé le système pénitentiaire à offrir aux détenus "des outils et des espaces de croissance humaine, spirituelle, culturelle et professionnelle".

"La prison est une dure réalité, et des problèmes tels que la surpopulation, le manque d'installations et de ressources, les incidents violents, y génèrent tant de souffrances. Mais elle peut aussi devenir un lieu de renaissance (...) où la dignité des femmes et des hommes n'est pas mise à l'isolement", a-t-il déclaré.

"Courage, et en avant! Ne lâchez rien", a lancé le pape après avoir reçu en cadeau des produits confectionnés par les détenues dont plusieurs sont apparues émues.

A l'écart des projecteurs et de la foule, le pavillon du Saint-Siège est l'un des plus en vue de la prestigieuse manifestation d'art et propose aux visiteurs une expérience immersive et déroutante, où les oeuvres côtoient les barbelés.

Messe place Saint-Marc

Chiara Parisi, commissaire de l'exposition, a souligné "l'émerveillement" et "l'espérance" des détenues vis-à-vis de cette visite. "Le pape agit au-delà de la parole" en se déplaçant auprès d'elles, des "personnes qui ont à coeur de jouer un rôle même quand elles sont dans une situation très dure", a-t-elle déclaré à l'AFP.

Devant les artistes ayant participé à l'exposition et des responsables du monde culturel réunis dans la chapelle déconsacrée de la prison, Jorge Bergoglio a insisté sur le rôle de l'art pour lutter contre "le racisme, la xénophobie, l'inégalité, le déséquilibre écologique".

Il s'exprimera ensuite devant des jeunes devant l'emblématique basilique Santa Maria della Salute, dont le dôme majestueux domine l'entrée Sud du Grand Canal, à deux pas de la place Saint-Marc. Après avoir rejoint la célèbre place grâce à un pont éphémère, il présidera une grande messe à 11h00 en présence de nombreux responsables politiques et religieux, avant de quitter Venise en début d'après-midi.

Autres déplacements prévus

Après Paul VI (1972), Jean-Paul II (1985) et Benoit XVI (2011), François est le quatrième pape à se rendre dans la Cité des Doges. L'histoire de la Sérénissime est étroitement liée à celle de la papauté. Au XXe siècle, trois patriarches de Venise sont devenus papes. Le diocèse de Venise est un des plus grands de la péninsule avec 125 paroisses. Venise est en outre l'un des rares patriarcats de l'Eglise latine.

La visite du pape intervient le week-end d'introduction d'une entrée payante de cinq euros pour les touristes à la journée: en tant qu'invité, il en est exempté mais les pèlerins non résidents y seront soumis.

Après ce déplacement, le jésuite argentin doit effectuer deux autres voyages dans le Nord de l'Italie, à Vérone en mai et à Trieste en juillet. Une manière de rassurer sur sa capacité à assurer son ministère, quelques semaines après les inquiétudes suscitées par son accès de fatigue au moment des fêtes de Pâques.

Depuis sa visite à Marseille en septembre 2023, Jorge Bergoglio n'a plus voyagé. Une bronchite l'a contraint à annuler son voyage à Dubaï en décembre et son état général, de plus en plus fragile, à éviter les déplacements.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Près de 200 arrestations sur les campus américains

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Des étudiants protestent sur les campus américains depuis plusieurs jours. (© KEYSTONE/AP/Cliff Owen)

Près de 200 manifestants pro-palestiniens ont été interpellés samedi sur trois campus américains lors de l'évacuation par la police de leurs campements. Il s'agit du dernier épisode d'un mouvement étudiant qui s'élargit aux Etats-Unis.

Partie il y a dix jours de l'université Columbia à New York, cette nouvelle vague de soutien aux Palestiniens et contre la guerre que conduit Israël dans la bande de Gaza a gagné nombre d'établissements, de la Californie au nord-ouest des Etats-Unis, en passant par le centre et le sud.

Une centaine de manifestants pro-palestiniens ont été brièvement interpellés par des policiers anti-émeute dans une université de Boston. L'établissement, la Northeastern University, a annoncé sur X "l'interpellation d'environ 100 individus par la police", en précisant que "les étudiants qui ont présenté leurs cartes de Northeastern U. ont été libérés (...) Ceux qui ont refusé ont été arrêtés".

