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Vaud

SolarStratos se prépare pour la haute altitude

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Raphaël Domjan prend un selfie en plein vol avec Gérald Ducoin. (©SolarStratos)

Retour dans les airs pour SolarStratos. Une nouvelle campagne de vol attend l’avion solaire pour les deux prochaines semaines. Le premier décollage à Payerne est prévu pour ce mardi. L’idée avec cette campagne: préparer l’avion pour les vols à haute altitude.

SolarStratos va voler dans le ciel du canton de Vaud. L’avion solaire et ses deux pilotes, Raphaël Domjan et Gérald Ducoin, ont entamé hier une campagne de deux semaines de vol. Mais le premier décollage est prévu pour ce mardi. L’heure est à la grande préparation pour l’équipe, qui s’apprête à vivre la pause hivernale. L'idée : effectuer les premiers vols à haute altitude l’an prochain… Précisions des objectifs de l'équipe avec Raphaël Domjan.

Raphaël DomjanPilote de SolarStratos

Record en vue

L’équipe de Solar Stratos a même un record en tête.

Raphaël DomjanPilote de SolarStratos

Cette campagne de vol sera l’occasion donc de tester les dernières améliorations apportées à l’appareil, et notamment une nouvelle hélice. Sans compter que SolarStratos doit se prémunir contre un phénomène bien connu des pilotes : le « flutter ».

Raphaël DomjanPilote de SolarStratos

La crise comme "booster"

Et la crise énergétique que nous vivons donne un nouveau relief à la campagne de SolarStratos, selon Raphaël Domjan.

Raphaël DomjanPilote de SolarStratos

La campagne de vol de SolarStratos se tiendra donc jusqu’au 14 octobre, selon la météo et les contraintes administratives. Les dernières modifications apportées à l’appareil doivent encore être validées par l’Office fédéral de l’aviation civile.

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Vaud

Le gendarme de Saint-Tropez donne la réplique à Charlot

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Deux statues de cire attendent les visiteurs au Chaplin's World. (©KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Les chapeaux melons côtoient les képis au Chaplin’s World. Charlie Chaplin et Louis de Funès partagent l’affiche de la nouvelle exposition temporaire du musée de Corsier-sur-Vevey. Présentée pour la première fois en Suisse, elle est à découvrir dès ce mercredi et jusqu’au 1er septembre.

Un gendarme installe son QG chez Charlot. Ceci le temps d’une exposition temporaire du Chaplin’s World mettant en lumière Charlie Chaplin et Louis de Funès. Elle est à voir dès ce mercredi et jusqu’au 1er septembre. Une exposition qui s’intéresse au rire au cinéma en mettant en regard le garçon de café et le patron de restaurant. Deux hommes qui ont offert au public un regard satirique de la société.

Il faut dire que Charlie Chaplin et Louis de Funès ne sont pas difficiles à mettre en regard. Le Français était un grand fan de Charlot, qui l’a d’ailleurs grandement inspiré. Les deux hommes n’avaient pas besoin de parler pour faire rire, mettaient tout leur corps au service de leur jeu d’acteur et tenaient la musique et la danse en haute estime. Sans compter que leurs films renfermaient un même message. Nora Ferreira, commissaire de l’exposition.

C’est la première que cette exposition est visible en Suisse. Elle a été créée par le musée français Louis de Funès pour les 40 ans de la mort de l’acteur en 2023. Un hommage à celui qui était un grand fan de Chaplin. On retrouve Nora Ferreira.

On notera que l’exposition propose notamment de découvrir plus de 300 photos et deux statues de cire grandeur nature. Le public pourra aussi tenter d’égaler le talent de danseur de ces deux amoureux du rythme, au travers d’une expérience immersive captée par un détecteur de mouvements. Nora Ferreira, commissaire de l’exposition.

« Charlie Chaplin et Louis de Funès : le geste et la parole » est à voir jusqu’au 1er septembre.

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Lausanne

Bobst s'engage dans un partenariat avec Packitoo

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Bobst a signé un partenariat stratégique avec l'entreprise Packitoo (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Bobst a signé un partenariat dit stratégique avec Packitoo, une entreprise française spécialisée dans les solutions numériques pour le secteur de l'emballage. Le fabricant vaudois de machines a dans la foulée pris une participation dans la firme d'outre-Jura sans toutefois en dévoiler ni la hauteur, ni le montant consacré à cet effet.

Packitoo a développé le logiciel Hipe, un outil de vente sur internet et adapté à l'industrie de l'emballage, qui automatise les offres, gère les projets et prend en charge les boutiques en ligne destinées aux imprimeurs et transformateurs.

Le partenariat et l'investissement s'inscrivent dans la stratégie de Bobst visant la numérisation et la mise en réseau de l'ensemble de la chaîne de valeur de l'industrie de l'emballage, indique le communiqué publié mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

La 3e correction du Rhône crée des tensions entre Vaud et Valais

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La troisième correction du Rhône dans le Chablais suscite des tensions entre les cantons de Vaud et du Valais (photo d'illustration). (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

Le bras de fer valdo-valaisan se poursuit au sujet de la 3e correction du Rhône dans le Chablais. Les députés vaudois soutiennent leur Conseil d'Etat dans ses démarches pour faire avancer le projet, tandis que le canton du Valais "déplore" la réaction de son voisin.

L'origine des tensions vient de l'étude, lancée en 2022 en Valais. Elle vise à déterminer si ce projet de troisième correction du Rhône, datant de plusieurs années, répond encore aux défis et besoins actuels.

