Vaud
Vaud: abaisser la vitesse pour limiter le bruit routier
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/01/si-les-tests-sont-concluants-certains-secteurs-de-route-cantonale-passeraient-de-80-a-60-km-h-photo-dillustration-1000x600.jpg&description=Vaud: abaisser la vitesse pour limiter le bruit routier', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Vaud lance un projet-pilote. Le canton va abaisser la vitesse de trois tronçons de routes cantonales en juin pour tester l'effet sur le bruit routier. Il l'a annoncé ce jeudi. L'idée: soulager une partie des 140'000 Vaudois qui souffrent du bruit lié au trafic.
Vaud veut diminuer le bruit le long de ses routes. Le Canton va tester l’abaissement de la vitesse sur des routes cantonales hors localité. Une annonce faite ce jeudi. Trois tronçons vont passer de 80 à 60 km/h au mois de juin pour tester la pertinence de la mesure, que le canton juge peu coûteuse et bien plus pratique que la pose d'un revêtement spécial ou de panneaux anti-bruit. Ils sont situés à Aigle, Assens et Saint-Cergue et totalisent quelque 3,5 km de route.
Laurent Tribolet, chef de la division entretien au sein de la direction générale de la mobilité et des routes, nous explique comment ces tronçons ont été choisis.
2'000 citoyens concernés
Selon le canton, 140'000 Vaudois souffrent du bruit aux abords des routes cantonales, dont 14'000 hors des localités. Et ces tests devraient en soulager 2'000. Pour Nuria Gorrite, ministre chargée des infrastructures, il est évident que 20 km/h de moins changeront la donne.
Et pourtant la réduction du bruit ne devrait être que d’un à trois décibels. Une diminution non-négligeable, selon Laurent Tribolet de la direction générale de la mobilité et des routes.
Vers une généralisation?
Les résultats du test seront analysés cet automne. S’ils sont encourageants, le Canton pourrait étendre la mesure à d’autres tronçons. Pourrait-il aller jusqu’à généraliser la mesure à toutes les routes cantonales ? On retrouve la ministre vaudoise des infrastructures.
Les autorités sont aussi conscientes qu’elles s’aventurent sur un terrain sensible. Elles ont pu le voir avec l’introduction du 30km/h de nuit à Lausanne. Nuria Gorrite se veut néanmoins confiante. On écoute la ministre vaudoise des infrastructures.
Et la ministre d'ajouter que le passage de 80 à 60 km/h ne fait perdre qu'une quinzaine de secondes à un automobiliste par kilomètre.
Lausanne
Lausanne: la quarantaine de caravanes à la Rama ont levé le camp
La quarantaine de caravanes de gens du voyage stationnées sur le site de la Rama à Montheron, au nord de Lausanne, ont levé le camp vendredi matin. Sous la menace d'une évacuation et d'amendes conséquentes, les gens du voyage ont finalement quitté les lieux qu'ils occupaient illégalement depuis mars dernier, limité à 25 caravanes.
"La fermeté a payé. Ne pas respecter les règles imposées a des conséquences. Oui, toutes les caravanes sont parties ce matin", a indiqué à Keystone-ATS Pierre-Antoine Hildbrand, municipal lausannois en charge de la sécurité, confirmant une information de 24 Heures.
Une ordonnance de mesures provisionnelles avait été rendue par le président de la Chambre patrimoniale cantonale le 12 mai, ordonnant aux gens du voyage de partir dans un délai de dix jours, cas échéant sous la menace des forces de l'ordre. La justice vaudoise avait également suivi une autre demande de la Municipalité lausannoise, à savoir une amende d'ordre de 1000 francs par jour d'inexécution.
Les frais de justice, à hauteur de 3670 francs avaient en outre été mis à charge des gens du voyage, qui devront également participer aux honoraires d'avocat à hauteur de 3000 francs.
La procédure judiciaire remonte à la fin de l'hiver, lorsqu'une quarantaine de caravanes étaient arrivées sur le parking du Chalet-à-Gobet le 24 février, avant d'être escortées vers le parking de la Rama. La ville avait autorisé 25 d'entre elles à y demeurer au-delà du lundi 3 mars. Cette limite n'ayant pas été respectée, la Municipalité avait alors déposé une plainte pénale pour occupation illicite du terrain, et une plainte au civil en vue d'une évacuation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Des actionnaires de Credit suisse ne seront pas indemnisés
Le Tribunal fédéral rejette la plainte contre la Confédération d'un couple qui avait acheté 38'000 actions de Credit suisse entre le 10 et le 15 mars 2023. Les actionnaires s'étaient fiés aux propos rassurants du Conseil fédéral quelques jours auparavant.