69 personnes arrêtées en Arizona

Des "insultes antisémites violentes" comme "Tuez les Juifs" avaient été proférées sur le campus selon l'université, qui a annoncé un "retour à la normale" à la mi-journée. Un campement "illégal" de quelques tentes y a été démantelé par des policiers de l'université et des forces de l'ordre locales en tenue anti-émeute, selon des images diffusées sur les réseaux sociaux.

A l'autre bout du pays, les forces de l'ordre de l'université d'Etat d'Arizona (ASU) ont "arrêté 69 personnes samedi après l'installation d'un campement non autorisé", a indiqué l'établissement en accusant la "plupart de ne pas être étudiants ou membres du personnel de l'ASU". Ces personnes seront "poursuivies pour intrusion illégale".

Et dans le centre des Etats-Unis, 23 personnes ont été interpellées lorsque la police, munie d'équipements anti-émeute, a évacué un campement installé à l'université de l'Indiana, a rapporté le journal Indiana Daily Student.

Village de tentes

La présidence de Columbia, épicentre new-yorkais de la mobilisation estudiantine, a de son côté renoncé à faire évacuer par la police un "village" de tentes de 200 personnes sur une pelouse de son campus. Un dirigeant du mouvement y est toutefois interdit d'accès après avoir proféré des menaces antisionistes dans une vidéo datant de janvier. Le jeune homme a présenté par la suite ses "excuses", selon CNN, qui a décrit le campus comme "relativement calme" samedi.

La situation s'est en revanche tendue à l'université de Pennsylvanie (UPenn), dont la présidente avait démissionné cet hiver après des déclarations devant le Congrès à Washington jugées ambiguës sur la lutte contre l'antisémitisme. A la suite d'"informations crédibles de cas de harcèlement et d'intimidation", la présidence a ordonné le démantèlement immédiat d'un campement.

En Californie, le campus de l'université polytechnique de Humboldt restera "fermé" pour le reste du semestre, et les cours auront lieu à distance, en raison de "l'occupation" de deux bâtiments, selon un communiqué. Et au Canada voisin, un campement a été érigé pour la première fois à l'université McGill de Montréal où le mouvement dure depuis février. L'établissement s'inquiète d'"un risque d'escalade et de confrontation".

Policiers anti-émeute

Les images de policiers anti-émeute interpellant des étudiants, à l'appel de dirigeants d'universités, ont fait le tour du monde. Elles font écho au soulèvement de campus américains durant la guerre du Vietnam. Voire à un souvenir douloureux, celui de la Garde nationale de l'Ohio ouvrant le feu en mai 1970 à l'université d'Etat de Kent, tuant quatre étudiants qui manifestaient de manière pacifique.

Le mouvement de solidarité avec Gaza a pris une tournure politique à sept mois de l'élection présidentielle américaine, entre allégations d'antisionisme et d'antisémitisme et défense de la liberté d'expression, un droit constitutionnel aux Etats-Unis. Le pays compte le plus grand nombre de juifs au monde derrière Israël (quelque six millions) et aussi des millions d'Américains arabo-musulmans.

Toute la semaine à travers les Etats-Unis, étudiants et activistes pro-palestiniens ont été interpellés et le plus souvent relâchés sans poursuites en justice. Et dans ces rassemblements, des étudiants juifs de gauche et antisionistes soutiennent la cause palestinienne, keffieh sur les épaules, dénonçant même un "génocide" qui serait perpétré par Israël.

Mais d'autres jeunes juifs américains expriment leur malaise et leur peur face à des slogans antisémites. Skyler Sieradzky, 21 ans, de l'université George Washington de la capitale a affirmé cette semaine s'être fait cracher dessus en arrivant avec un drapeau israélien.

La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du 7 octobre sur le sol israélien par des commandos du Hamas qui a entraîné la mort de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP à partir de données officielles israéliennes. En représailles, Israël a promis de détruire le mouvement islamiste, et sa vaste opération militaire dans la bande de Gaza a fait 34.388 morts, majoritairement des civils, selon le Hamas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Biden se moque de Trump lors du dîner annuel des correspondants

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Une centaine de manifestants se sont rassemblés près de l'entrée de l'hôtel Hilton où avait lieu le dîner annuel des correspondants. (© KEYSTONE/AP/Terrance Williams)

Le président Joe Biden a fait preuve d'autodérision samedi tout en égratignant son concurrent à la présidentielle américaine Donald Trump, un "enfant de six ans", lors du dîner annuel des correspondants de la Maison Blanche.

