Genève
Le DIP ne favorise pas la transmission des alertes
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/12/a-geneve-la-cour-des-comptes-sest-penchee-sur-la-gestion-des-risques-et-des-alertes-au-dip-sa-presidente-isabelle-terrier-a-presente-mardi-laudit-qui-constate-des-risques-mal-identifies-des-frein-1000x600.jpg&description=Le DIP ne favorise pas la transmission des alertes', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
A Genève, la Cour des comptes s'est penchée sur la gestion des risques et des alertes au DIP. Risques mal identifiés, freins à la communication des alertes et insuffisance de la collaboration interdépartementale figurent parmi les constats.
Rendu public mardi, l'audit de la Cour des comptes a pour toile de fond l'affaire du foyer pour jeunes autistes de Mancy géré par l'Office médico-pédagogique (OMP) du Département de l'instruction publique (DIP). La structure s'est retrouvée dans la tourmente après que de graves dysfonctionnements ont été dénoncés dans la presse, avec des cas de maltraitances d'enfants et un personnel visiblement dépassé.
Cette affaire a donné lieu à l'ouverture de procédures pénales, ainsi qu'à des rapports d'experts externes et du service d'audit interne de l'Etat. Sollicitée par la sous-commission "Foyer de Mancy" du Grand Conseil, la Cour des comptes ne s'est pas focalisée sur le cas spécifique du foyer, a souligné mardi sa présidente Isabelle Terrier lors de la présentation de son audit de conformité.
"Droit à l'erreur"
Alors que le DIP a une "tolérance zéro" en matière de maltraitance, le dispositif de gestion des risques ne permet pas toujours de les identifier ni de les prévenir, ce qui en fait plutôt un outil de gestion de crise, a relevé la magistrate. En outre, comme dans le cas de locaux pour l'accueil de jeunes avec des troubles, les risques concernent aussi d'autres départements, mais la coordination est insuffisante.
Le DIP a aussi mis en place un dispositif de gestion des alertes, mais il n'est pas conforme aux meilleures pratiques, selon la Cour qui a adressé un questionnaire aux collaborateurs de l'OMP, de l'Office de l'enfance et de la jeunesse et du secrétariat général. "Une analyse fine montre un climat de défiance entre la hiérarchie et les collaborateurs qui ne sont pas suffisamment incités à signaler les problèmes ni soutenus dans leur démarche", indique Mme Terrier.
"Les problèmes de communication génèrent des blocages", déplore la magistrate. Selon elle, l'anonymat doit être possible face à la peur des sanctions: "Ce qui importe, c'est la transmission de l'information et son suivi afin d'éviter la survenance de problèmes graves." Pour la cour, le DIP doit favoriser "une culture permettant le droit à l'erreur du collaborateur", à l'image de ce qui se fait aux Hôpitaux universitaires de Genève.
Recommandation refusée
Sur les sept recommandations de priorité "élevée" à "très élevée" émises par la Cour des comptes, le DIP a refusé celle qui consiste à mettre en oeuvre de manière plus rigoureuse la méthodologie de gestion des risques. "Les collaborateurs ne sont pas au clair sur le type d'incident à signaler. Si cette première étape fait défaut, il y a une cascade de problèmes", prévient Mme Terrier.
"Le DIP travaille d'arrache-pied pour mettre en place un outil de pilotage, l'outil actuel étant trop manuel", a indiqué sa secrétaire générale Paola Marchesini. Selon elle, la communication, plus que la méthodologie, doit être améliorée. Les problèmes à l'OMP sont, eux, dus à un taux d'encadrement insuffisant: "Les effectifs de terrain ont augmenté. Les cadres sont submergés et n'ont pas le temps de construire une relation de confiance."
L'audit de la Cour des comptes sera intégré aux travaux de la sous-commission ad hoc de la commission de contrôle de gestion du Grand Conseil. "Une vision plus politique sera donnée dans quelques mois", a assuré son président, le député PLR Cyril Aellen.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Fête des promotions: assouplissement pérennisé
A la suite d'un projet pilote de deux ans, le Conseil d'Etat genevois pérennise l'assouplissement concernant la date de la fête des promotions. Les communes pourront organiser l'événement dès le vendredi qui précède la dernière semaine de l'année scolaire.
Il ressort de l'essai mené dans deux communes durant les années scolaires 2023-2024 et 2024-2025 que l'anticipation des promotions n'a pas d'impact significatif sur le nombre d'enfants absents durant la dernière semaine d'école, a indiqué mercredi le gouvernement à l'issue de sa séance hebdomadaire. Jusqu'ici, la fête des promotions pouvait avoir lieu au plus tôt le jeudi avant les vacances d'été.
