Rejoignez-nous

International

Elon Musk vend pour près de 7 milliards de dollars d'action Tesla

Publié

,

le

Elon Musk avait signé en avril un accord de 44 milliards de dollars pour racheter le réseau social, avant de le rompre unilatéralement début juillet (archives). (© KEYSTONE/AP/Susan Walsh)

Elon Musk a vendu pour près de 7 milliards de dollars d'actions du groupe automobile Tesla, d'après un document déposé auprès de la SEC, le gendarme boursier américain, et publié mardi sur le site internet de cette dernière.

Le multimilliardaire et patron de Tesla, actuellement engagé dans un bras de fer juridique autour du rachat du réseau social Twitter, a vendu environ 7,9 millions d'actions Tesla entre le 5 et le 9 août, selon ce doucement.

Sur son compte Twitter, Elon Musk a expliqué avoir souhaité "éviter une vente en urgence des titres Tesla", s'il se voit obliger de racheter Twitter et que certains de ses partenaires financiers ne suivent pas jusqu'au bout.

Elon Musk a mis au défi samedi le patron de Twitter de débattre publiquement et prouver la part de faux comptes sur le réseau social, point de désaccord mis en avant par le multimilliardaire américain pour retirer son offre d'achat, lançant une bataille judiciaire.

Elon Musk avait signé en avril un accord de 44 milliards de dollars pour racheter le réseau social, avant de le rompre unilatéralement début juillet.

Il estime que Twitter a menti sur la proportion de comptes automatisés et de spams sur sa plateforme, et affirme même que le réseau social a "fraudé", en majorant volontairement le nombre de comptes monétisables.

En avril, le patron de Tesla avait déjà vendu pour quelque 8,5 milliards de dollars d'actions de son groupe automobile pour préparer l'acquisition du réseau social.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Nvidia promet le premier "superordinateur" de Taïwan

Publié

le

Le patron de Nvidia en pleine présentation au salon Computex de Taiwan. (© KEYSTONE/AP/Chiang Ying-ying)

Le patron de Nvidia, Jensen Huang, a annoncé lundi projeter de construire le "premier superordinateur d'intelligence artificielle" de Taïwan, à l'occasion du salon technologique Computex à Taipei.

M. Huang a indiqué que Nvidia travaillerait avec les géants taïwanais de la technologie Foxconn et TSMC ainsi qu'avec le gouvernement local pour construire le "premier superordinateur d'IA de Taïwan [...] pour l'infrastructure d'IA et l'écosystème d'IA".

"Il est très important d'avoir une infrastructure d'IA de classe mondiale à Taïwan", a déclaré M. Huang lors d'une allocution prononcée à la veille du salon Computex.

Les géants mondiaux des semi-conducteurs se réunissent cette semaine à Taïwan pour le salon technologique Computex, rendez-vous annuel d'un secteur au coeur de la révolution de l'intelligence artificielle (IA) mais chahuté par les guerres commerciales de Donald Trump.

Computex est la principale vitrine technologique annuelle de Taïwan, dont les usines de semi-conducteurs de pointe sont cruciales pour de nombreux produits, des iPhones aux serveurs qui font fonctionner ChatGPT.

Période charnière

Pour Paul Yu, du cabinet de conseil et groupe de réflexion basé à Taïwan Witology Markettrend, l'industrie traverse une "période charnière".

"Au cours des deux dernières années et demie, des progrès significatifs ont été réalisés dans le domaine de l'intelligence artificielle", et "2025 à 2026 sera la période cruciale pour passer de l'entraînement des modèles d'IA à des applications rentables", a-t-il estimé.

Malgré ces avancées, le secteur doit actuellement faire face aux défis de l'impact potentiel des nouveaux droits de douane américains et à des chaînes d'approvisionnement perturbées.

Washington a ouvert en avril une enquête visant à déterminer si la dépendance des Etats-Unis à ses importations de semi-conducteurs présente un risque, ou non, pour la sécurité nationale.

Or, c'est après ce type d'enquête qu'avaient été imposées en mars et avril des surtaxes sur l'acier, l'aluminium et l'automobile.

Au centre de l'écosystème

Le président américain Donald Trump a également accusé Taïwan de voler des puces à l'industrie américaine et menacé d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 100% sur les importations de semi-conducteurs en provenance de l'île.

Néanmoins, la plupart des acteurs présents au Computex "éviteront d'aborder directement les droits de douane, car la situation est trop incertaine", prédit Eric Smith, du site d'information spécialisé TechInsights.