Les conclusions du rapport ne sont pas encore publiques, mais le canton de Vaud a pu obtenir une première version. Et il s'est alarmé d'une étude qui remettrait en cause le projet, avec des répercussions pour la partie vaudoise du Rhône dans le Chablais.

Selon la RTS, qui a révélé l'information lundi soir, le rapport indiquerait que les objectifs sécuritaires et environnementaux du projet auraient été "surévalués". Des alternatives à l'élargissement du fleuve auraient été trop vite écartées, entraînant une emprise trop importante sur les zones agricoles.

Le Valais ne comprend pas

Le Conseil d'Etat vaudois a écrit mi-avril à son homologue valaisan pour dire son inquiétude. Contacté mardi par Keystone-ATS, le canton du Valais a dit "déplorer" cette réaction des autorités vaudoises. Il a affirmé "ne pas comprendre" cette démarche, "alors même que le Conseil d'Etat valaisan n'a pas encore statué sur ce dossier."

Et alors que les autorités vaudoises critiquent "une démarche unilatérale" du Valais, celui-ci estime avoir "toujours privilégié le dialogue avec les autorités vaudoises" et compte continuer de la sorte, mais "pas par médias interposés."

Résolution vaudoise

Mardi après-midi, le Grand Conseil vaudois a adopté à l'unanimité une résolution, visant justement à soutenir le Conseil d'Etat dans ses démarches. "Il est de notre responsabilité de s'assurer que ce projet avance au plus vite", a relevé l'auteur du texte, le syndic d'Aigle Grégory Devaud.

Comme ses collègues qui ont pris la parole après lui, l'élu PLR a dit sa "crainte" de voir un projet "repartir de zéro" après deux décennies d'études. Selon lui, ce projet est "indispensable" pour protéger la région des crues, mais aussi pour permettre son développement économique. D'autres projets importants pour la région, tel que le palier hydro-électrique Massongez-Bex-Rhône, en dépendent aussi.

"Trouver un chemin"

Le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos a dit partager ces inquiétudes. Il a aussi mentionné que le financement de la Confédération pourrait être "compromis", si le projet devait être largement remanié.

Le ministre de l'environnement a indiqué que des discussions allaient être menées "ces prochains jours" avec le Conseil d'Etat valaisan afin de "trouver un chemin pour faire avancer ce projet le plus rapidement possible".

Vaud et Valais se partagent le Rhône dans le Chablais. C'est dans cette région qu'est notamment prévue la mesure dite "prioritaire du Chablais", soit l'élargissement du fleuve sur 15 km. Du côté amont, la mesure part de Bex (VD) en rive droite et de Massongex (VS) en rive gauche, pour s'étendre jusqu'à Yvorne (VD) et Vouvry (VS). Les plans d'aménagement ont été validés par les deux cantons en 2016.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les députés ne relâchent en rien leur soutien à Vetropack à St-Prex

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Politiques, syndicats, employés: la mobilisation est totale pour sauver le site de la verrerie Vetropack à St-Prex (VD), menacée de fermeture par sa direction. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les parlementaires vaudois ne relâchent pas leur mobilisation pour maintenir la verrerie Vetropack à St-Prex, menacée de fermeture. Après une résolution soutenue en mars dernier, ce ne sont pas moins de trois nouvelles interventions qui ont été défendues mardi au Grand Conseil: deux postulats et une motion. Ils sont tous les trois renvoyés en commissions pour examen.

La motion, déposée par le socialiste Arnaud Bouverat et cosignée par une soixantaine d'élus de tous les bords politiques, prévoit un renforcement de la loi sur l'aménagement du territoire (LATC) et du Plan directeur cantonal. L'objectif est de pouvoir sceller à très long terme la vocation industrielle et artisanale des terrains affectés aujourd'hui à ces activités.

Le premier postulat, déposé par le chef du groupe PLR Nicolas Suter et cosigné par quelque 75 députés, demande, lui, un rapport au Conseil d'Etat sur l'enjeu de Vetropack, dernière verrerie de Suisse, pour une région mais aussi pour toute une filière industrielle.

Le gouvernement est prié de fournir des réponses sur l'industrie du verre dans le canton (quantité, qualité, acteurs et filières), sur l'état d'avancement des solutions de recyclage et de réutilisation du verre ainsi que des moyens à disposition de l'aménagement du territoire pour maintenir un tissu industriel et artisanal.

Aide directe et indirecte

Avec presque autant de signatures, le deuxième postulat, déposé par le PLR Alexandre Berthoud, demande au gouvernement d'étudier tous les outils économiques et disponibles pour sauver l'usine de Vetropack.

"Cela peut se traduire par un soutien économique direct notamment. Mais il est possible de soutenir de manière indirecte certains secteurs spécifiques par le biais d'allégements fiscaux ou par des mesures d'aménagement du territoire en maintenant l'affectation de certains terrains propices à l'industrie ou à l'artisanat", note le postulant.

En mars déjà, le Grand Conseil a voté une résolution qui demandait à Vetropack et au Conseil d'Etat d’étudier des solutions alternatives à une fermeture. Les conseillers aux Etats Pierre-Yves Maillard et Pascal Broulis - tous deux anciens conseillers d'Etat - ont apporté leur appui aux employés qui se battent contre cette fermeture.

Pétition

Une pétition - "Non à la fermeture de Vetropack" - a par ailleurs été remise la semaine dernière aux autorités vaudoises. Le texte, muni de 5003 signatures, demande le maintien des 175 emplois.

Pour rappel, la direction de Vetropack avait annoncé début mars l'ouverture d'une procédure de consultation concernant la fermeture de son site de St-Prex pour manque de rentabilité. La procédure a été prolongée jusqu'au 30 avril.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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