Cette disposition figure dans le règlement de l'enseignement primaire. Consultée, l'Association des communes genevoises accueille "très positivement" cet assouplissement, a précisé le Conseil d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Nouvelle offre nocturne du Léman Express lancée en musique
Le Léman Express annonce l'extension de son offre nocturne en musique. Samedi soir aux petites heures du dimanche matin, un espace en milieu du train sera transformé en scène avec la participation d'artistes transfrontaliers tels que Braises de Velours, Sampaio et Cora.
Le "Night Express" effectuera trois allers-retours entre Annemasse (F) et Coppet (VD) samedi dès 20h35 jusqu'à dimanche à 02h25, ont indiqué mercredi la société Lémanis et Antigel, organisateur du festival culturel éponyme. Il desservira tous les arrêts habituels du canton de Genève selon l'horaire régulier. La consommation d'alcool sera interdite à bord, et une deuxième rame sans musique sera disponible.
Alors que 32% des passagers utilisent le train transfrontalier pour leurs loisirs, cet "évènement musical unique" vise à montrer que le train est un moyen de transport sûr pour les noctambules. A partir du changement d'horaire de dimanche, la ligne L4 sera prolongée jusqu'à Annemasse au milieu de la nuit durant la semaine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Initiatives pour la gratuité des crèches et du parascolaire valides
A Genève, les initiatives constitutionnelles de l'Union populaire (LUP) demandant la gratuité des places de crèches et de la prise en charge par le parascolaire sont valides. Mais le Conseil d'Etat estime que leur mise en oeuvre va peser sur les finances publiques.
Le gouvernement estime que les mesures proposées par ces deux initiatives ne constituent pas une réponse adéquate, a-t-il indiqué mercredi à l'issue de sa séance hebdomadaire. Il invite dès lors le Grand Conseil à les refuser sans leur opposer de contreprojets.
L'initiative "Pour la gratuité des crèches" demande que les places en crèches soient gratuites et que leur nombre réponde aux besoins. Le Conseil d'Etat partage son objectif de renforcer l'accueil préscolaire pour améliorer la conciliation entre vies familiale et professionnelle et favoriser l'égalité des chances.
Alors que plus de 1200 places ont été créées par les communes depuis 2020, le coût de cette initiative pour les collectivités publiques risque toutefois de freiner fortement cette dynamique, estime le Conseil d'Etat. L'exécutif relève aussi que les tarifs des crèches sont avantageux à Genève comparés à ceux d'autres cantons.
Le Conseil d'Etat préconise aussi, pour des raisons de coût, le rejet de l'initiative "Pour la gratuité du parascolaire" qui demande un accueil à la journée continue et gratuit pour tous les élèves de l'école obligatoire. Actuellement, les élèves du primaire bénéficient d'un accueil parascolaire universel et sans condition, à des tarifs liés au revenu des parents, a rappelé l'exécutif.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Plus de 135'000 signatures pour l'initiative anti-armes nucléaires
L'initiative pour que la Suisse rejoigne le Traité d'interdiction des armes nucléaires (TIAN) a abouti. Plus de 135'000 signatures seront remises le 23 décembre à la Chancellerie fédérale, a annoncé mercredi la Campagne pour l'abolition des armes nucléaires (ICAN).
L'initiative populaire, lancée en juillet 2024, a reçu "un large soutien dans toutes les régions du pays", a ajouté l'ONG à Genève, s'exprimant au nom de l'Alliance pour l'interdiction des armes nucléaires. La Suisse n'a aucune influence sur les politiques nucléaires des puissances dotées, mais elle serait "fortement" affectée par leurs conséquences, estime un membre du comité, Annette Willi.
Malgré une pression de la société civile et une demande du Parlement fédéral pour que la Suisse rejoigne le TIAN, le Conseil fédéral temporise depuis des années. Il met en avant des raisons de politique de sécurité, alors que les pays dotés de cet armement sont hostiles à l'accord.
"Il n'est pas acceptable que d'autres Etats dictent notre politique en matière d'armes nucléaires", insiste Mme Willi. Près d'une centaine de pays ont signé cet arrangement et 74 en sont Etats parties.
Celui-ci était entré en vigueur en 2021. Il interdit l'utilisation, le développement, la production, les essais, le stationnement, le stockage et la menace d'utilisation d'armes nucléaires. Mais aussi d'assister quiconque pour ces activités.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 3 jours
Cambriolage avec violence à Yverdon: trois personnes arrêtées
-
VaudIl y a 15 heures
Collision frontale mortelle mardi à Ballaigues
-
LausanneIl y a 3 jours
Avec le nouvel horaire, Renens sera reliée directement à Epalinges
-
LausanneIl y a 2 jours
Un président du Tribunal correctionnel de Lausanne est récusé
-
SuisseIl y a 3 jours
Les Suisses changent de moins en moins de logement
-
VaudIl y a 3 jours
16 véhicules bruyants et non conformes ont été saisis en 2025
-
SuisseIl y a 2 jours
Le National valide le budget après 13 heures de débats
-
SuisseIl y a 2 jours
Le réseau FM peut continuer d'émettre en Suisse, dit le Parlement


