Économie
L'ASLOCA veut des aides financières pour adoucir les factures
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Les hausses annoncées du coût de l'électricité et des énergies fossiles inquiètent l'ASLOCA Genève. L'association de défense des locataires demande la création d'un fonds pour atténuer la hausse du prix du courant ainsi qu'une aide ponctuelle pour contrer l'augmentation des frais de chauffage.
"L'électricité produite sur place doit être payée à prix coûtant", a relevé lundi devant la presse Alberto Velasco, président de l'ASLOCA Genève. En revanche, pour la part de l'électricité achetée sur le marché, l'association souhaite la mise en place d'un fonds destiné à geler les hausses de prix (soit 22% en moyenne pour 2023).
Le fonds serait alimenté par les dividendes des Services industriels de Genève (SIG), a précisé Christian Dandrès, avocat à l'ASLOCA Genève et conseiller national socialiste. Ces bénéfices s'élevaient à 7,4 millions de francs en 2021. Un projet de loi en ce sens doit être déposé au Grand Conseil.
Aide ponctuelle
L'association a par ailleurs "exigé" qu'aucune coupure de courant ne sanctionne des locataires qui ne pourraient pas payer leur facture d'électricité. Elle recommande aussi d'insister auprès des régies afin qu'elles prévoient des acomptes provisionnels plus élevés pour éviter les grosses factures à la fin de la période de chauffe.
S'agissant des hausses des coûts du chauffage et de l'eau chaude, l'ASCOLA Genève demande l'ouverture de négociations avec le Conseil d'Etat et les milieux immobiliers pour mettre en place une aide ponctuelle pour les locataires. Ce coup de pouce financier visant à compenser les hausses des factures serait versé aux bénéficiaires des subsides d'assurance maladie. Environ 120'000 personnes sont concernées.
Initiative déposée
Et surtout, l'association compte sur son initiative législative cantonale "L'assainissement des immeubles ne doit pas se faire sur le dos des locataires" pour limiter la consommation d'énergie. Ce texte qui a été déposé cet été vise à encourager l'assainissement énergétique des immeubles tout en protégeant les locataires contre des hausses de loyer. Les travaux parlementaires sur cette initiative vont débuter cet automne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Martigny: Karin Keller-Sutter a verni le nouveau Barryland
Le nouveau parc thématique Barryland à Martigny consacré aux chiens St-Bernard a été officiellement verni, jeudi après-midi, en présence de la présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter. Les lieux sont déjà accessibles au public depuis le 26 juin.
Marraine depuis 5 ans d'un St-Bernard prénommé Zeus, né en 2020, Karin Keller-Sutter voue un véritable amour aux quadrupèdes. "Dès mon enfance, j'ai grandi avec des chiens, j'en avais encore un jusqu'en janvier 2019, Zeus est venu me voir deux fois à Berne, dont lors de mon élection comme présidente de la Confédération (ndlr: en décembre dernier)", a-t-elle résumé, au terme d'une visite privée de 30 minutes environ. "Les St-Bernard font partie des symboles de notre pays, tels le fromage, le chocolat ou l'or."
La fondation a remplacé son ancien musée historique par un espace moderne, lumineux et interactif. Celui-ci s’étend sur 2400 mètres carrés. Les visiteurs ont la possibilité d’observer ces chiens dans leur environnement naturel et d’assister aux soins qui leur sont prodigués.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Partners Group vend CapeOmega un exploitant de méthaniers
Le gestionnaire d'actifs zougois Parners Group, a cédé, au nom de ses clients, sa participation majoritaire dans le norvégien CapeOmega à son compatriote Ocean Yield et à des véhicules d'investissement du fonds d'investissement américain KKR.
"La transaction constitue une sortie réussie pour Partners Group", qui ne précise aucun montant dans son communiqué paru jeudi.
Le zougois s'était emparé de CapeOmega en 2019, quand il s'agissait d'un "propriétaire d'infrastructures énergétiques maritimes" et l'a transformé en "une plateforme maritime qui possède une flotte de dix méthaniers de gaz naturel liquéfié (GNL)". La demande de GNL devrait croître de 40% au cours des cinq prochaines années, selon Partners Group.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Initiative sur le Mormont: la droite et l'économie prônent le refus
La droite et l'économie vaudoises appellent à refuser l'initiative "Sauvons le Mormont", soumis à votation le 28 septembre prochain. Elles soutiennent au contraire le contre-projet direct du Conseil d'Etat, privilégiant l'économie circulaire et les circuits courts.