A l'issue des plaidoiries et de la délibération, la 2e Cour de droit public a annoncé le rejet de la plainte. La présidente a précisé que la décision était valable pour ce cas d'espèce uniquement.
Le couple réclamait une indemnité de 54'601 francs, plus intérêts, pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, les plaignants avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral ait affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte qu'ils ont subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Credit suisse: les parties ont fini de plaider
Les parties ont fini de plaider dans l'audience du Tribunal fédéral consacrée à la plainte de deux actionnaires de Credit suisse contre la Confédération. Ce couple réclame une indemnité pour la perte subie suite à la reprise par UBS.
L'avocat des plaignants a souligné qu'à de nombreuses reprises le Conseil fédéral, la FINMA et la Banque nationale avaient fait des déclarations lénifiantes sur la situation de la banque zurichoise. L'intervention du Conseil fédéral aurait aggravé la situation alors qu'une faillite de Credit suisse était loin d'être certaine.
Pour l'homme de droit, le recours au droit d'urgence et la pression exercée sur Credit suisse et UBS montrent que la reprise ne s'imposait pas. La hausse des actions UBS par la suite avait montré que cet établissement faisait en réalité une bonne affaire.
Les risques de la Bourse
La représentante de la Confédération a rappelé que celui qui achète et vend des actions doit en assumer les risques. Pour que la responsabilité de l'Etat soit engagée, il faut que l'un de ses agents ait commis un acte illégal et qu'un dommage en résulte. Ces conditions ne sont pas remplies.
A l'issue de ces plaidoiries, la 2e Cour de droit public s'est retirée pour délibérer. La séance sera reprise pour la lecture du verdict.
Les deux plaignants réclament 54'601 francs, plus intérêts, à la Confédération pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, ils avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral a affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Faux policiers: interpellation grâce à la victime d'une tentative
Un ressortissant français âgé de 19 ans et domicilié en France a été arrêté à la suite d'une tentative d'escroquerie aux faux policiers à Moudon (VD), grâce à la vigilance de la personne qu'il avait contactée par téléphone. Dénoncé au Ministère public, l'homme a été condamné par voie d'ordonnance pénale immédiate, a indiqué vendredi la police cantonale.
Les faits se sont déroulés il y a une semaine (vendredi 16 mai), précise la police vaudoise dans son communiqué. Contactée téléphoniquement vers 22h30 par un homme, une ressortissante suisse âgée de 71 ans a composé le 117 et a expliqué qu'un individu, qui prétendait travailler pour la police, allait passer à son domicile de Moudon pour récupérer ses cartes bancaires, détaille-t-elle.
Une patrouille s'est alors rapidement rendue sur place et les gendarmes ont réussi à interpeller un individu qui quittait les lieux. Interrogé, ce jeune Français a reconnu être l'auteur de la tentative d'escroquerie, poursuit la police.
Plus de 500 cas déjà en 2025
Celle-ci rappelle au passage que cette arnaque aux faux policiers a toujours cours dans le canton de Vaud. Pour l'année 2025, quelque 564 cas de faux policiers dont 159 réussites ont déjà été recensés sur le territoire cantonal, informe-t-elle.
La police cantonale rappelle également qu'elle ne se rend jamais chez des particuliers pour saisir les cartes bancaires ou les objets de valeur. Elle incite les personnes à rester vigilantes lorsqu'elles reçoivent un appel téléphonique de ce type et à composer directement le numéro 117.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
ClimatIl y a 3 jours
Blatten (VS): environ 2 mios de mètres cubes de roches décrochés
-
VaudIl y a 3 jours
Huit nouveaux trains à crémaillère pour les Rochers-de-Naye
-
ClimatIl y a 2 jours
L'incertitude règne toujours à Blatten (VS)
-
LausanneIl y a 3 jours
Un candidat à la naturalisation obtient gain de cause
-
FootballIl y a 3 jours
Christelle Luisier veut "tirer profit de l'élan" créé par l'Euro
-
VaudIl y a 3 jours
Les locataires sont plutôt satisfaits de leur logement
-
SuisseIl y a 3 jours
La menace des escroqueries aux faux policiers persiste en Valais
-
LausanneIl y a 2 jours
Genève: les chauffeurs Uber sont soumis à la loi sur les services