Certains craignent que Taïwan, qui produit la majorité des puces du monde et près de toutes celles les plus avancées, s'imposant comme un maillon essentiel des chaînes d'approvisionnement de la planète, ne perde sa position dominante sur le marché.

Cependant, cette place de leader agit pour Taïwan tel un "bouclier de silicium", référence au matériau le plus utilisé dans l'industrie.

Ce bouclier est censé protéger l'île d'une invasion ou d'un blocus de la Chine -- qui la revendique comme une partie de son territoire -- en incitant les Etats-Unis à la défendre pour son secteur des semi-conducteurs.

Sous pression, le fleuron TSMC a d'ores et déjà annoncé en mars un investissement de 100 milliards de dollars aux Etats-Unis, salué par le président taïwanais Lai Ching-te comme un "moment historique" dans les relations entre Taipei et Washington.

Le fournisseur de TSMC GlobalWafers a également fait part la semaine dernière de son intention d'augmenter ses investissements américains de 4 milliards de dollars, et ouvert une usine de fabrication de plaquettes de silicium au Texas.

Jensen Huang, interrogé vendredi, semble optimiste quant à l'avenir de Taïwan, affirmant qu'elle "resterait au centre de l'écosystème technologique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Xiaomi relance ses ambitions dans les semi-conducteurs

Publié

le

Le géant chinois se relance dans la conception de puces propres, après une première tentative infructueuse. (archive) (© KEYSTONE/AP/MINGSON LAU)

Le géant technologique chinois Xiaomi a annoncé lundi un ambitieux plan de 50 milliards de yuans (5,8 milliards de francs) sur dix ans pour développer ses propres puces haut de gamme pour smartphone, selon une publication de son fondateur.

Les entreprises chinoises sont lancées dans une course au développement de leurs propres puces, notamment dans l'objectif de s'affranchir des fournisseurs étrangers sur fond de rivalité technologique et de tensions commerciales avec les Etats-Unis.

"Les puces sont la voie fondamentale pour que Xiaomi perce dans la technologie de pointe, et nous nous y consacrerons pleinement", a annoncé Lei Jun dans un message publié sur le réseau social Wechat, à l'occasion de l'anniversaire des 15 ans de la marque.

Pour cela, "nous avons élaboré un plan d'investissement soutenu à long terme: investir au moins 10 ans, au moins 50 milliards de yuans, avancer prudemment, étape par étape", a précisé Lei Jun.

Le fondateur de Xiaomi annonce dans son message le lancement d'une puce SoC (système sur puce) en gravure 3nm, nouveau jalon selon lui dans les ambitions de l'entreprise en la matière.

La firme basée à Pékin, connue pour ses smartphones de qualité à un prix abordable, avait amorcé ses premiers pas dans les semi-conducteurs avec le lancement de sa première puce maison, la Surge S1, en 2017.

Mais le groupe avait dû interrompre la production de cette puce face à cause d'obstacles techniques et financiers, se recentrant depuis sur des composants plus modestes et se lançant en parallèle sur le segment des voitures électriques.

"Ce n'est pas un échec honteux, mais une étape sur notre chemin", a insisté dans sa publication Lei Jun, en référence aux moqueries qui avaient suivi l'arrêt du projet initial.

Depuis 2021, Xiaomi a déjà mobilisé dans le cadre de ce projet plus de 13,5 milliards de yuans (1,7 milliards d'euros) en recherche et développement avec une équipe de plus de 2.500 ingénieurs, a révélé lundi Lei Jun.

Xiaomi fabrique une large gamme d'appareils, allant des smartphones et ordinateurs portables aux cuiseurs à riz en passant par les purificateurs d'air.

"Le rêve des puces ne nous a jamais quittés", a souligné dans son message Lei Jun. Mais "nous avons besoin de temps et de soutien pour aller au bout de cette ambition", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Ryanair voit son bénéfice annuel reculer

Publié

le

Les baisses de prix consenties ont douché la rentabilité du transporteur irlandais à bas coûts en 2024/825. (archive) (© KEYSTONE/DPA/GEORG WENDT)

La compagnie aérienne irlandaise Ryanair a annoncé lundi un bénéfice net annuel en baisse de 16%, à 1,61 milliard d'euros (1,50 milliard de francs), pour son exercice décalé achevé fin mars, après avoir dû baisser ses prix pour remplir ses avions.