Le comité de campagne "Non à l'initiative extrême sur le Mormont - Oui à l'économie circulaire" a présenté ses arguments jeudi à Echallens lors d'une conférence de presse. Sous la houlette de la Fédération vaudoise des entrepreneurs (FVE), ce sont le conseiller aux Etats Pascal Broulis (PLR/VD), les conseillers nationaux Yvan Pahud (UDC/VD) et Céline Weber ( Vert'lib/VD) ainsi que que le député et chef de groupe PLR Nicoals Suter qui ont lancé la campagne.
L'initiative "Sauvons le Mormont", lancée en 2022 dans la foulée de la ZAD, demande de protéger la célèbre colline via la Constitution vaudoise et d'y interdire toute exploitation.
"Aujourd'hui, notre économie a plus que jamais besoin de prévisibilité. Cette initiative menace des emplois et amène de l'incertitude", a déclaré Pascal Broulis. Selon le comité du "non", cette initiative menacerait par ricochet "10'000 emplois du secteur et les plus de 30'000 emplois de la construction du canton".
"Allier économie et écologie"
Il rappelle aussi que la Suisse consomme environ cinq millions de tonnes de ciment chaque année, dont 86% fournis par les cimenteries suisses, le reste étant importé. "Métro, tram, infrastructures scolaires ou hospitalières: il y a un réel besoin de ciment dans le canton de Vaud", clame-t-il.
"Le Tribunal fédéral a d'ailleurs reconnu la carrière du Mormont d'intérêt national, car elle alimente la Suisse romande. Si l'initiative était acceptée, cela impliquerait une importation de matériaux avoisinant 40% des besoins vaudois, soit l'équivalent de 60'000 passages de camions supplémentaires en provenance de l'étranger avec leur cortège de nuisances", argumente-t-il.
"Chaque année, 200'000 tonnes de déchets (boues, farines animales, pneus, huiles, solvants, etc) sont valorisées pour produire du ciment. Sans cimenterie, leur avenir est incertain. La chaleur du four est récupérée pour chauffer 2000 ménages dans les villages voisins. Cette énergie locale et propre serait également perdue si l'initiative passe", notent encore les responsables du "non".
Le comité plaide dès lors pour le contre-projet direct du Conseil d'Etat. "Grâce à ce dernier, nous pourrons allier économie et écologie, pour plus de durabilité. Un signal clair aux entreprises et à la recherche sur la voie à suivre", affirme Céline Weber.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le canton de Genève cède quatre hectares à la Ville de Carouge
Le canton de Genève cède près de quatre hectares à la Ville de Carouge pour 3 millions de francs. Signé jeudi, l'accord permettra à la Cité sarde de réaménager, dès septembre, le secteur Battelle-Tambourine, avec le développement du parc public et l'amélioration de la mobilité.
L'opération inclut les transferts du Parc Battelle avec ses deux hectares de verdure à proximité du Rondeau et de la parcelle centrale du quartier, ont indiqué le Département du territoire genevois et la Ville de Carouge. Cette parcelle comprendra la place centrale, qui sera végétalisée pour accueillir des espaces de jeux et de détente, et un équipement public de quartier.
L'accord foncier a été entériné après plusieurs années de négociations et une importante mobilisation citoyenne, relèvent les deux parties. Peu après l'arrivée des premiers habitants à la Tambourine au début des années 2000, la population et l'association de quartier ont lancé des pétitions demandant d'améliorer la mobilité, la sécurité et les espaces de vie.
Résultat: le plan localisé de quartier de 1986 a été révisé et remplacé en 2018 par un nouveau PLQ qui inclut des aménagements destinés à finaliser le secteur. Une seconde étape de régularisation foncière concerne des emprises de parcelles privées. Les discussions se poursuivent avec les propriétaires en vue du réaménagement complet du quartier à l'horizon 2030.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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