De nombreux invités de marque, journalistes ou célébrités, sont arrivés à l'hôtel Hilton de la capitale fédérale au moment où une centaine de manifestants contre la guerre à Gaza étaient rassemblés près de l'entrée. Certains protestataires ont alors entonné des slogans tels que "Honte à vous".

A l'intérieur du bâtiment, la guerre entre le Hamas et Israël n'a toutefois pas occupé le devant de la scène, au contraire des moqueries sur l'âge de Joe Biden ou ses chutes occasionnelles dans les escaliers de l'avion présidentiel.

Longue tradition

La présence du dirigeant américain à ce gala annuel s'inscrit dans la longue tradition de l'événement, interrompue pendant le mandat de son prédécesseur Donald Trump, qui veut que le président écoute, avec le sourire, un humoriste l'éreinter en règle devant une assemblée en smoking et robes longues, puis prononce un discours émaillé de blagues plus ou moins réussies.

A la manoeuvre cette année pour rire du président américain se trouvait le comédien Colin Jost, auteur et acteur pour l'émission phare de la télévision américaine "Saturday Night Live", diffusée sur NBC. Son épouse, l'actrice Scarlett Johansson, était également présente samedi au dîner.

"Je voudrais signaler qu'il est 22h00 passées, Joe l'endormi est toujours debout, pendant que Donald Trump a passé la semaine à s'endormir au tribunal chaque matin", a asséné l'humoriste, dans une allusion au procès à New York de l'ancien président pour une affaire de paiements dissimulés à une ancienne actrice de films X.

Entre autodérision et taquineries à l'encontre des médias, M. Biden, 81 ans, a pris la parole pour railler son rival républicain, 77 ans, expliquant que "l'âge est la seule chose que nous avons en commun".

Colin Jost et Joe Biden ont toutefois adopté un ton plus grave en abordant la question du climat politique aux Etats-Unis. La rhétorique de Donald Trump constitue un danger selon le président américain, en particulier après l'assaut du Capitole en 2021, et "les enjeux ne pourraient être plus élevés", d'après lui.

Manifestation pro-palestinienne

"L'élection de 2024 bat son plein et oui l'âge est un sujet", a déclaré M. Biden avant de lancer: "Je suis un adulte qui se présente contre un enfant de six ans".

Loin des rires de l'assistance parcourant la salle, une manifestation s'est déroulée devant l'hôtel, d'où, depuis une fenêtre du dernier étage, des protestataires ont suspendu un drapeau palestinien de plusieurs mètres de long. D'autres étaient rassemblés en contrebas, au niveau de la chaussée, tenant des pancartes ou des mégaphones.

Le dîner de gala s'est tenu alors que le mouvement de protestation contre la guerre à Gaza se généralise dans les campus américains, avec des arrestations par centaines et le déploiement de policiers anti-émeute.

Un des groupes qui ont organisé la manifestation devant l'hôtel Hilton, Code Pink, a dit vouloir "arrêter" le dîner pour protester contre "la complicité du gouvernement Biden dans le ciblage et le meurtre de journalistes palestiniens par l'armée israélienne", précisant que cette action serait "non violente".

Depuis des mois maintenant, à chaque fois que le président américain se déplace, des manifestants se rassemblent pour protester contre le soutien à Israël de celui qu'ils appellent "Joe le génocidaire", et pour réclamer un arrêt des hostilités à Gaza.

"Responsabilité particulière"

Plusieurs journalistes palestiniens avaient appelé dans une lettre ouverte leurs confrères américains à boycotter cet événement très couru, point d'orgue de tout un week-end de réceptions mondaines.

"Vous avez une responsabilité particulière de dire leur vérité aux puissants et de soutenir l'intégrité journalistique. Il est inacceptable de rester silencieux, par peur ou pour des raisons de carrière, lorsque des journalistes à Gaza continuent d'être détenus, torturés, et tués parce qu'ils font leur métier", ont écrit une vingtaine de journalistes palestiniens.

Selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), une association établie à New York, au moins 97 journalistes ont été tués depuis le début de la guerre le 7 octobre entre Israël et le Hamas, dont 92 Palestiniens. Au moins 16 autres ont été blessés.

Le dîner était organisé par l'association des correspondants à la Maison Blanche. Cet événement annuel donne aussi lieu à une remise de prix et à une distribution de bourses à des étudiants en journalisme.

L'an dernier, 2600 invités avaient assisté à l'événement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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