Le résultat est principalement touché par "la baisse de 7% des tarifs", une stratégie qui a en retour "entraîné une forte croissance du trafic de 9% à un peu plus de 200 millions" de passagers transportés, a résumé le directeur général Michael O'Leary dans un communiqué.

La compagnie invoque notamment les budgets plus serrés de ses clients dans un contexte de taux d'intérêts et d'inflation qui restent élevés, les dates défavorables des vacances de Pâques au premier trimestre ou encore "une forte baisse des réservations" via les agences de voyages en ligne avant l'été.

Ryanair avait revu plusieurs fois à la baisse, pendant l'année, son objectif de croissance de passagers, évoquant les retards de livraison de Boeing. La compagnie prévient que cela continuera de peser sur l'exercice en cours.

"Nous prévoyons que le trafic de l'exercice 26 augmentera de seulement 3% pour atteindre 206 millions de passagers en raison des livraisons limitées ou retardées de Boeing", a indiqué M. O'Leary.

Ryanair, première compagnie d'Europe en nombre de passagers, gros client de l'avionneur américain, avait déjà pâti de retards de livraison lors de l'exercice précédent.

Boeing a fait face à l'automne à une grève de plus de cinquante jours, menée par près de 33.000 ouvriers près de Seattle (nord-ouest), qui a paralysé deux usines importantes.

Le groupe a également été affecté par un incident spectaculaire en janvier 2024 sur un 737 MAX --une partie du fuselage s'est détachée en vol-- qui l'a plongé dans une crise existentielle.

M. O'Leary a en outre menacé le mois dernier de retarder les réceptions d'avions commandés à Boeing --voire éventuellement de se tourner vers le fournisseur chinois COMAC--, si ceux-ci venaient à coûter plus chers en raison de la campagne de droits de douane lancée par Donald Trump.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Scheffler remporte son troisième Majeur

Publié

le

Scottie Scheffler a remporté dimanche son 3e Majeur (© KEYSTONE/EPA/ERIK S. LESSER)

Le no 1 mondial Scottie Scheffler a remporté dimanche à Charlotte le PGA Championship.

L'Américain a terminé avec cinq coups d'avance sur trois compatriotes: Harris English, Davis Riley et Bryson DeChambeau, déjà deuxième l'an dernier.

Scottie Scheffler (28 ans) a rendu une carte de 71 (dans le par) au 4e et dernier tour d'un tournoi disputé sur le parcours de Quail Hollow en Caroline du Nord. Il s'agit de son troisième Majeur après les Masters 2022 et 2024.

Auteur de trois bogeys sur sa première moitié de parcours, Scheffler avait été rejoint en tête par l'Espagnol Jon Rahm et ses trois birdies aux trous 8, 10 et 11. La bataille s'annonçait prometteuse, mais elle a tourné en faveur du premier: Scheffler a signé trois birdies aux trous 10, 14 et 15, alors que Rahm a finalement coulé avec un bogey et deux doubles bogeys sur ses trois derniers trous.

"Du bon travail"

"J'ai fait du bon travail en restant patient sur les neuf premiers trous. Je n'ai pas joué à mon meilleur niveau", a expliqué Scottie Scheffler. "J'ai pris de l'avance sur les neuf derniers et j'ai fini le travail", a-t-il ajouté.

Pour son 15e trophée sur le PGA Tour, Scheffler empoche 3,42 millions de dollars sur une dotation record de 19 millions de dollars. Blessé à la main droite en décembre dernier, il avait remporté son premier titre de la saison il y a deux semaines.

Rahm, vainqueur de l'US Open 2021 et du Masters 2023, n'a pas encore remporté de titre cette saison sur le circuit concurrentiel de la LIV. "Je pense que c'est la première fois que je suis aussi près de remporter un tournoi majeur et que je ne le fais pas", a déclaré l'Espagnol, ajoutant que "la blessure est encore vive", mais qu'"il s'est passé beaucoup de choses positives cette semaine et il y a beaucoup de sentiments positifs à prendre pour le reste de l'année".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

TWO PRINCES

SPIN DOCTORS

12:15

Les 2 derniers titres

LA DIFFERENCE

SANTA

12:11

SAD SONGS

ELTON JOHN

12:07

Votre Horoscope

Gémeaux

Le Ciel vous pousse à reprogrammer votre manière de penser en abandonnant les croyances limitantes. Votre évolution est notable !

Les Sujets à la Une